Revue d'anthropologie, Volume 6Paul Topenard C. Reinwald, 1877 |
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... espèces , les unes cicatrisées depuis longtemps , les autres en quelque sorte fraîches et ne présentant aucun travail de réparation . Je vais prouver que celles - ci sont posthumes , et que celles - là sont chirurgicales . §3 . DES ...
... espèces , les unes cicatrisées depuis longtemps , les autres en quelque sorte fraîches et ne présentant aucun travail de réparation . Je vais prouver que celles - ci sont posthumes , et que celles - là sont chirurgicales . §3 . DES ...
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... espèces d'ou- vertures sont dues à deux opérations complétement diffé- rentes . En troisième lieu , et ceci est décisif , la plupart des rondelles et la plupart des ouvertures crâniennes présentent à la fois sur une partie de leur bord ...
... espèces d'ou- vertures sont dues à deux opérations complétement diffé- rentes . En troisième lieu , et ceci est décisif , la plupart des rondelles et la plupart des ouvertures crâniennes présentent à la fois sur une partie de leur bord ...
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... espèces : 1 ° les unes sont la conséquence d'un arrêt de formation des pariétaux ; elles sont doubles et symétriques ( voir fig . 8 et 9 ) ; elles tiennent la place des trous pariétaux , et ont , par conséquent , un siége absolument ...
... espèces : 1 ° les unes sont la conséquence d'un arrêt de formation des pariétaux ; elles sont doubles et symétriques ( voir fig . 8 et 9 ) ; elles tiennent la place des trous pariétaux , et ont , par conséquent , un siége absolument ...
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... espèces de perforations crâniennes ; mais , cette fois , il ne s'agit plus de prévoir des ob- jections qui n'ont pas encore été faites ; il s'agit d'examiner une opinion qui s'est toujours présentée , avant toute autre , à l'esprit des ...
... espèces de perforations crâniennes ; mais , cette fois , il ne s'agit plus de prévoir des ob- jections qui n'ont pas encore été faites ; il s'agit d'examiner une opinion qui s'est toujours présentée , avant toute autre , à l'esprit des ...
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... espèces fossiles se perfectionnaient de plus en plus au fur et à mesure que les périodes zoologiques étaient plus rapprochées de nos âges ; que dans l'évolution embryologique le progrès était absolument continu , et qu'enfin il existait ...
... espèces fossiles se perfectionnaient de plus en plus au fur et à mesure que les périodes zoologiques étaient plus rapprochées de nos âges ; que dans l'évolution embryologique le progrès était absolument continu , et qu'enfin il existait ...
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Common terms and phrases
12 dorsales 7 cervicales amulettes anatomique angle animaux antérieure anthropoïdes apophyses apophyses transverses articulaires assez Berbers Bochimans bord brachycéphales Broca bronze Bulletins c'est-à-dire cæcum caractères cellules centimètres cérébrales cerveau chimpanzé cicatrisé circonvolution civilisation coccygienne colonne considérable côté crâne crâne humain crâniennes d'anthrop d'anthropologie d'autres Darwin degrés dernière développement différentes dolichocéphales dolmens espèces Ethnologie Finnois forme frontale général géographie gorille groupes habitants Hartmann indice céphalique individus inférieur j'ai l'angle orbito-occipital l'apophyse l'auteur l'étude l'homme l'os langue Lapons lombaire longueur ment microcéphales millimètres moyenne musée nègres Négritos néolithique nombre nord normal observations orbitaire organes ouvertures ovules pariétal pays peuples phénomènes physiologie pièces pliocène population postérieure préhistoriques premier présente primitive produit races humaines rapport région reste REVUE D'ANTHROPOLOGIE rondelle Ruthènes sacrée sacrum sagittale Sarmates Savoyards sciences section segment série seulement silex singes Société d'anthropologie soudée squelette suivant supérieur suture taille tion Topinard trépanation tribus trou occipital trouve tumulus type vertèbre
Popular passages
Page 65 - L'artère et le nerf de l'humérus passaient par l'ouverture supracondyloïde. A cette période ou à une période antérieure, l'intestin possédait un diverticulum ou csecumplus grand que celui existant actuellement. Le pied, à en juger par la condition du gros orteil dans le fœtus, devait être alors préhensile, et nos ancêtres vivaient sans doute habituellement sur les arbres, dans quelque pays chaud, couvert de forêts. Les mâles avaient de grandes dents canines qui leur servaient d'armes...
