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MM. LA PERCHE (Eugène), à Saint-Cyr-lez-Tours (Indre

et-Loire).

LA PERCHE (Mme Eugène), id.

*LA ROCHE DE MARCHIENNES (E. DE), à Harvengt (Belgique).

*LAURIÈRE (Jules DE), secrétaire général de la S. F. d'A., à Paris.

*LEDAIN (Bélisaire), inspecteur de la S. F. d'A., à
Poitiers.

LEMAN (Benoît), à Saint-Ghislain (Belgique).
*LEMAN (Charles), à Compiègne.

*L'ESTOURBEILLON (le comte R. DE), inspecteur de la
S. F. d'A., à Vannes.

*LIEFFROY (Aimé), vice-président de la Société d'émulation, à Besançon.

LIMBOURG-STYRUM (le comte Th. DE), sénateur du royaume, à Gand.

'LOE (le baron Alfred DE), secrétaire de la Société d'Archéologie de Bruxelles.

LONGCAMP (A. LE FÉRON DE), membre du Comité permanent de la S. F. d'A., à Caen.

LONGIN, avocat, à Dole.

*LORAIN, avoué, à Rambouillet.

*LUCAS (Charles), architecte, à Paris.

LURION (Roger DE), à Besançon.

MACQUERON (Henry), à Abbeville.

MAGNIN, professeur à la Faculté des sciences, adjoint au maire de Besançon.

MAIROT (Henri, banquier, président du Tribunal de commerce, à Besançon.

*MAREUSE (E.), délégué de la Commission des antiquités de Seine-et-Oise, à Paris.

*MARSY (le comte DE), directeur de la S. F. d'A., à Compiègne.

*MAURION DE LARROCHE, à Versailles.

MONTANDON, adjoint, à Rambouillet.

MM. *MONTRICHARD (le vicomte Gabriel DE), château de

Cléron (Doubs).

MOREY (l'abbé), à Baudoncourt (Haute-Saône).

*MORRY (Charles DE), à Tours.

MORRY (Mme Charles DE), à Tours.

NARDIN (Léon), pharmacien, à Belfort.

*NODET (Henry), architecte, à Paris.

OLLIVIER-BEAUREGARD (Georges-Michel), délégué de

la Société d'Anthropologie, à Paris.

*PASQUIER (Félix), archiviste du département, à Foix. PELLECHET (Mile Marie), à Paris.

*PETIT (Ernest), conseiller général, à Vausse (Yonne). PINGAUD (L.), professeur à la Faculté des lettres de Besançon.

*PINOTEAU (le baron A.), à Paris.

*PLICQUE (le docteur A.), à Lezoux (Puy-de-Dôme). POUL (Mme DE), à Compiègne.

PRINET (Max), élève de l'École des Chartes, à Gouhe

nans (Haute-Saône).

*PROST (l'abbé), à Parcey (Jura).

QUINET, receveur des postes, à Dole.

*RÉGNIER (Louis), à Évreux.

REVEL DU PERRON (l'abbé DE), docteur en théologie,

vicaire à Lure (Haute-Saône).

RICHENET, conseiller municipal, à Dole.

RIPPS, architecte à Besançon.

*ROUÈDE, à Châtillon-sur-Indre.

*ROUMEJOUX (Anatole DE), inspecteur de la S. F. d'A.,

château de Rossignol (Dordogne).

ROUZET (Louis), architecte à Dole.

*RUILLÉ (CHARIL DE), à Angers."

RUYET (l'abbé), archiprêtre à Dole.

SAINTE-AGATHE (le comte DE), archiviste paléographe, à Besançon.

SAYOUS (Ed.), professeur à la Faculté des lettres, président de l'Académie, à Besançon.

MM. SCOTÉ (Léon), à Clermont (Oise).

SIEBER (le docteur Louis), bibliothécaire de l'Uni

versité, à Bâle (Suisse).

*SILVA (le chevalier J. P. N. DA), membre de l'Institut, architecte du roi, à Lisbonne.

*SOREL (Alexandre), à Compiègne.

SUCHET (le chanoine), à Besançon.

TECHTERMANN (Max DE), à Fribourg (Suisse).

*THIOLLIER (Félix), à Saint-Etienne.

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TOURNIER (l'abbé), curé d'Athesans (Haute-Saône).
TRAVERS (Émile), membre du Comité permanent de

la S. F. d'A., à Caen.

VAISSIER, conservateur adjoint du Musée archéologique, à Besançon.

*VALLENTIN (Ludovic), à Montélimar.

VATIN (Mmc Eugéne), à Senlis.

*VAYSON (Janin), à Abbeville.

*WIENER (Lucien), conservateur du musée lorrain, à Nancy.

'WILSON (le major général F. S.), à Beaumont (Jersey).

INTRODUCTION

Il semble qu'une sorte de fatalité soit venue s'attacher à ceux qui ont été les principaux organisateurs de notre Congrès de Franche-Comté et de notre excursion en Suisse, de 1891.

Trois mois après notre visite à Berne, où, grâce à sa haute influence, nous avions été l'objet d'une splendide réception de la part du Conseil d'État du canton de Bâle-Ville, M. le docteur Louis SIEBER, l'éminent conservateur de la Bibliothèque de l'Université, succombait à la suite d'une courte maladie, à la veille du jour où, sur la proposition de S. E. l'Ambassadeur de France en Suisse et grâce à la haute entremise de M. Léopold Delisle, le gouvernement français allait récompenser par la croix de chevalier de la Légion d'honneur les travaux du docteur Sieber et les services que, depuis de longues années, il n'avait cessé de rendre à l'érudition française.

Nous n'avons pu apporter sur sa tombe que le tribut de nos regrets, et notre confrère, M. P. Carteron, consul de France à Bâle, a bien voulu y faire déposer une couronne offerte au nom de la Société française d'Archéologie.

Ce deuil ne devait malheureusement pas être le seul. Au moment où nous commencions à réunir les matériaux de ce compte-rendu, une nouvelle foudroyante

venait apporter une note de tristesse à la réunion du Congrès d'Orléans. Le 28 juin 1892, M. Auguste CASTAN, qui avait rempli d'une manière si brillante et avec tant de dévouement les fonctions de secrétairegénéral du Congrès de Besançon, était frappé par une attaque d'apoplexie, dans la Bibliothèque dont il avait tant contribué à rehausser l'importance, en en faisant connaître les richesses dans de nombreuses publications.

Nous avions d'abord songé à retracer la vie de celui qui fut un des membres les plus distingués de notre association, mais nous avons cru que nous ne pourrions aussi bien remplir cette tâche que ne l'avait fait à ses funérailles l'un de ses plus anciens amis, son successeur comme secrétaire de cette Société d'Émulation dont, pendant tant d'années, il avait été l'âme, M. le conseiller Besson (1):

DISCOURS

PRONONCÉ PAR M. BESSON

Aux funérailles de M. Auguste Castan,
Le 30 juin 1892.

<<< Messieurs,

« Ce n'est pas ici, devant cette tombe, si soudainement et si prématurément ouverte, que je puis dire d'une manière complète ce que fut l'homme éminent, le cœur dévoué, l'intelligence d'élite qu'elle va nous

(1) Nous étions loin de penser qu'au moment où s'imprimeraient ces lignes, M. Besson aurait, lui aussi, disparu brusquement, par une mort dont les motifs restent inexplicables.

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