Etudes sur le théâtre latinDezobry, Magdeleine, 1847 - 348 pages |
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Adelphes aime Alcmène amants amoureux Amphitryon Antiphile Apul Aristophane Asinar Atellanes Athen Bacchis bonne c'était Captiv caractère Casine Caton Chalinus Charançon chose Chrysale clave comédie comique courtisane curieux Déménète dévoûment donne Dossennus doute drame satyrique édit Epidiq Epidique Epist époux esclaves famille Fanfaron femmes Festus fille fils flatteur fragm goût grecque Grecs homme honnêtes Horace Horat jeune maître l'Asinaire l'Atellane l'esclave latin Liban libre Lucilius Lydus Maccus Macrob maison maîtresse mari mariage Ménandre Ménechme ment Messénion mœurs Molière montre morale Mostell Nævius Naudet Olympion Osques Palestrion Pappus parasite parle Parmenon patron père personnage Philocrate Philumène Phormion pièce Pinacie Plaute plutôt poète Pollux Pomponius prolog prologue prostitueur qu'un quæ quod rasite rôle Romains Rome Rudens satire Saturion Satyre SCAPHA scène sentiment servir serviteur servitude seule siècle sorte Sosie Stalinon Stichus Syrus Térence Terent théâtre tion tout-à-l'heure Toxile tragédie Trucul Tyndare valets Varron vérité vieux
Popular passages
Page 161 - C'est Hector, disait-elle, en l'embrassant toujours ; Voilà ses yeux, sa bouche, et déjà son audace ; C'est lui-même, c'est toi, cher époux, que j'embrasse.
Page 105 - Je fis le chien couchant auprès d'un grand seigneur; Je me vis toujours pauvre , et tâchai de paraître : Je vécus dans la peine , espérant le bonheur, Et mourus sur un coffre , en attendant mon maître.
Page 212 - D'abord il n'eût pas fallu qu'un enfant fît entendre sa voix. Les jeunes gens d'un même quartier, allant chez le maître de musique , marchaient ensemble dans les rues , nus et en bon ordre, la neige tombât-elle comme la farine d'un tamis. Là ils s'asseyaient...
Page 177 - Léandre, et il ne me coûte qu'un grand merci. 11 ya telle femme qui anéantit ou qui enterre son mari au point qu'il n'en est fait dans le monde aucune mention. Vit-il encore? ne vit-il plus?
Page 212 - ... de ta pudeur, à te lever devant les vieillards, à ne donner aucun chagrin à tes parents, à ne faire rien de honteux, car tu dois être l'image de la pudeur. Tu...
Page 256 - Castor, les femmes vivent sous de bien dures lois. Pauvres malheureuses, comme on les sacrifie aux hommes! Car qu'un mari entretienne secrètement une courtisane; si sa femme vient à l'apprendre, l'impunité lui est assurée. Qu'une femme sorte de la maison , aille en ville secrètement , le mari lui fait son procès, elle est répudiée. Pourquoi la loi n'existe-t-elle pas pour le mari comme pour la femme également?
Page 302 - J'allais être chassé pour toute récompense, Et vingt coups de bâton m'ont imposé silence. Moi qui me plais céans et qui m'y trouve bien, Je me suis radouci. J'ai fait comme ce chien Qui portait à son cou le dîner de son maître, Et trouvant d'autres chiens qui voulaient s'en repaître, Quand il crut ne pouvoir le sauver du hasard, Leur livra le dîner, pour en manger sa part.
Page 235 - et votre grande robe ; Puis prenant sa guitare, elle a, de sa façon, Chanté différents airs en différent jargon. Enfin, c'est cent fois pis que je ne puis vous dire : On ne peut s'empêcher d'en pleurer et d'en rire.
Page 256 - Hommes plus qu'ingrats, qui flétrissez par le mépris les jouets de vos passions, vos victimes! c'est vous qu'il faut punir des erreurs de notre jeunesse...
Page 118 - Avons-nous honte de conduire nos femmes dans les repas auxquels nous assistons ? Nos mères de famille ne tiennent-elles pas les premiers rangs chez elles et dans le monde? Il n'en est pas de même en Grèce. La femme n'est admise qu'à la table de ses proches, elle ne séjourne qu'au fond de sa maison, appelé gynécée ; personne n'y pénètre que ses plus proches parents. > Cf. Fragment. Menandri, édit. Didot, fragm., 2, '155 ••"«. (2) Voir Ménandre, fragm., i.