Mémoires de la Société d'emulation du Doubs |
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Common terms and phrases
7e corps d'armée ancien août Arbois archiviste avaient avril bailliage Belfort Besançon Bisontins Blaeu Bouchard Boyvin burg Burgondes canton Carte Cassini Carte Querret Carte Sanson cartouche Cellard chanoine Charles Nodier château de Joux Chifflet Coindre collection Comitatus Burgundiæ comté de Bourgogne comtois croix d'Emulation du Doubs docteur Dole Dr Richard Dr Roland drapeau échelle Euvrard feuilles fossiles franc-comtois française Franche-Comté François Bouchard Gauthier Gazier général géographe goth Grande-Rue gravée sur cuivre Gray Haute-Saône Hondius honoraire Ibid j'ai Jaillot Jean Joux juin Jura l'Académie lettre longitude Lons-le-Saunier Louis Maldiney Mandeure mars Mathieu Membres résidants Mémoires Menoncourt ment Montbéliard mort musée noms de lieu Pajot passé Philadelphes pièce Pitois planche Poligny Pontarlier première présenté président professeur province régiment région Roche-d'Or roches Salins Sanson d'Abbeville séance secrétaire décennal serait Société d'Emulation Suisse Tassin Thieffrans tion titre trouve Vernier Villafans Weiss XVII-XVIIIe XVIIe siècle
Popular passages
Page 155 - Je jure de veiller avec soin sur les fidèles dont la conduite m'a été ou me sera confiée par l'Église, d'être fidèle à la Nation, à la Loi et au Roi, et de maintenir de tout mon pouvoir, en tout ce qui est de l'ordre politique, la Constitution décrétée par l'Assemblée nationale et acceptée par le Roi...
Page 122 - Ma première parole sera pour vous remercier de l'honneur que vous m'avez fait en m'appelant à la présidence de votre Société pour l'année 1920.
Page 61 - Besançon est une ville morte et tous mes efforts ne parviendront pas à la ranimer. C'est Paris qui la tue en attirant tous ceux qui pourraient lui donner de la vie par leur talent ou leur esprit.
Page 20 - S'ils s'informent de ma profession de foi, tu leur diras qu'elle est très-simple, et que je la professe depuis l'enfance. Tu leur diras qu'en ma qualité de français conquis, j'ai servi la Restauration, tant que j'ai vu en elle une double garantie contre deux exécrables esclavages, celui de la démocratie parisienne et celui de l'Empire, mais que la centralisation m'en a détaché. Tu leur diras qu'en ma qualité de FrancComtois, je ne veux point de vos ravageurs...
Page 42 - plus rien espérer de la fortune. » On me permettra d'y voir aujourd'hui quelque chose de plus profond, une de ces vaticinations poétiques dont l'inspiration n'est donnée qu'à un petit nombre de génies privilégiés. J'en suis venu effectivement à considérer le règne de Napoléon ( et ma parole mérite une certaine créance, car je ne l'ai ni servi ni aimé) comme la dernière de toutes les victoires que l'esprit de civilisation dût remporter sur la barbarie. Nous avons laissé Adam sous...
Page 229 - D'après Gollut, Louis XI aurait, au mois d'août 1479, restitué Château-Vilain à Hugues de Chalon. (Les Mémoires historiques de la république séquanoise et des princes de la Franche-Comté de Bourgogne.
Page 132 - ... pour nous, jugé inutile de mentionner les noms barbares des dieux gaulois; mais en les désignant par les noms des dieux romains correspondants, il a du moins défini leur rôle et leurs attributions. Voici le passage, en ce qu'il a d'essentiel : « Les Gaulois adorent principalement Mercure, et ils en ont de nombreuses images; ils le regardent comme l'inventeur des arts, le patron des chemins et des voyages, du commerce et des affaires. Après lui, ils adorent Apollon, Mars, Jupiter, Minerve....
Page xxix - ... des soldats en armes, avec mitrailleuses dans les carrefours. Dans chaque maison un jeune officier ou sous-officier, accompagné de quelques hommes, pénétrait, examinait tous les habitants qu'il faisait réunir dans une des chambres ou dans un vestibule, et désignait ceux qui devaient partir. Les victimes avaient une heure pour préparer un paquet de vêtements. Un soldat, baïonnette au canon, venait alors les prendre. Il les conduisait à un lieu de rassemblement et, de là, à la gare....
Page 238 - Dole, cf. J. GAUTHIER et J. FEUVRIER, Les fortifications de la ville de Dole, dans les Mémoires du Congrès archéologique de France, LVIII
Page 53 - ... rapetisser, à se rabaisser. Il se posait en personnage sacrifié, en pauvre diable : il poussait l'humilité jusqu'à ne se donner pour maîtresses que des servantes. Ses aventures avaient toujours un dénouement piteux. Cette abnégation n'était pas tout à fait exempte de malice. Il se diminuait trop. On ne savait plus si ce n'était pas une ironie. Quand on se moque tant de soi-même, on se moque toujours un peu des autres.