La pastorale dramatique en France à la fin du XVIe et au commencement du XVIIe siècleHachette et cie, 1905 - 524 pages |
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Common terms and phrases
aime Alcée Alexandre Hardy Alphée amants Aminta amour assez Astrée auec aventures Basire berger Boccace Céladon ceste charme Chaste Bergère chose Chrestien des Croix cinq actes comédie Coridon Corine Cupidon d'ailleurs d'Urfé dénouement dialogue Diane Diéromène édition églogues emprunts épisodes espagnole fille Fonteny Fossinde François François Ier Garcilasso genre Guarini Hardy héros Histoire Hylas iamais Ibid imitations intrigues italienne jalousie jeune Juan del Encina l'Aminta l'amour l'Arcadia l'Arimène l'Astrée l'auteur l'églogue l'inuention l'Orfeo Lope Lycoris magicien Mairet ment mesme Montemayor Montreux nymphes œuvres Pasithée passion Pastor fido pastorale pastorale dramatique pastorale française Paul Ferry personnages pièce poésie poète poétique premier prologue prose Racan rien rival roman roman chevaleresque romanesque Rouen Ryer Sannazar satyre scène seizième siècle sentiments serait seulement Sidère sieur simple Soleinne surtout Sylvanire Sylvie Tasse théâtre tion tirades Tirinte Tirsi Torraca trad traduction tragédie tragi-comédie tragique Triomfe d'amour triomphant Troterel
Popular passages
Page 230 - Nous devons cela au lieu de notre naissance et de notre demeure de le rendre le plus honoré et renommé qu'il nous est possible.
Page 353 - La nouveauté de ce genre de comédie, dont il n'ya point d'exemple en aucune langue, et le style naïf qui faisait une peinture de la conversation des honnêtes gens, furent sans doute cause de ce bonheur surprenant, qui fit alors tant de bruit.
Page 413 - C'est tout ce que mon loisir m'a permis de contribuer à la scène françoise qui ne peut avoir que les quatre faces que je te monstre.
Page 344 - La tragédie qui tient rang du plus grave, laborieux, et important de tous les autres Poèmes, et que ce grand Ronsard feignait de heurter crainte d'un naufrage de réputation, se traite auiourd'huy par ceux qui ne virent seulement iamais la couverture des bons livres, qui sous ombre de quelques...
Page 247 - J'approuve fort une grande douceur au vers, une liaison sans jour, un choix de rares conceptions exprimées en bons termes et sans force, telles qu'on les admire dans les...
Page 112 - C'est sur ce mont désert que je passais mes jours , comme je le pouvais. De là je regardais comment la terre va se perdre dans les flots, et comment la mer s'étend loin du rivage, pour finir où personne ne peut la voir. Et quand la nuit venait recueillir mes pensées, quand je voyais les oiseaux chercher la retraite et le sommeil , je rentrais dans ma pauvre cabane, où Dieu est témoin des nuits que je passais. Ainsi le temps coulait pour moi. » II ya peu de jours, en gagnant la hauteur, je...
Page 330 - Depuis que Théophile eut fait jouer sa Thisbé «et Mairet sa Sylvie, M. de Racan ses Bergeries et « M. de Gombauld son Amaranthe, le théâtre fut plus «célèbre, et plusieurs s'efforcèrent d'y donner un
Page 423 - Mon âme, d'intelligence avec mon esprit plus qu'avec mes sens, forme une résistance secrète aux impressions qu'elle peut recevoir, ou pour le moins elle manque d'y prêter un consentement agréable, sans lequel les objets les plus voluptueux même ne sauraient me donner un grand plaisir.
Page 384 - ... blâmer, s'ils ne sont pas assez raisonnables pour la suivre après les premiers hommes de l'Antiquité, qui ne s'y sont pas généralement assujettis sans occasion.
Page 256 - Non, il me voudrait voir avec trop de licence : Dis-lui que, dans le doute où me tient sa santé... Mais, puisque tu l'as vu, puis-je en avoir douté? Flattant trop un amant, une amante inexperte Par ses soins superflus en hasarde la perte. Va, Lydie, et dis-lui ce que pour mon repos Tu crois de plus séant et de plus à propos.