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Page 78 - ... interdit à tout fidèle de les recevoir dans sa maison , de commercer avec eux , de les ensevelir et de prier pour eux s'ils mouraient impénitents , prononcèrent le décret suivant contre les brigands qui désolaient alors les États chrétiens. « Quant aux Brabançons , Aragonais, Navarrais, Basques et Triaverdins , qui exercent contre les fidèles de si grandes cruautés ; qui ne respectent ni les églises ni les monastères , ni les veuves ni les orphelins , ni les vieillards ni les enfants...
Page 105 - ... là , les feuilles sont parées d'un duvet qu'on imbibe d'eau pour en détacher les blancs filamens : nos Européennes ont ensuite la peine de rassortir les fils et de rétablir le tissu. Travaux nombreux, voyages immenses, dont le résultat est défaire paraître des Romaines en robes diaphanes. A des mœurs inoffensives , les Sères joignent quelque chose de sauvage : ils fuient l'approche de tous les hommes , si ce n'est des marchands. On connaît chez eux le Psitaras , Chryse : sinus Cyrnaba...
Page 199 - De ce faire vous donnons povoir, auctorité et mandement espécial , mandons et commandons à tous nos justiciers, officiers et subgetz que à vous, en ce faisant, ilz obéissent et entendent dilligamment. Donné en nostre ville de Louvain , ]e xxi* jour d'avril , l'an de grâce mil mic mi" et chincq, après Pasques. MAXI™.
Page 197 - Phelippe, duc de Bourgongne, comte de Flandres, d'Artois et de Bourgongne, Palatin, seigneur de Salins et de Malines , à nostre amé et féal conseiller et receveur général de Bourgongne , Mathieu Regnault , salut et dilection.
Page 83 - Par là était accru le nombre des héré« sies qui profitent de la défaite de l'Église pour établir le « règne de la chair. Quoique cette funeste association eut « envahie presque toutes les contrées de la France, néan« moins elle infestait plus particulièrement l'Auxerrois, le « Berry, le Bordelais, et la démence des révoltés en était « venue à ce point, que, réunissant leurs forces, ils osaient, « les armes à la main, réclamer leur prétendue liberté.
Page 126 - Et quand ils eurent assez pillé, ils passèrent outre; mais ils vendirent ainçois (avant) le châtel de Joinville à ceux du pays, et en eurent vingt mille francs. Et puis entrèrent en Bourgogne , et là se vinrent reposer et rafraîchir, en attendant l'un l'autre, et y firent moult de maux et de vilains faits ; car ils avoient de leur accord aucuns chevaliers etécuyers du pays qui les menoient et conduisoient.
Page 153 - La loi ordonne (Lév. 23, 40) de porter, le premier jour de la fête (comme symbole de la récolte), un faisceau composé de plusieurs plantes, savoir, le fruit d'un des plus beaux arbres, des spathes du dattier, la branche d'un arbre à feuilles épaisses et des saules de rivière.
Page 69 - Recherches sur les incursions des Anglais et des grandes compagnies dans le duché et le comté de Bourgogne à la fin du xiv' siècle, précédées déconsidérations sur l'origine des grandes compagnies, leurs diverses dénominations, leur influence politique et militaire, etc., par M.
Page 83 - C'était, en effet, sous prétexte d'une charité mutuelle qu'ils formaient entre eux alliance, jurant de se donner réciproquement aide et conseil envers et contre tous, chaque fois qu'il en serait besoin.

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