Recueil de poésies franc̜oises des XVe et XVIe siècles: morales, facétieuses, historiques, Volume 9Anatole de Montaiglon, James baron de Rothschild P. Jannet, 1865 - 364 pages |
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advis amour asseurance aultres auroit avoient avoit Blosseville Bourbon celuy ceste ceulx Charles Charles d'Orléans chascun chose comte cueur d'amours d'estre d'ung Dangier devise Dieu donne doulx droict duc de Mercœur dueil estat esté estoit estonné estre étoit eulx faict fault faulx femme feuillets fist François François Ier François Phébus fust gens grans grant guerre hault Henri III huguenots j'ay JEUNE jour L'AISNÉE l'imprimé l'ung loing m'en mainte MARIÉ Maugiron maulx mesme mieulx mondains monstre Morisques Nantois nully oncques passer pense peult PICARDIE pièce Pierre de Brezé plains plaisir poëte pourroit povres Prescott prince prins qu'ilz quoy reistres rien rime roy Françoys s'il s'ilz Sainct Saint-Malo sçay seigneur sens sera seroit seul seur soubs soubz strophe telz tombeau tost TOURNESIS tousjours vault veoir veult Victoire ou mort VIEL voye vray vueil yeulx
Popular passages
Page 53 - Mesgrin , gentilhomme bourdelois , jeune , riche et de bonne part, l'un des mignons fraisés du Roy, sortant à onze heures du soir du Louvre, où étoit le Roy, en la même rue du Louvre, vers la rue Saint-Honoré , fut chargé de coups d'épées et de pistolets par vingt ou trente hommes, qui le...
Page 183 - Lorsque cette fameuse comédienne, appelée La Porte, montoit encore sur le théâtre et qu'elle se faisoit admirer de tout le monde avec Valeran, et que Perrine et Gaultier étoient des originaux qu'on ne peut trop imiter.
Page 257 - J'étais alors en Allemagne, où l'occasion des guerres qui n'y sont pas encore finies m'avait appelé; et, comme je retournais du couronnement de l'empereur vers l'armée, le commencement de l'hiver m'arrêta en un quartier où , ne trouvant aucune conversation qui me divertît, et n'ayant d'ailleurs , par bonheur, aucuns soins ni passions qui me troublassent, je demeurais tout le jour enfermé seul dans un poêle...
Page 207 - Moulins, il vouloit signiffier que, pour sortir hors de France , et pour sauver sa vie, il luy avoit convenu faire un...
Page 255 - Altissimi vocaberis: praeibis enim ante faciem Domini parare vias ejus:) Ad dandam scientiam salutis plebi ejus, in remissionem peccatorum eorum: (Per viscera...
Page 111 - Tousjours vous font * quelque beau conte ; L'ung ou l'autre vostre main serre , Ou l'autre sur 2 le pied vous monte ; L'ung est en paix, l'autre est en guerre, Et l'autre s'encline vers terre En vous contemplant en tous lieux3, Et sont à genoulx ou à terre Comme devant * beaux sire Dieux. « Les ungs vous baisent en la joue , L'autre baise s voz gens tetins, L'aultrc le0 col, ainsi qu'on joue7, Et l'autre garde les patins.
Page 255 - Dei nostri: in quibus visitavit nos, oriens ex alto) Illuminare his qui in tenebris et in umbra mortis sedent: ad dirigendos pedes nostros in viam pacis.
Page 22 - Il planta en ce païs les enseignes et armoiries s r. du Roy de France : de sorte que les Espagnols mesmes qui y furent depuis ont nommé ce païs terre Francesque.
Page 49 - Craignez-vous cil qui est aux hommes execrable, Qui, seulement veuillez le, et le voilà vaincu, De mille torts sur torts en son cœur convaincu, Qui n'a force, valeur, mérite ne courage, Que trahison, poison, et l'or, dont il fait rage, Vous qui surabondez de ce qui lui default, Hormis cest or vainqueur qu'arracher il luy fault Pour rendre de tous poincts la France bien heurée, Et ce cerf aux abbois, et en faire curée ? La France, quoy qu'on die, est pleine en toutes pars De poudres, de vaisseaux,...
Page 307 - On les vend à Paris en la rue neufve Nostre Dame à l'enseigne de l'Escu de France par Alain Lotrian, 1 544,