 | Voltaire - 1888 - 584 pages
...à cet ouvrage l'époque de la fixation du langage. L'évêque de Luçon , fils du célèbre Bussy, m'a dit qu'ayant demandé à M. de Meaux quel ouvrage...mieux aimé avoir fait, s'il n'avait pas fait les liens, Bossuet lui répondit : Les Lettres provinciale*. Elle? ont beaucoup perdu de leur piquant lorsque... | |
 | Napoléon Maurice Bernardin - 1891 - 424 pages
...langage. L'évêqie de Luçon, fils du célèbre Bussy2, m'a dit qu'ayant demandé à M. de Jleaux quel ouvrage il eût mieux aimé avoir fait, s'il n'avait pas fait les siens, Bossuet Uii répondit : les Lettres provinciales. » Bossuet aurait pu ajouter « et les Pensées; » car,... | |
 | Karl Julius Ploetz, Carl Ploetz - 1894 - 846 pages
...du langage. L'évêque de Luçon, fils du célèbre Bussy, m'a dit qu'ayant demandé à M. de Meaux7 quel ouvrage il eût mieux aimé avoir fait, s'il n'avait pas fait les siens, Bossuet8 lui répondit: Les Lettres provinciales. Le bon goût, qui règne d'un bout à l'autre dans... | |
 | Émile Bourgeois - 1896 - 602 pages
...vivantes. Il faut rapporter à cet ouvrage l'époque de la fixation du langage. L'évêque de Lucon, fils du célèbre Bussi, m'a dit qu'ayant demandé...Bossuet lui répondit : Les lettres provinciales. Elles ont beaucoup perdu de leur piquant lorsque les jésuites ont été abolis et les objets de leurs... | |
 | Voltaire - 1901 - 406 pages
...à cet ouvrage l'époque, de la fixation du langage. L'éyêque de Luçon, fils du célèbre Bussy, m'a dit qu'ayant demandé à M. de Meaux quel ouvrage...aimé avoir fait, s'il n'avait pas fait les siens, Bossuct lui répondit : a les Lettres provinciales. » Elles ont beaucoup perdu de leur piquant, lorsque... | |
 | Karl Julius Ploetz - 1903 - 870 pages
...du langage. L'évoque de Luçon, fils du célèbre Bussy, m'a dit qu'ayant demandé à M. de Meaux 7 quel ouvrage il eût mieux aimé avoir fait, s'il n'avait pas fait les siens, Bossuet 8 lui répondit : Les Lettres provinciales. Le bon goût, qui règne d'un bout & l'autre dans ce livre... | |
 | Voltaire - 1919 - 1090 pages
...vivantes. Il faut rapporter à cet ouvrage l'époque de la fixation du langage. L'évêque de Lucon, (Ils du célèbre Bussi, m'a dit qu'ayant demandé à M....n'avait pas fait les siens, Bossuet lui répondit : Le» Lettres provinciale». Elles ont beaucoup perdu de leur piquant lorsque les jésuites ont été... | |
 | Victor Giraud - 1923 - 312 pages
...comme l'a dit Voltaire, que Bossuet, interrogé par l'évêque de Luçon sur la question de savoir « quel ouvrage il eût mieux aimé avoir fait, s'il n'avait pas fait les siens », aurait répondu : « Les Lettres Provinciales », voilà Pascal bien vengé des puérils dédains... | |
 | François Buloz, Charles Buloz, Ferdinand Brunetière, Francis Charmes, René Doumic, André Chaumeix - 1923 - 1000 pages
...comme l'a dit Voltaire, que Bossuet, m interrogé par l'évêque de Luçon sur la question de savoir « quel ouvrage il eût mieux aimé avoir fait, s'il n'avait pas fait les siens, » aurait répondu : « Les Lettres Provinciales, » voilà Pascal bien vengé des puérils dédains... | |
 | François Vézinet - 1924 - 222 pages
...langues vivantes. Il faut rapporter à cet ouvrage l'époque de la fixation du langage. L'évêque de Luçon, fils du célèbre Bussi, m'a dit qu'ayant...Bossuet lui répondit : « Les Lettres provinciales. » Elles ont beaucoup perdu de leur piquant lorsque les jésuites ont été abolis, et les objets de... | |
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L'évêque de Luçon, fils du célèbre Bussy, m'a dit qu'ayant demandé à M. de Meaux quel ouvrage il eût mieux aimé avoir fait, s'il n'avait pas fait les siens, Bossuet lui répondit : 
