L'effort que je me fis pour sortir d'un sproposito* si unique, et dont je sentis toute l'effrayante valeur, me fournit une issue : « C'est, lui dis-je, que je ne vous... Mémoires du duc de Saint-Simon - Page 102by Louis de Rouvroy duc de Saint-Simon - 1874Full view - About this book
| Louis de Rouvroy duc de Saint-Simon - 1829 - 496 pages
...sentis toute l'effrayante valeur , me fournit une issue : « C'est, lui dis-je, que je ne vous avais jamais tant regardé de suite qu'en ce vis-à-vis...sain avec tout votre travail que j'en suis surpris ». Il goba la repartie, ou en fit si bien le semblant qu'il n'ya jamais paru ni lors ni depuis , et... | |
| Guettée (M. l'abbé, Wladimir) - 1856 - 510 pages
...je sentis toute l'effrayante valeur, me fournit uue issue : « C'est, lui dis-je, que je ne vous ai jamais » tant regardé de suite qu'en ce vis-à-vis...deux bougies, » et que vous avez le visage si bon, si sain, avec tout votre travail, » que j'en suis surpris. » Il goba la repartie, ou en lit si bien... | |
| Wladimir Guettée - 1856 - 1028 pages
...issue : « C'est, lui dis-je, que je ne vous ai jamais » tant regardé de suite qu'en ce vis-ù-vis et entre ces deux bougies, » et que vous avez le visage si bon, si sain, avec tout votre travail, A que j'en suis surpris. » 11 goba la repartie, ou en fit si bien... | |
| Louis de Rouvroy duc de Saint-Simon - 1857 - 510 pages
...sentis toute l'effrayante valeur , me fournit une issue: « C'est, lui dis -je, que je ne vous a vois jamais tant regardé de suite qu'en ce vis-à-vis...que j'en suis surpris. » II goba la repartie, ou en fît si bien le semblant qu'il n'ya jamais paru ni lors ni depuis , et qu'il ne cessa point de me parler... | |
| Guettée (M. l'abbé, Wladimir) - 1859 - 534 pages
...sentis toute l'effrayante valeur, me fournit une issue : « C'est, lui dis» je, que je ne vous ai jamais tant regardé de suite qu'en » ce vis-à-vis...deux bougies, et que vous avez » le visage si bon, si sain, avec tout votre travail, que j'en » suis surpris. » Il goba la repartie, ou en fit si bien... | |
| Joseph de Crozals - 1891 - 252 pages
...sentis toute l'effrayante valeur, me fournit une issue : « C'est, lui dis-je, que je ne vous avais jamais tant regardé de suite qu'en ce vis-à-vis...travail, que j'en suis surpris. » II goba la repartie et me répliqua qu'il avait soixante-quatorze ans, qu'en effet il se portait très bien, qu'il était... | |
| Louis de Rouvroy duc de Saint-Simon - 1912 - 600 pages
...dit-il en souriant, me demandez-vous cela ? » L'effort que je me fis pour sortir d'un sproposito 1 si unique, et dont je sentis toute l'effrayante valeur,...sain, avec tout votre travail, que j'en suis surpris. » Il goba la repartie, ou en fit si bien le semblant qu'il n'ya jamais paru ni lors ni depuis, et... | |
| |