| Niccolò Tommaseo - 1838 - 842 pages
...« une grâce qu'il ne croyait pas pouvoir égaler dans la langue moderne. » Fénélon y trouvait «je ne sais quoi de court, de ~ naïf, de hardi, de vif et de passionné. » Voltaire, lui, était plus absolu dans ses jugements : < Nous sortons à peine d'une barbarie aussi... | |
| Joachim Du Bellay - 1839 - 172 pages
...dans le cardinal d'Ossat, dans les ouvrages les plus en» joués et dans les plus sérieux : il avoit je ne sais quoi de court, » de naïf, de hardi, de vif et de passionné. On a retranché, si je » ne me trompe, plus de mots qu'on n'en a introduit. » (Lettre écrite à... | |
| Joachim Du Bellay, Paul Ackermann - 1839 - 168 pages
...dans le cardinal d'Ossat, dans les ouvrages les plus en» joués et dans les plus sérieux : il avoit je ne sais quoi de court, » de naïf, de hardi, de vif et de passionné. On a retranché, si je » ne me trompe, plus de mots qu'on n'en a introduit. » (Lettre ecrite à t'Académie... | |
| 1840 - 618 pages
...soupçonnées. L'auteur de Télémaque regrettait cependant; dil-il , la langue de nos pères; il y trouvait je ne sais quoi de court, de- naïf, de hardi , de vif et dépassionné. La Fontaine connaissait seul et connaissait bien la langue d'oïl, d'où il u exhumé... | |
| 1840 - 618 pages
...soupçonnées. L'anleur de Télimaque regrettait cependant, dit-il , la langue de nos pères; il y trouvaille ne sais quoi de court, de naïf, de hardi , de vif et dépassionné. La Fontaine connaissail seul et connaissait bien la langue d'oïl, d'où il a exhumé... | |
| Claude Charles Pierquin de Gembloux, Pierquin de Gembloux - 1841 - 408 pages
...notre système d'instruction publique n'accorde point la moindre attention. II y trouvait, disait-il, je ne sais quoi de court, de naïf, de hardi, de vif et de passionné, que La Fontaine connaissait et imitait si bien, sans oser proclamer qu'ils étaient ses modèles, tant... | |
| Michel Eyquem de Montaigne - 1842 - 792 pages
...langage. L'élégant Fénélon lui-même regrettait quelquefois l'idiome de nos pères. Il y trouvait je ne sais quoi de court, de naïf, de hardi, de vif, et de passionné. On doit avouer en effet que les privilèges, ou plutôt les licences du vieux français, le retranchement... | |
| Arnould Frémy - 1843 - 238 pages
...Amyot et dans le cardinal d'Ossat, dans les ouvrages les plus enjoués et les plus sérieux : il avoit je ne sais quoi de court, de naïf, de hardi, de vif et de passionné. On a retranché, si je ne me trompe, plus de mois qu'on n'en a introduit. D'ailleurs, je voudrois n'en... | |
| Paul Ackermann - 1843 - 104 pages
...allures pittoresques, si familières à l'ancien français, qui comme l'a dit Fénelon *), , , avait je ne sais quoi de court, , , de naïf, de hardi, de vif et de passionné. " Et ne sont-ce pas là les qualités qui doivent caractériser le stile de la poésie? Ce même devoir... | |
| Léon Feugère - 1845 - 332 pages
...langue en devenait peut-être fière et dédaigneuse à l'excès, se prenait à regretter quelquefois « ce je ne sais quoi de court, de naïf, de hardi, de vif et de passionné que lui offraient Mu rot, Àmyot, le cardinal d'Ossat, les ouvrages de cette époque les plus enjoués... | |
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