| Jules Romain Barni - 1850 - 362 pages
...c'est (1) «Quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que celui qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt, et l'avantage que l'univers a sur lui. l'univers n'en sait rien. 'Pensées dePatcal, Ed. P. Faugère, t. n, ch. iv, p. 8h. tout simplement qu'en confondant et en accablant... | |
| Jean-Victor de Decker - 1850 - 284 pages
...tuer. Mais quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue; parce qu'il sait qu'il meurt; et l'avantage que l'univers a sur lui, l'univers n'en sait rien. » § 4l. La différence entre ces trois points de vue est facileà saisir, pour peu qu'on y fusse... | |
| Alexandre Rodolphe Vinet - 1851 - 534 pages
...tuer. Mais quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt ; et l'avantage que l'univers a sur lui, l'univers n'en sait rien. Ainsi toute notre dignité consiste dans la pensée. C'est de là qu'il faut nous relever, non de l'espace... | |
| 1851 - 544 pages
...Mais quand I univers l'écra« serait, l'homme serait encore plus noble que ce qui « le tue, parce qu'il sait qu'il meurt, et l'avantage que « l'univers a sur lui, l'univers n'en sait rien. » Ce qui n'est rien pour le soleil, son êlre qu'il ignore, est vie en nous qui le savons, et la vie... | |
| Adolphe Garnier - 1852 - 484 pages
...tuer. Mais quand l'univers l'écraserait , l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt, et l'avantage que l'univers...Travaillons donc à bien penser : voilà le principe 1. Voyez la nature de la science et de la poésie, plus loin, livre Vlll, chap. MI. 2. Métaphysique,... | |
| Adolphe Garnier - 1852 - 476 pages
...tuer. Mais quand l'univers l'écraserait , l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt, et l'avantage que l'univers...Travaillons donc à bien penser : voilà le principe 1. Voyez la nature de la science et de la poésie, plus loin, livre V1H, chap. ni. 2. Métaphysique,... | |
| J. A. Lisle - 1852 - 142 pages
...tuer. Mais quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt, et l'avantage que l'univers a sur lui. L'univers n'en sait rien. » Voilà le but de la tragédie. Elle prend dans la nature humaine ce qu'il ya de plus grand et de... | |
| Eugène Geruzez - 1852 - 570 pages
...tuer. Mais quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt; et l'avantage que l'univers a sur lui, l'univers n'en sait rien. » D'ailleurs cette raison qu'il rudoie , Pascal la prend pour juge sur elle-même : « La raison ,... | |
| Eugène Geruzez - 1852 - 610 pages
...tuer. Mais quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt; et l'avantage que l'univers a sur lui, l'univers n'en sait rien. » D'ailleurs cette raison qu'il rudoie, Pascal la prend pour juge sur elle-même : « La raison ,... | |
| 1868 - 422 pages
...mais » quand l"univers l'écraserait, l'homme serait encore » plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il » meurt, et l'avantage que l'univers a sur lui, l'univers » n'en sait rien. » Ainsi donc l'homme ne peut et ne pourra jamais être comparé à aucune des espèces animales perdues... | |
| |