| Edouard Fournier - 1861 - 388 pages
...encore, dans son chapitre sur la Disproportion de l'homme : « Tout le monde visible n'es t qu'un trai t imperceptible dans l'ample sein de la nature. Nulle...conceptions au delà des espaces imaginables, nous n'en— 79 — fanions que des atomes au prix de la réalité des choses. C'est vne sphère infinie,... | |
| Adolphe Mazure - 1861 - 376 pages
...point très-délicat à l'égard de celui que les astres qui roulent dans le firmament embrassent. Mais si notre vue s'arrête là, que l'imagination...plutôt de concevoir que la nature de fournir. Tout ce que nous voyons du monde n'est qu'un trait imperceptible dans l'ample sein de la nature. Nulle idée... | |
| 1861 - 1120 pages
...éternellement active, éternellement féconde. « Nous avons beau enfler nos conceptions, disait déjà Pascal, nous n'enfantons que des atomes au prix de la réalité des choses. » Que dirons-nous donc en présence de.s révélations de la science moderne? Quels nouveaux mondes... | |
| Émile Edmond Saisset - 1862 - 432 pages
...point très-délicat à l'égard de celui que les astres qui roulent dans le firmament embrassent. Mais si notre vue s'arrête là, que l'imagination...la. nature de fournir. Tout ce monde visible n'est qu'unirait imperceptible dans l'ample sein de la nature. Nulle idée n'en approche. Nous avons beau... | |
| Emile Saisset - 1862 - 436 pages
...point très-délicat à l'égard de celui que les astres qui roulent dans le firmament embrassent. Mais si notre vue s'arrête là, que l'imagination...elle se lassera plutôt de concevoir que la nature de fourmr. Tout ce monde visible n'est qu'un trait imperceptible dans l'ample sein de la nature. Nulle... | |
| P. Barrère - 1863 - 576 pages
...de celui que les astres, qui roulent dans le firmament, embrassent. Mais si votre vue s'arrête Va, que l'imagination passe outre ; elle se lassera plutôt de concevoir que la nature de fournir : tout ce que nous voyons du monde n'est qu'un trait imperceptible. Dans l'ample sein de la nature, nulle idée... | |
| Solémy de Palmas - 1863 - 366 pages
...point très-délicat à l'égard de celui que les astres qui roulent dans le firmament embrassent. Mais si notre vue s'arrête là, que l'imagination passe outre : elle se lassera plus tôt de concevoir, que la nature de fournir. Tout ce que nous voyons du monde n'est qu'un trait... | |
| Giorgio Orelli - 1990 - 108 pages
...in Pascal: «Mais si notre vue s'arrète là, que l'imagination passe outre; elle se lassera plutòt de concevoir, que la nature de fournir. Tout ce monde...imperceptible dans l'ample sein de la nature. Nulle idèe n'en approche. Nous avons beau enfler nos conceptions au-delà des espaces imaginables, nous... | |
| Jules Brody - 1991 - 246 pages
...du soleil «n'est qu'une pointe très délicate», comparée à celle des autres astres; «tout le monde visible n'est qu'un trait imperceptible dans l'ample sein de la nature»; et ainsi de suite (199-72). Dans une perspective plus abstraite: «Ne se peut-il faire que cette moitié... | |
| Giacomo Leopardi - 1994 - 296 pages
...point très délicat, à l'égard de celui que les astres qui roulent dans le firmament embrassent. Mais, si notre vue s'arrête là, que l'imagination...plutôt de concevoir que la nature de fournir. Tout ce que nous voyons du monde n'est qu'un trait imperceptible dans l'ample sein de la nature : nulle idée... | |
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