Journal des Et́ats généraux, convoqués par Louis XVI., Volume 20 |
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administratifs adopté article aura auront avant avez avoit avons chargé chose citoyens comité commerce commune compte conséquence considération contribution corps crois d'après débat déclare décret délai demande départemens département dépositions dernier devant dire discussion disposition district doit doivent donner doute ecclésiastiques écrit enfin établi étoit fera fixer fonctions fonds force forme François garde général hommes j'ai jour juges juré l'accusé l'article l'assemblée nationale l'autre l'état l'ordre lettre liberté lieu livres loix marine ment messieurs mesures mois moyen municipalité murmures nation nécessaire nombre nouveau nouvelle objet observations officiers ordonné passer payer pensé peuple peuvent places porter pourra pourroit pouvoir premier premiere présenter président preuve projet projet de décret propose public publique qu'un question raison rapport rapporteur relativement rendre renvoi revenus rien royaume s'il séance seconde sera serment seront servir seul soient sols somme sort suite suivant tabac témoins tems tion traité tribunal Tronchet trouve vérité Voici
Popular passages
Page 336 - je jure de remplir mes fonctions avec exactitude, d'être fidèle à la Nation, à la Loi et au Roi, et de maintenir de tout mon pouvoir la Constitution décrétée par l'Assemblée Nationale et sanctionnée par le Roi.
Page 99 - qui les console et les édifie? Est-ce à vous d'invoquer » la religion contre la stabilité d'une constitution qui « doit en être le plus inébranlable appui, vous qui ne » pourriez soutenir un seul instant la vue de ce que » vous êtes, si tout-à-coup l'austère vérité venait à » manifester au grand jour les ténébreuses et lâches » intrigues qui ont déterminé votre élévation à l'é...
Page 267 - Vous jurez et promettez de parler sans haine et sans crainte, de dire la vérité, toute la vérité, rien que la vérité.
Page 101 - La coupable résistance d'une multitude de prêtres aux lois de leur pays, l'opiniâtreté de leurs efforts pour faire revivre le double despotisme du sacerdoce et du trône, ont aliéné d'eux la confiance de leurs concitoyens, et ils n'ont pas de nos jours été appelés en grand nombre dans les corps chargés désormais de proclamer le choix du peuple.
Page 253 - L'assemblée nationale décrète que l'instruction sur la constitution civile du clergé, lue dans la séance de ce jour, sera envoyée sans délai aux corps administratifs pour l'adresser aux municipalités, et qu'elle sera sans retardement lue un jour de dimanche, à l'issue de la messe paroissiale, par le curé ou un vicaire et à leur défaut par le maire ou le premier officier municipal.
Page 267 - Après cette lecture, le président rappellera à l'accusé ce qui est contenu en l'acte d'accusation, et lui dira : « Voilà de » quoi vous êtes accusé ; vous » allez entendre les charges qui > seront produites contre vous.
Page 264 - ... il sera conduit, par celui qui en est porteur, devant le juge de paix du lieu où il sera trouvé, pour y passer la déclaration de l'option dont il vient d'être parlé, ou de son refus de la faire, de laquelle déclaration le juge de paix gardera minute et délivrera expédition au porteur de l'ordonnance.
Page 267 - Après chaque déposition, le président demandera au témoin si c'est de l'accusé présent qu'il a entendu parler ; il demandera ensuite à l'accusé s'il veut répondre à ce qui vient d'être dit contre lui. Le témoin ne pourra être interrompu : l'accusé ou...
Page 249 - L'assemblée doit aux peuples, particulièrement aux personnes séduites et trompées, l'exposition franche et loyale de ses intentions, de ses principes et des motifs de ses décrets. S'il n'est pas en son pouvoir de prévenir la calomnie, il lui sera facile au moins de réduire les calomniateurs à l'impuissance d'égarer plus longtemps les peuples en abusant de leur simplicité et de leur bonne foi.
Page 96 - ... en correspondance avec l'institution sociale. Elle peut et elle doit s'attribuer l'ordonnance du culte dans tout ce qu'elle lui a fait acquérir d'extérieur, dans toute l'ampleur physique qu'elle lui a fait contracter , dans tous les rapports où elle l'a mis avec la grande machine de l'état; enfin, dans tout ce qui n'est pas de sa constitution spirituelle, intime et primitive.