 | Louis-Pierre Anquetil - 1857 - 634 pages
...l'entretint à ce sujet: «Vous voyez mon état, monsieur le maréchal, lui dit-il; il ya peu d'exemple de ce qui m'arrive, et que l'on perde dans la même semaine son petiU-fils, sa petite-fille et leur fils, tous de grande espérance et très-tendrement aimés. Dieu... | |
 | Charles Augustin Sainte-Beuve - 1858 - 434 pages
...avait dit ces paroles qu'il faut savoir gré au maréchal de nous avoir textuellement conservées : « Vous voyez mon état, Monsieur le maréchal. Il ya...l'on perde dans la même semaine son petitfils, sa petite-belle-fllle et leur fils, tous de très-grande espérance el très-tendrement aimés. Dieu me... | |
 | Charles Augustin Sainte-Beuve - 1858 - 398 pages
...avoir textuellement conservées : « Vous voyez mon élat, Monsieur le maréchal. Il ya peu.d'exemples de ce qui m'arrive, et que l'on perde dans la même semaine son pelitlils, sa petile-belle-fille et leur fils, tous de très-grande espérance et très-tendrement... | |
 | Joseph Fr. Michaud - 1859 - 696 pages
...et me dit, d'un ton pénétré qui m'attendrit : « Vous voyez mon état, monsieur le maré• chai. Il ya peu d'exemples de ce qui m'arrive, » et que l'on perde dans la même semaine son » pctit-iils, sa petite-belle-fille et leur fils, tous de » très-grande espérance, et très-tendrement... | |
 | Henri Martin - 1859 - 638 pages
...de Louis tomba; le vieux roi pleura devant son général favori. « Vous voyez mon « état, dit-il, monsieur le maréchal : il ya peu d'exemples de ce « qui m'arrive, et que l'on perde, dans le même mois, son petil« fils, sa petite-fille et leur fils, tous de très-grande espérance, et... | |
 | Roger de Larcy - 1860 - 566 pages
...l'égal de l'honneur... » Puis à Villars en lui confiant sa dernière armée: « Vous voyez an>a état, monsieur le maréchal, il ya peu d'exemples de ce qui m'arrive, et que l'on penlc dans la même semaine sop petitfils, sa petite-belle-fille et leur fils, tous de très-grande... | |
 | 1864 - 516 pages
...des larmes, et me dit d'un ton pénétré qui m'attendrit: « Vous voyez mon état, M. le maréchai. Il ya peu d'exemples de ce qui m'arrive, et que l'on...petit-fils, sa petite belle-fille et leur fils, tous de très-grande espérance et très-tendrement aimés. Dieu me punit : je l'ai bien mérité. J'en souffrirai... | |
 | Alphonse Jobez - 1864 - 598 pages
...Villars, quand ce général revint à la cour avant d'aller prendre le commandement de l'armée. 11 ya peu d'exemples de ce qui m'arrive, et que l'on perde dans la même semaine son petit-fils, sa petite-bellc-fille et leur fils, tous de très-grande espérance et tendrement aimés. Dieu me punit... | |
 | Auguste Trognon - 1865 - 702 pages
...toute la majesté de son infortune. Le vieux monarque pleurait : « Vous voyez mon état, « dit-il, monsieur le maréchal : il ya peu d'exemples « de ce qui m'arrive, et que 1 on perde dans le même « mois, son petit-fils, sa petite belle-fille et leur fils, « tous de très-grande... | |
 | A. Roche - 1867 - 542 pages
...le commandement de l'armée à Villavs. « Vous voyez mon état, lui dit-il, les larmes aux yeux : il ya peu d'exemples de ce qui m'arrive, et que l'on perde, dans le même mois, son petit-fils, sa petite-fille et leur fils, tous de grande espérance, et tendrement... | |
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J'en souffrirai moins dans l'autre monde. Mais suspendons mes douleurs sur les malheurs domestiques, et voyons ce qui peut se faire pour prévenir ceux du royaume. 
