Revue poitevine et Saintongeaise: histoire, archéologie, beaux-arts et littérature, Volume 7Lacuve., 1890 |
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1er mars Alfred Alleuds anciens Antiquaires de l'Ouest archéologique Archives Armée des côtes armées de l'Ouest Arthur Bouneault Aunis avaient avril Barbier de Montault Bas-Poitou Beauchet-Filleau Berthelé Bulletin c'était Charente château château de Niort Chièvres cloche croix curé d'Oiron debout décembre Desaivre dessins Deux-Sèvres diable dict Maillé documents Donjon de Niort Drouault église évêques faict faisait fondeur Ganne Gaulois général Henri historiques impr inscription janvier Jean Jehan jour Jovy l'abbaye l'abbé l'église Largeault Ledain Léon Palustre lieutenant Espérandieu Lièvre livres Loire Loudun Louis main Mémoires ment monuments du Poitou Mothe-Saint-Héray musée Oiron Pamproux paroisse passer payé Paysages et monuments pièces Pierre poitevine et saintongeaise Poitou René Revers Revue poitevine Richard Rochelle saint Saint-Maixent Saint-Porchaire Saintonge séance seigneur septembre serait seulement sieur signé Société de statistique Société des Antiquaires sorciers statistique des Deux-Sèvres Templiers texte Thouars Trémoïlle Vanda Vendée Vendeuvre XVIIe siècle
Popular passages
Page 47 - Je n'ai vu jamais cette longue file de prêtres en habits sacerdotaux, ces jeunes acolytes vêtus de leurs aubes blanches, ceints de leurs larges ceintures bleues , et jetant des fleurs devant le SaintSacrement ; cette foule qui les précède et qui les suit dans un silence religieux ; tant d'hommes, le front prosterné contre la terre : je n'ai jamais entendu ce chant grave et pathétique , entonné par les prêtres , et répondu affectueusement par une infinité de voix d'hommes , de femmes , de...
Page 241 - Mais des traits enflammés ont sillonné la nue , Et la foudre, en grondant, roule dans l'étendue, Elle redouble , vole , éclate dans les airs. Leur nuit est plus profonde, et de vastes éclairs En font sortir sans cesse un jour pâle et livide. Du couchant ténébreux s'élance un vent rapide Qui tourne sur la plaine , et, rasant les sillons , Enlève un sable noir qu'il roule en tourbillons.
Page 241 - Mais des traits enflammés ont sillonné la nue, Et la foudre, en grondant, roule dans l'étendue : Elle redouble, vole, éclate dans les airs ; Leur nuit est plus profonde ; et de vastes éclairs En font sortir sans cesse un jour pâle et livide. Du couchant ténébreux s'élance un vent rapide, Qui tourne sur la plaine, et, rasant les sillons, Enlève un sable noir qu'il roule en tourbillons.
Page 241 - La peur, l'airain sonnant, dans les temples sacrés Font entrer à grands flots les peuples égarés. Grand Dieu! vois à tes pieds leur foule consternée Te demander le prix des travaux de l'année. Hélas ! d'un ciel en feu les globules glacés Écrasent en tombant les épis renversés.
Page 271 - ... si vous en sortiez, nous serions déjà tous fascinés par vos prestiges. — Voyant ensuite que la bande infernale ne s'évanouissait pas, il ordonna à ses gens de faire main basse sur les sorciers et leurs patrons ; on arrêta pareillement les autres membres du sabbat; et le matin , Charles II se vit maître de plus de cent vingt personnes. On les dépouilla, et on trouva des paysans, qui, sous ces accoutrements, se rassemblaient de nuit dans la forêt pour y faire des orgies abominables,...
Page 100 - II reste à parler des opérations que doivent faire les armées de l'Ouest , des côtes de Brest et des côtes de Cherbourg, qu'on peut regarder comme n'en faisant qu'une. » Ces armées ont trois objets à remplir, i*.
Page 270 - Bergier. ce sont les récits de quelques peureux qui, se trouvant égarés la nuit dans les forêts . ont pris pour le sabbat des feux allumés par les bûcherons et les charbonniers, ou qui , s'étant endormis dans la peur, ont cru entendre et voir le sabbat, dont ils avaient l'imagination frappée.
Page 221 - Bulletin de la Société académique d'agriculture, belles-lettres, sciences et arts de Poitiers, année 1874.
Page 271 - Le prince, étonné, voulut approfondir ce mystère. Il dit quelques mots à l'oreille d'un de ses écuyers et celui-ci partit au grand galop pour la ville de Toul qui n'était qu'à trois lieues. « Vers deux heures du matin, une trentaine de sorciers et de sorcières entrèrent ; les uns ressemblaient à des ours, les autres avaient des cornes et des griffes.
Page 141 - Alors des Troubadours Fut la rime trouvée en chantant leurs amours; Et quand leurs vers Rimez ils mirent en estime, Ils sournoient, ils chantoient, ils balloient sous leur Rime.