 | Voltaire - 1785 - 416 pages
...livres? Comment avais-tu pris un effor fi haut dans le fiècle des petitefles ? et comment la fimplicité d'un enfant timide couvrait-elle cette profondeur et cette force de génie ? Je fentirai long-temps avec amertume le prix de ton amitié ; à peine en ai-je goûté les charmes :... | |
 | Voltaire - 1785 - 412 pages
...livres? Comment avais-tu pris un effor fi haut dans le fiècle des petiteffes ? et comment la fimplicité d'un enfant timide couvrait-elle cette profondeur et cette force de génie ? Je fentirai long-temps avec amertume le prix de ton amitié ; à peine en ai-je goûté les charmes :... | |
 | Thomas (M., Antoine Léonard) - 1792 - 332 pages
...avoir parlé de son goût , de sa philosophie et de son éloquence ; il ajoute : « comment avois-tu » pris un essor si haut dans le siècle des »> petitesses...? et comment la simplicité d'un » enfant timide couvroit-elle cette profon» deur et cette force de génie ? Je sentirai » long-temps avec amertume... | |
 | Luc Vauvenargues (Marquis de Clapiers) - 1797 - 422 pages
...succès* ') philosophie et la vraie éloquence, sans» autre étude que le secours de quelques. » bons livres ? Comment avais-tu pris un » essor si haut dans le siècle des peti•» tesses ? Et comment la simplicité d'un » enfant timide couvrait-elle cette pro» fondeur... | |
 | Vauvenargues - 1797 - 418 pages
...le* » philosophie et la vraie éloquence , sarw » autre étude que le secours de quelques » bons livres ? Comment avais-tu pris un » essor si haut dans le siècle des peti» tesses ? Et comment la simplicité d'un » enfant timide couvrait-elle cette pro» fondeur et... | |
 | Antonine [Sabatier (de Castres]), Antoine Sabatier de Castres - 1802 - 454 pages
...ans , la vraie philosophie et la vraie éloquence , sans autre étude que le secours de quelques bons livres ? Comment avais-tu pris un essor si haut dans...petitesses ? et comment la simplicité d'un enfant touvrait-elle cette profondeur et cette force de génie ? » Puis il ajoute : « Le jeune homme qu'on... | |
 | Vauvenargues, Jean Baptiste Antoine Suard - 1806 - 368 pages
...la vraie philoso* phie et la vraie éloquence , sans autre étude * que le secours de quelques bons livres ? « Comment avais-tu pris un essor si haut dans * le siècle des petitesses? Et comment la sim« pVicUé d'un enfant timide couvrait-elle cette « profondeur et cette force de génie ? Je sen«... | |
 | Charles Lacretelle - 1808 - 448 pages
...vraie philosophie et la vraie éloquence ? Sans » autre étude que le secours de quelques bons » livres, comment avais-tu pris un essor si haut » dans le siècle des petitesses? Et comment la sim» plicité d'un enfant timide couvrait-elle cette pro» fondeur et cette force de génie? Je sentirai... | |
 | Charles-Jean-Dominique de Lacretelle (Le jeune) - 1812 - 438 pages
...vraie » philosophie et la vraie éloquence ? Sans autre » étude que le secours de quelques bons livres , » comment avais-tu pris un essor si haut...profondeur « et cette force de génie ? Je sentirai long-temps le » prix de ton amitié , etc. » ncrnt «•M. prise, les alliés échouèrent dans une... | |
 | Charles Lacretelle - 1819 - 440 pages
...et la vraie éloquence ? Sans autre » étude que le secours de quelques bons livres , com>• ment avais-tu pris un essor si haut dans le siècle des...petitesses? et comment la simplicité d'un enfant » timide couvrait -elle [cette profondeur et cette force » de génie ? Je sentirai long - temps le prix de... | |
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Comment avais-tu pris un essor si haut dans le siècle des petitesses ? et comment la simplicité d'un enfant timide couvrait-elle cette profondeur et cette force de génie... 
