| Marie René Roussel marquis de Courcy - 1886 - 594 pages
...quelques jours avant le départ pour la Flandre de ce vaillant homme. « Vous voyez « mon état, dit-il, il ya peu d'exemples de ce qui m'arrive « et que...perde, dans la même semaine, son petit-fils, « sa petite-fille et leur fils, tous de très-grande espérance « et très-tendrement aimés. Dieu me punit,... | |
| Marie René Roussel marquis de Courcy - 1886 - 604 pages
...pour la Flandre de ce vaillant homme. « Vous voyez «mon état, dit-il, il ya peu d'exemples de cô qui m'arrive «et que l'on perde, dans la même semaine, son petit-fils, «sa petite-fille et leur fils, tous de très-grande espérance «et très-tendrement aimés. Dieu me punit,... | |
| François Guizot - 1887 - 594 pages
...pour prendre ses derniers ordres : « Vous voyez mon état, monsieur le maréchal1, dit Louis XIV. Il ya peu d'exemples de ce qui m'arrive et que l'on perde dans la même semaine son petillils, sa petite belle-lille et leur (ils, tous de très-grande espérance et trèstendrement aimés.... | |
| Léopold Pauthe - 1889 - 600 pages
...sur sa tête, l'âme du chrétien se soumettait avec une entière humilité. Il dira à Villars : « Vous voyez mon état. Monsieur le Maréchal, il ya...l'on perde dans la même semaine son petit-fils, sa petite-tille et leur fils... Dieu me punit : je l'ai bien mérité. Mais suspendons mes douleurs sur... | |
| Ovando Byron Super - 1900 - 236 pages
...armée, il lui dit d'un ton pénétré : « Vous voyez mon état, monsieur le 25 maréchal ; il ya bien peu d'exemples de ce qui m'arrive et que l'on perde,...petit-fils, sa petite belle-fille, et leur fils, tous de très grande espérance et très tendrement aimés. Dieu me punit: je l'ai bien mérité,» puis il... | |
| Désiré Blanchet - 1903 - 612 pages
...sensibilité de l'homme : il laissa échapper des larmes, et me dit d'un ton pénétré qui m'attendrit : « Vous voyez mon état, monsieur le maréchal ; il ya peu d'exemples de ce qui m 'arrive, et que l'on perde dans la même semaine son petit-fils, sa petite-belle-fille et leur fils,... | |
| Désiré Blanchet, Jules Toutain - 1904 - 542 pages
...sensibilité de l'homme : il laissa échapper des larmes, et me dit d'un ton pénétré qui m'attendrit : « Vous voyez mon état, monsieur » le maréchal; il...» perde dans la même semaine son petit-fils, sa petite-belle-fille et leur » fils, tous de très grande espérance et très tendrement aimés. Dieu... | |
| Albert Chabrier - 1905 - 606 pages
...Mémoires la scène des adieux de Marly : Le vieux roi pleura devant son général favori : « Von? voyez mon état, Monsieur le maréchal : il ya peu...d'exemples de ce qui m'arrive, et que l'on perde, dans le même mois, son petit-fils, sa pelite-fille, et leur fils, tous de très grande espérance, et très... | |
| Emilien Noël Laurent Cazes - 1909 - 840 pages
...sensibilité <!<. l'homme ; il laissa échapper des larmes et me dit, d'un ton pénétré qui m'attendrit : « Vous voyez mon état, Monsieur le « Maréchal, il...l'on perde dans la même semaine son petit-fils, sa petile« fille et leur fils, tous de très grande espérance et très ten« drement aimés. » Marly... | |
| Ferdinand Foch, Raymond Poincaré - 1920 - 106 pages
...France. A Villars, venant en avril prendre congé de lui, le vieux roi en pleurs de confesser : « Vous voyez mon état, monsieur le maréchal, il ya peu d'exemples de ce qu'il m'arrive et que l'on perde dans le même mois son petit-fils, sa petite-fille, et leur fils,... | |
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