| Alain Vaillant - 2005 - 404 pages
...rimbaldien, où hommes et femmes, corps et âmes communieraient dans une harmonie enfin effective: « Mais, ô Femme, monceau d'entrailles, pitié douce, /Tu n'es jamais la sœur de charité, jamais » (v. 1 3-14). De même, Rimbaud aspire, selon la formule finale d' Une saison en enfer, à« posséder... | |
| 55 pages
...entêtements, Pareil aux jeunes mers, pleurs de nuits estivales, Qui se retournent sur des lits de diamants ; Le jeune homme, devant les laideurs de ce monde, Tressaille...douce, Tu n'es jamais la Sœur de charité, jamais, Ni regard noir, ni ventre où dort une ombre rousse, Ni doigts légers, ni seins splendidement formés.... | |
| Arthur Rimbaud - 1980 - 57 pages
...entêtements, Pareil aux jeunes mers, pleurs de nuits estivales Qui se retournent sur des lits de diamants ; Le jeune homme, devant les laideurs de ce monde Tressaille...profonde, Se prend à désirer sa sœur de charité. Mais, à Femme, monceau d'entrailles, pitié douce, Tu n'es jamais la sœur de charité, jamais, Ni regard... | |
| René Moulin - 1923 - 1178 pages
...Perse, un génie inconnu, -étueux avec des douceurs virginales... Mais ceci n'est que du Baudelaire : Le jeune homme, devant les laideurs de ce monde. Tressaille dans son cœur, largement irrité. Et, plein d'une blessure éternelle et profonde. Se prend à désirer sa soeur de charité. Mais, 6 femme, monceau... | |
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