| François Adolphe Mathurin de Lescure - 1869 - 480 pages
...l'homme. Il laissa * échapper des larmes, et me dit, d'un ton pénétré qui i m'attendrit : — , Vous voyez mon état, Monsieur le maréchal ; il ya...perde < dans la même semaine, son petit-fils, sa petite-fille et (1) Les Mémoires de Villars ont été tour à tour publiés par l'abbé de Margon... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1869 - 480 pages
...qu'il faut savoir gré au maréchal de nous avoir textuellement conservées : « Vous voypz mon élat, Monsieur le maréchal. Il ya peu d'exemples de ce...m'arrive, et que l'on perde dans la même semaine son petil-fils, sa petite-belle-fille et leur fils, lous de Ires-grande espérance et très-tendrement... | |
| Pierre Antoine Berryer, P. Biston - 1873 - 58 pages
...adressées par Louis XIV à Villars : « Vous voyez mon état, monsieur le maréchal, lui écrivait le roi. Il ya peu d'exemples de ce qui m'arrive, et que l'on perde dans la même semaine son petit-fils, sa petitebelle-fille et leur fils, tous de très-grande espérance et trèstendrement aimés. Dieu me... | |
| François Guizot - 1875 - 588 pages
...pour prendre ses derniers ordres : « Vous voyez mon état, monsieur le maréchal1, dit Louis XIV. Il ya peu d'exemples de ce qui m'arrive et que l'on...petitfils, sa petite belle-fille et leur fils, tous de très-grande espérance et trèstendrement aimés. Dieu me punit, je l'ai bien mérité. Mais suspendons... | |
| Casimir Gaillardin - 1876 - 732 pages
...résolution de préférer la mort au déshonneur : «Vous voyezmon état,dit-il à son serviteur, « il ya peu d'exemples de ce qui m'arrive, et que l'on...dans la même semaine son petit-fils, sa petite« belle-fil le, et leur fils, tous de très-grande espérance «et très-tendrement aimés. DIEU ME PUNIT,,IE... | |
| Casimir Gaillardin - 1876 - 776 pages
...résolution de préférer la mort au déshonneur : «Vous voyezmonétat, dit-il à son serviteur, « il ya peu d'exemples de ce qui m'arrive, et que l'on...« perde dans la même semaine son petit-fils, sa petitece belle-fille, et leur fils, tous de très-grande espérance « et très-tendrement aimés.... | |
| Gustave Ducoudray - 1877 - 364 pages
...armée, il lui dit d'un ton pénétré : « Vous voyez mon état, monsieur le maréchal; il ya bien peu d'exemples de ce qui m'arrive et que l'on perde...petit-fils, sa petite belle-fille, et leur fils, tous de trèsgrande espérance et très-tendrement aimés. Dieu me punit : je l'ai bien mérité. » Puis il... | |
| 1879 - 794 pages
...lui-même : «Le roi, dit-il, laissa échapper des larmes, et d'un ton pénétré qui «m'attendrit : — «Vous voyez mon état, monsieur le maréchal, il...«semaine, son petit-fils, sa petite belle-fille, et leurs fils, tous de très « grande espérance, et très tendrement aimés. Dieu me punit , je l'ai... | |
| Louis Dussieux - 1881 - 542 pages
...échapper des larmes et me dit, d'un ton pénétré qui m'attendrit : « Vous voyez mon état, monsieur te Maréchal, il ya peu d'exemples de ce qui m'arrive,...l'on perde dans la même semaine son petit-fils, sa petite-belle-fille et leur fils, tous de très-grande espérance, et très-tendrement aimés. Dieu... | |
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