| 1823 - 520 pages
...fa» milières. Mon cher maréchal . »je conçois que vous devez avoir »de la peine; je sais que je vous »fais un tort réel, mais restez »persuadé...eussiez achevé cet »hiver de bien connaître les loca-' »lités, et ma confiance dans vos :> talens et dans votre vieille expé» rience de la guerre... | |
| 1823 - 728 pages
...fa»milières. Mon cher maréchal , »je conçois que voue devez avoir »de l,i peine; ¡«sais que je voue »fais un tort réel, mais restez »persuadé que...les circonstances; eussent été »moins urgentes- coinine je m'en »flattant, vous ci issir/, achevé cet »hiver de bien connaître les lora »lités,... | |
| Antoine-Vincent Arnault - 1827 - 538 pages
...également fa»miJières. Mon cher maréchal, »je conçois que vous devez avoir »de la peine; je sais que je vous »fais un tort réel, mais restez »persuadé...connaître les loca»lités, et ma confiance dans vos ;> talens et dans votre vieille expé» rience de la guerre m'eût rassu» ré. Mais vous connaissez... | |
| Antoine-Claire Thibaudeau - 1834 - 564 pages
...familières. Mon cher maréchal, ajoutait Napoléon, je conçois que vous devez avoir de la peine, je sais que je vous fais un tort réel, mais restez persuadé que c'est malgré moi. » Enfin les évènemens pouvant nécessiter de nouvelles formations , l'Empereur promettait à Jourdan... | |
| comte Antoine Clair Thibaudeau - 1834 - 556 pages
...familières. Mon cher maréchal, ajoutait Napoléon, je conçois que vous devez avoir de la peine, je sais que je vous fais un tort réel, mais restez persuadé que c'est malgré moi.» Enfin les évènemens pouvant nécessiter de nouvelles formations , l'Empereur promettait à Jourdan... | |
| Antoine Clair Thibaudeau - 1834 - 548 pages
...familières. Mon cher maréchal, ajoutait Napoléon, je conçois que vous devez avoir de la peine, je sais que je vous fais un tort réel, mais restez persuadé que c'est malgré moi. » Enfin les évènemens pouvant nécessiter de nouvelles formations, l'Empereur promettait à Jourdan... | |
| Société archéologique et historique du Limousin - 1852 - 324 pages
...familières. Mon cher » maréchal , je conçois que vous devez avoir de la peine ; je sais que » je vous fais un tort réel ; mais restez persuadé...localités , et ma confiance dans vos talents et dans votre vieille » expérience de la guerre m'eût rassuré. Mais vous connaissez le » Rhin; vous y... | |
| 1858 - 498 pages
...également familières. Mon cher maréchal, je conçois que vous devez avoir de m peine; je sais que je vous fais un tort réel , mais restez persuadé...localités , et ma confiance dans vos talents et dans votre vieille expérience de la guerre m'eût rassuré. Mais vous connaissez le Rhin ; vous y avez... | |
| 1858 - 980 pages
...également familières. Mon cher maréchal , je conçois que vous devez avoir de la peine; je | sais que je vous fais un tort réel , mais restez persuadé...localités , et ma confiance dans vos talents et dans votre vieille expérience de la guerre m'eut rassuré. Mais vous connaissez le Rhin; vous y avez eu... | |
| Nouvelle biographie - 1858 - 540 pages
...également familières. Mon cher maréchal , je conçois que vous devez avoir de ia peine ; je sais que je vous fais un tort réel , mais restez persuadé...circonstances eussent été moins urgentes , comme j«_m'en flattais, vous eussiez achevé, cet hiver, de bien connaître les localités , et ma confiance... | |
| |