Revue des questions historiques, Volume 32Gaston Louis Emmanuel Du Fresne marquis de Beaucourt, Paul Allard, Jean Guiraud Librairie de Victor Palmé, 1882 |
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1er OCTOBRE Aiol ancien archives asséeurs asséeurs-collecteurs aurait avaient baron biographie Bourbons c'était Cantorbéry cardinal chancelier Charette Charles Charles Quint chevalier comte Condé conseil Dauphin déclaration devant Dieu documents donner duc de Normandie duc de Rohan duchesse ecclésiastiques écrit édition enfant évêque famille faucon février fils de Louis Frotté général Gruau guerre Guessard Guillaume Henri historique homme jeune jour Journal juin Jules Favre l'abbé l'auteur l'Église l'enfant l'histoire Labreli laisse lettre livre Louis Blanc Louis XVII lui-même mars Mémoires ment mille mort n'avait n'était Naündorff noble pape parlement paroisse passer pays Pélasges père personnage personne peuple Philippe politique premier prétend prince protestants publié publique récit Reine religieux reste Richemont rien royale Russie s'était saint Saint-Jean d'Angely seigneur serait seulement sieur suivant taille Tarschisch Tartessiens Temple teur texte Thomas Becket tion Tour du Temple trouve Tyrsênes volume XIIe siècle XVIIIe siècle
Popular passages
Page 206 - Les ouvrages bien écrits seront les seuls qui passeront à la postérité : la quantité des connaissances, la singularité des faits, la nouveauté même des découvertes ne sont pas de sûrs garants de l'immortalité ; si les ouvrages qui les contiennent ne roulent que sur de petits objets, s'ils sont écrits sans goût, sans noblesse et sans génie, ils périront, parce que les connaissances, les faits et les découvertes s'enlèvent aisément, se transportent et gagnent même à être mis en...
Page 627 - Étudier les produits des principaux centres de fabrication de l'orfèvrerie en France pendant le moyen âge et signaler les caractères qui permettent de les distinguer. 8° Quels sont les monuments aujourd'hui connus de l'émaillerie française antérieurs au XIII
Page 570 - Il ya des choses que tout le monde dit , parce qu'elles ont été dites une fois. On croit qu'Annibal fit une faute insigne de n'avoir point été assiéger Rome après la bataille de Cannes.
Page 570 - On sait les malheurs qu'ont produits vos assemblées; j'ordonne qu'on cesse celles qui sont commencées sur mes édits. Monsieur le premier président, je vous défends de souffrir des assemblées, et à pas un de vous de les demander*.
Page 69 - Il me fit entendre qu'il cachait son vin à cause des aides, qu'il cachait son pain à cause de la taille, et qu'il serait un homme perdu si l'on pouvait se douter qu'il ne mourût pas de faim.
Page 627 - France avant le milieu du xne siècle ? 3° Étudier les caractères qui distinguent les diverses écoles d'architecture religieuse à l'époque romane, en s'attachant à mettre en relief les éléments constitutifs des monuments (plan, voûtes, etc.). 4* Quels sont les monuments dont la date, attestée par des documents historiques, peut servir à déterminer l'état précis de l'architecture militaire en France aux différents siècles du moyen âge ? 5° Signaler les œuvres de la sculpture française...
Page 70 - ... pendant une année entière, perd son temps à battre le pavé, sans presque rien recevoir que mille injures et mille imprécations. Et cela parce que, comme lors de l'assiette, l'intérêt des particuliers imposables, et qui ne comptent sur aucune protection, est de cacher toute sorte de montre...
Page 140 - Citoyens, depuis quelque temps, le fils de Capet était incommodé par une enflure au genou droit et au poignet gauche; le 15 floréal, les douleurs augmentèrent, le malade perdit l'appétit, et la fièvre survint.
Page 225 - Respectable enfant, que la patrie s'enorgueillisse de t'avoir donné le jour! Avec quel orgueil la Grèce et Rome auraient honoré ta mémoire, si elles avaient produit un héros tel que toi. Citoyens, portons en pompe ses cendres au temple de la gloire, que la république en deuil les arrose de larmes amères! Non, ne le pleurons pas; imitons-le, vengeons-le par la ruine de tous les ennemis de notre république1.
Page 142 - Parvenus au deuxième étage, nous sommes entrés ' dans un appartement. dans la seconde pièce duquel nous avons trouvé dans un lit le corps mort d'un enfant qui nous a paru âgé d'environ dix ans, que les commissaires nous ont dit être celui du fils du déffunt Louis Capet, et que deux d'entre nous ont reconnu pour être l'enfant auquel ils donnaient des soins depuis quelques jours.