 | Anne-Marie L.d'Orleans Montpensier - 1806 - 322 pages
...le mariage , et que ce qui nous a fait nommer le sexe fragile, a été cette dépendance où le sexe nous a assujetties, souvent contre notre volonté,...famille, dont nous avons été les victimes- Enfin, tirons-nousde l'esclavage, qu'ily ait un coin du monde où l'on puisse dire que les femmes sont maîtresses... | |
 | 1824 - 458 pages
...nous a fait nommer le sexe « fragile a été cette dépendance où le sexe nous a « assujéties , souvent contre notre volonté , et par des « raisons de famille dont nous avons été les victimes. « Tirons-nous de l'esclavage; qu'il y ait un coin du « monde où l'on puisse dire que les femmes... | |
 | Joseph Fr. Michaud - 1838 - 656 pages
...asstijéties, souvent contre notre volonté, et par des raisons de famille dont nous avons été les victimes. Tirons-nous de l'esclavage; qu'il y ait un coin du...qu'elles n'ont pas tous les défauts qu'on leur attribue; distinguons-nous dans les siècles à venir par une vie qui nous fasse »ivre éternellement.» •... | |
 | Joseph Fr. Michaud - 1838 - 646 pages
...ce qui nous a fait nommer le sexe fragile a été cette dépendance où le sexe nous a assujéties, souvent contre notre volonté, et par des raisons de famille dont nous avons été les victimes. Tirons-nous de l'esclavage; qu'il y ait un coin du monde où l'on puisse dire que les femmes sont maîtresses... | |
 | Adolphe de Puibusque - 1843 - 560 pages
...Montpensier n'en voulait pas même entendre parler. «Tirons-nous de l'esclavage ! s'écriait elle; qu'il y ait un coin du monde où l'on puisse dire...siècles à venir, par une vie qui nous fasse vivre eternellement ! » En s'associant de toute son âme à ce vœu d'émancipation, M me de Motteville... | |
 | Adolphe de Puibusque - 1843 - 560 pages
...Montpensier n'en voulait pas même entendre parler. «Tirons-nous de l'esclavage ! s'écriait elle; qu'il y ait un coin du monde où l'on puisse dire...qu'elles n'ont pas tous les défauts qu'on leur attribue, etcélébrons-nous, dans les siècles à venir, par une vie qui nous fasse vivre éternellement ! »... | |
 | Alfred Nettement - 1846 - 532 pages
...et les femmes dans ce détrompement salutaire, » l'auguste frondeuse tenait bon, et répondait : « Tirons-nous de l'esclavage ! Qu'il y ait un « coin du monde où l'on puisse dire que les femmes c sont maîtresses d'elles-mêmes. » Mais les romans de madame Sand ont, avec ceux de mademoiselle... | |
 | M. Alfred Nettement - 1847 - 560 pages
...et les femmes dans ce détrompement salutaire, » l'auguste frondeuse tenait bon, et répondait : « Tirons-nous de l'esclavage ! Qu'il y ait un « coin...que les femmes « sont maîtresses d'elles-mêmes. » Mais les romans de madame Sand ont, avec ceux de mademoiselle de Montpensier, cette différence... | |
 | Alfred Nettement - 1847 - 532 pages
...et les femmes dans ce détrompement salutaire, » l'auguste frondeuse tenait bon, et répondait : « Tirons-nous de l'esclavage ! Qu'il y ait un « coin...que les femmes « sont maîtresses d'elles-mêmes. » Mais les romans de madame Sand ont, avec ceux de mademoiselle de Montpensier, cette différence... | |
 | Jacques Claude Demogeot - 1859 - 536 pages
...pitié des bords de son Lignon et l'amour et le mariage. « Tirons-nous d'esclavage, s'écrie- t-elle ! Qu'il y ait un coin du monde où l'on puisse dire...leur attribue, et célébrons-nous, dans les siècles àvenir, par une vie qui nous fasse vivre éternellement. » La belle Amélinte ' était encore plus... | |
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Tirons-nous de l'esclavage; qu'il y ait un coin du monde où l'on puisse dire que les femmes sont maîtresses d'elles-mêmes, et qu'elles n'ont pas tous les défauts qu'on leur attribue; distinguons-nous dans les siècles à venir par une vie qui nous... 
