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" Pour moi, je sais que des armées aussi considérables ne sont jamais assez défaites pour que la plus grande partie de la mienne ne pût se retirer sur la Somme. Je connais cette rivière ; elle est très difficile à passer ; il ya des places qu'on... "
Louis XIV: sa cour et le régent - Page 223
by Louis Pierre Anquetil - 1819
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Histoire de France depuis les temps les plus reculés jusqu'à la révolution ...

Louis-Pierre Anquetil - 1857 - 634 pages
...capitale. Je sais que des armées aussi considérables ne sont jamais assez défaites pour que la plus grande partie de la mienne ne pût se retirer sur la Somme. Je connais cette rivière, elle est difficile à passer, et il s'y trouve des places qu'on peut rendre...
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Causeries du lundi, Volume 13

Charles Augustin Sainte-Beuve - 1858 - 398 pages
...Pour moi, je sais que des armées aussi considérables ne sont jamais assez défaites pour que la plus grande partie de la mienne ne pût se retirer sur la Somme. Je connais cette rivière : elle est très-difficile à passer ; il ya des places qu'on peut rendre bonnes....
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Nouvelle collection des mémoires pour servir à l'histoire de France: depuis ...

Joseph Fr. Michaud - 1859 - 696 pages
...moi, je sais » que des armées aussi considérables ne sont ja> mais assez défaites pour que la plus grande » partie de la mienne ne pût se retirer sur...passer; il ya des places qu'on peut » rendre bonnes. Je compterais aller à Péronne « on à Saint-Quentin y ramasser tout ce que i j'aurois de troupes ,...
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Quinze ans du regne de Louis XIV (1700-1715)

Ernest Moret - 1859 - 494 pages
...Pour moi, je sais que desarmées aussi considérables ne sont jamais assez défaites pour que la plus grande partie de la mienne ne pût se retirer sur la Somme. Je connais cetle rivière : elle est très-difficile à passer; il ya des places que l'on petit rendre...
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Nouveaux lundis, Volume 1

Charles-Augustin Sainte-Beuve - 1863 - 456 pages
...le maréchal, que des armées aussi considérables ne sont jamais assez défaites pour que la plus grande partie de la mienne ne pût se retirer sur la Somme. Je connais cette rivière; elle est très-difficile à passer : il ya des places qu'on peut rendre bonnes;...
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Nouveaux lundis, Volume 1

Charles-Augustin Sainte-Beuve - 1864 - 456 pages
...le maréchal, que des armées aussi considérables ne sont jamais assez défaites pour que la plus grande partie de la mienne ne pût se retirer sur la Somme. Je connais cette rivière; elle est très-difficile à passer : il ya des places qu'on peut rendre bonnes;...
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Histoire de France, Volume 5

Auguste Trognon - 1865 - 702 pages
...moi, je sais que des armées aussi considérables ne « sont jamais assez défaites, pour- que la plus grande « partie de la mienne ne pût se retirer sur la Somme. « Je connais cette rivière ; elle est très-difficile à pas« ser.... Je compterais aller à Péronne...
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Revue des deux mondes, Volume 89

François Buloz, Charles Buloz, Ferdinand Brunetière, Francis Charmes, René Doumic, André Chaumeix - 1870 - 790 pages
...assez défaites pour que la plus grande partie de la mienne » pût se retirer sur la Somme. Je connais cette rivière, elle est très difficile à passer; il ya des places qu'on peut rendre bonnes. Je comparais aller à Péronne ou à Saint-Quentin, y ramasser tout ce que j'au•'ais de troupes, faire...
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Revue des deux mondes, Volume 89

François Buloz, Charles Buloz, Ferdinand Brunetière, Francis Charmes, René Doumic, André Chaumeix - 1870 - 788 pages
...Pour moi, je sais que des armées aussi considérables ne sont jamais assez défaites pour que la plus grande partie de la mienne ne pût se retirer sur la Somme. Je connais cette rivière, elle est très difficile à passer; il ya des places qu'on peut rendre bonnes....
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Berryer et ses contemporains d'après une correspondance inédite

Pierre Antoine Berryer, P. Biston - 1873 - 58 pages
...Pour moi, je sais que des armées aussi considérables ne sont jamais assez défaites pour que la plus grande partie de la mienne ne pût se retirer sur la Somme. Je connois cette rivière : elle est très-difficile à passer; il ya des places qu'on peut rendre bonnes. Je compterois aller à Péronne...
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