Oeuvres complètes de Mathurin RégnierP. Jannet, 1853 - 340 pages |
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1642 et suivantes amour Apollon assavoir avecque avoit beau beauté belle Boileau ceste chanson chap chose ciel Clément Marot CLORIS cœur conte courage courtisan d'amour dame Dieu dieux dire discours disoit esprit estant estoit estonnez estrange estre étoient étoit eust faict Farce nouvelle fascheux femme fist fortune françois François Ier fust gloire goust grace Henri Henri IV homme honneur honte HORACE humeur j'ay jour joyeuse l'auteur l'édition de 1642 l'esprit laisse Lapithes latin lict m'en mainte maistre Malherbe mesme mille monsieur mont Hélicon mort mourir muse n'ay Nicolas Rapin nuict œil ores ouvrage OVIDE parler pense personnaiges PHILIS plaisir pleurs poëme poésie poëte pourquoy première édition qu'un quoy Rabelais raison Rebec Regnier rien Ronsard saint satire satyre sçait sçavez sçavoir sçay sens seroit seul sujet teste tousjours vertu veux vice vieux VIOLLET LE DUC Voyez la note vray yeux
Popular passages
Page 80 - ... verum ubi plura nitent in carmine, non ego paucis offendar maculis, quas aut incuria fudit aut humana parum cavit natura.
Page xv - D'Apollon, qui me vint tout le cœur estonner: Où premier admirant la belle Calliope, Je devins amoureux de sa neuvaine trope, Quand sa main sur le front cent roses me jetta, Et de son propre laict Euterpe m'allaita.
Page 145 - Ma foy! les beaux habits servent bien à la mine. On a beau s'agencer et faire les doux yeux, Quand on est bien...
Page 25 - D'un langage flatteur luy parle et la courtise : Car ce fut de tout temps que, ployant sous l'effort, Le petit cède au grand, et le foible au plus fort.
Page ii - De ces maîtres savants disciple ingénieux, Régnier seul parmi nous formé sur leurs modèles, Dans son vieux style encore a des grâces nouvelles.
Page 44 - Censurant la jeunesse, use des droicts de père ; II corrige, il reprend, hargneux en ses façons, Et veut que tous ses mots soient autant de leçons.
Page 82 - C'est proser de la rime, et rimer de la prose, ) Que l'art lime et relime, et polit de façon Qu'elle rend à l'oreille...
Page 259 - Je suis plus fragile que verre. Je ne suis à tes yeux sinon Qu'un festu sans force et sans nom, Qu'un hibou qui n'ose paroistre, Qu'un fantosme icy bas errant, Qu'une orde escume de torrent, Qui semble fondre avant que naistre...
Page 145 - Quand on est bien parée on en est toujours mieux : Mais, sans avoir du bien, que sert la renommée ? C'est une vanité confusément semée Dans l'esprit des humains, un mal d'opinion, Un faux germe avorté dans notre affection.
Page 140 - Quand je suis à par moy, souvent je m'estudie (Tant que faire se peut) après la maladie Dont chacun est blessé : je pense à mon devoir, J'ouvre les yeux de l'âme, et m'efforce de voir • Au travers d'un chacun ; de l'esprit je m'escrime, Puis dessus le papier mes caprices je rime Dedans une satyre, où, d'un œil doux-amer, Tout le monde s'y voit et ne s'y sent nommer.