Page 219 - ... restitution qui suivait la trépanation posthume ; mais on remarquera que deux fois sur trois on avait choisi des rondelles régulières, qui étaient très-rares et très-précieuses; c'est la preuve de l'importance qu'on attachait à cette cérémonie. Quel était le but des amulettes intra-crâniennesr N'étaient-elles qu'un symbole, qu'une représentation en petit de la grande portion de crâne enlevée par la trépanation posthume ? C'est peu probable, car un fragment crânien quelconque...
Page 486 - Mais, plus je réfléchis, plus je me confirme dans la conviction que l'homme et l'animal pensent et raisonnent en vertu d'une faculté qui leur est commune et qui est seulement énormément plus développée dans le premier que dans le second. Ce que je viens de dire de l'intelligence je n'hésite pas à le dire aussi du langage qui en est la plus haute manifestation.
Page 206 - Elle explique encore, et elle explique seule pourquoi les crânes des sujets trépanés étaient considérés comme sanctifiés, et pourquoi on en faisait des amulettes après la mort des sujets; ce n'était pas le fait même de l'opération qui pouvait leur donner leur caractère de sainteté, c'était la nature mystique de la maladie que l'opération avait guérie. Le crâne où un Esprit avait habité, l'ouverture à travers laquelle il était sorti, étaient marqués d'un sceau surnaturel ; et...
Page 9 - Les crânes des individus qui survivaient à cette trépanation étaient considérés comme jouissant de propriétés particulières, de l'ordre mystique; et, lorsque ces individus venaient à mourir, on taillait souvent, dans leurs parois crâniennes, des rondelles ou fragments, qui servaient d'amulettes, et que l'on prenait de préférence sur les bords de l'ouverture cicatrisée...
Page 15 - Demi-nat. substance, située vers le milieu de la suture sagittale, entame profondément les deux pariétaux (voir fig. 7). Il semble donc que le siège des ouvertures ne soit assujetti à aucune règle. Il y avait cependant une règle importante, et à laquelle aucun des faits que je connais ne fait exception : c'est qu'on respectait toujours la partie du crâne qui n'est pas recouverte de cheveux, celle qui constitue le front, et qui appartient au visage ; je parle de la région appelée front...
Page 15 - ... de la région n'est nullement modifiée. Les ouvertures que je viens de décrire occupent des régions très-variables ; la plupart correspondent au pariétal, quelques-unes à l'écaillé occipitale ou à la partie la plus élevée de l'écaillé frontale. D'autres sont en quelque sorte à cheval sur une suture, de manière à empiéter, à peu près par moitié, sur les deux os voisins. M. de Baye a représenté dans son mémoire deux cas de ce genre : sur le premier crâne, l'ouverture traverse...
Page 29 - On voit maintenant (voir fig. 11) que cette suture n'est pas droite ; elle décrit, entre le bregma et le lambda, une courbe assez prononcée, dont la concavité est dirigée vers la ligne médiane, et dont la convexité est tournée vers le côté gauche, c'est-à-dire vers le côté trépané. Pour apprécier le degré de cette déviation', j'ai simulé une coupe médiane , à l'aide d'un cordon tendu de l'inion à la racine du nez, et passant par le lambda. J'ai reconnu ainsi que la partie moyenne...
Page 488 - On sait qu'il existe en Asie une vaste région entourée au sud et au sud-ouest par l'Himalaya, à l'ouest par le Bolor, au nordouest par l'Ala-Tau, au nord par l'Altaï et ses dérivés, à l'est par le Kingkhan, au sud et au sud-est par le Felina et le KuenLoun. A en juger par ce qui existe aujourd'hui, ce grand massif central pourrait être regardé comme ayant renfermé le berceau de l'espèce humaine.
Page 81 - Broca (1), s'élève en moyenne chez le blanc jusqu'au milieu de la hauteur des fosses nasales antérieures; chez le nègre, il descend souvent au-dessous de l'épine nasale, et quelquefois au-dessous du point alvéolaire ; chez les jeunes anthropoïdes, il descend à peine au-dessous de ce point et peut remonter au-dessus ; chez les anthropoïdes adultes, enfin, il descend toujours bien au-dessous du menton. » II est donc plus que vraisemblable que ce plan descendait beaucoup plus bas chez le précurseur...