Français que roi , ajouta-t-il ; ce qui ternit la gloire de la nation m'est plus sensible que tout autre intérêt. C'est d'ordinaire sur les six heures du soir que Chamillard vient travailler avec moi , et pendant plus de trois mois il ne m'apprenoit... Mémoires - Page 31by Louis Hector duc de Villars - 1828Full view - About this book
| Louis-Pierre Anquetil - 1819 - 492 pages
...qui la lui faisoit éprouver. « Je suis François autant que roi , « disoit-il au général , et ce qui ternit la gloire de la « nation m'est plus sensible que tout autre intérêt. » Cette victoire d'ailleurs n'eut pas immédiatement les suites qu'on s'en étoit promises. L'électeur,... | |
| Joseph Fr. Michaud, Poujoulat (M., Jean-Joseph-François) - 1839 - 704 pages
...le commandement de l'armée chargée de l'expédition dont le succès lui tenoit le plus acœur. « Je suis autant Français que roi , ajouta-t-il ; ce...travailler avec moi , et pendant plus de trois mois il ne m'apprenoit que des choses désa» gréables. L'heure à laquelle il arrivoit étoit » marquée par... | |
| Théophile Lavallée - 1839 - 560 pages
...vraiment de grand en lui se montra alors : « Je suis Français autant que roi , avait-il dit souvent; et ce qui ternit la gloire de la nation m'est plus sensible que tout intérêt1. » 11 rappela son ambassadeur. Outragé, malheureux, plein de dignité dans sa détresse,... | |
| Louis-Pierre Anquetil - 1845 - 674 pages
...celui qui la lui faisait éprouver. « Je suis Français » autant que roi, disait-il au général, et ce qui ternit la gloire » de la nation m'est plus sensible que tout autre intérêt. » Cette victoire d'ailleurs n'eut pas immédiatement les suites qu'on s'en était promises. L'électeur,... | |
| Ernest Moret - 1851 - 428 pages
...adressa un de ces éloges qu'il savait si bien faire. « Je suis, lui dit-il, autant Français que roi ; ce qui ternit la gloire de la nation m'est plus sensible...intérêt. C'est d'ordinaire sur les six heures du soir que Chamillart vient travailler avec moi, et depuis trois mois, il ne m'apprenait que des choses désagréables.... | |
| Joseph Fr. Michaud - 1851 - 688 pages
...pour lr commandement de l'armée chargée de l'expédition dont le succès lui tenoitleplusàcœur. «Je » suis autant Français que roi, ajouta-t-il;...ce » qui ternit la gloire de la nation m'est plus sen» sible que tout autre intérêt. C'est d'ordinaire » sur les six heures du soir que Chamillard... | |
| Louis Pierre Anquetil - 1851 - 664 pages
...celui qui la lui faisait éprouver. « Je suis français autant que roi, disait-il au gé« néral, et ce qui ternit la gloire de la nation m'est plus sensible que tout « autre intérêt. » Cette victoire d'ailleurs n'eut pas immédiatement les suites qu'on s'en était promises. L'électeur,... | |
| Théophile Lavallée - 1856 - 620 pages
...vraiment de grand en lui su montra alors : « Je suis Français autant que roi, avait-il dit souvent; et ce qui ternit la gloire de la nation m'est plus sensible que tout intérêt ('). » II rappela son ambassadeur. Outragé, malheureux, plein de dignilé dans sa détresse,... | |
| 1856 - 902 pages
...Villars ces nobles paroles qu'on ne saurait trop admirer : « Je suis autant Français que roi; ce gui ternit la gloire de la nation m'est plus sensible que tout autre intérêt1. » Est-il nécessaire d'ajouter qu'aucune distraction ne détournait sérieusement l'intendant... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1858 - 398 pages
...Villars, deux ou trois mois après, il lui dira ces belles paroles : • Je suis aulanl Français que roi; ce qui ternit la gloire de la nation m'est plus sensible...intérêt. C'est d'ordinaire sur les six heures du soir que Chamillart vient travailler avec moi, et pendant plus de trois mois il ne m'apprenait que des choses... | |
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