Moi cependant je me mourais de joie. J'en étais à craindre la défaillance ; -mon cœur, dilaté à l'excès, ne trouvait plus d'espace à s'étendre. La violence que je me faisais pour ne rien laisser échapper était infinie, et néanmoins ce tourment... Revue contemporaine - Page 4491857Full view - About this book
| Jean François Marmontel - 1819 - 854 pages
...étais à craindre la défaillance , et mon cœur , dilaté à l'excès , ne trouvait plus d'espace pour s'étendre. La violence que je me faisais pour ne rien laisser échapper , était infinie ; et néanmoins ce tourment était délicieux. Je comparais les années et les temps de servitude,... | |
| Jean François Marmontel - 1819 - 630 pages
...craindre la défaillance; et mon cœur dilaté à IVv cès, ne trouvait plus d'espace pour s'étendre. Ii violence que je me faisais pour ne rien laisser échapper, était infinie; et néanmoins, ce tourment était délicieux. Je comparais les années rt les temps de servitude ,... | |
| Louis de Rouvroy duc de Saint-Simon - 1829 - 474 pages
...acheva d'entendre cette lecture si accablante pour lui, si résurrcctive pour nous. Moi cependant je me mourais de joie. J'en étais à craindre la défaillance;...faisais pour ne rien laisser échapper était infinie , et néanmoins ce tourment était délicieux. Je comparais les années et les temps de servitude,... | |
| Louis de Rouvroy duc de Saint-Simon - 1840 - 590 pages
...d'entendre cette lecture si accablante pour lui , si résurrective pour nous. Moi cependant je ràe mourais de joie. J'en étais à craindre la défaillance;...faisais pour ne rien laisser échapper était infinie, et néanmoins ce tourment était délicieux. Je comparais tes années et les temps de servitude, les... | |
| Pierre Sébastien Laurentie - 1845 - 628 pages
...à craindre la défaillance, et mon cœur, dilaté à l'excès, ne trouvait plus d'espace que pour s'étendre. La violence que je me faisais pour ne rien laisser échapper était infinie ; et néanmoins ce tourment était délicieux. Je comparais les années et les temps de servitude,... | |
| Saint-Priest - 1847 - 420 pages
...duc de SaintSimon à propos du fameux lit de justice où il vit dégrader le duc du Maine : « Je me mourais de joie. J'en étais à craindre la défaillance;...faisais pour ne rien laisser échapper était infinie, et néanmoins ce tourment était délicieux Je triomphais, je me vengeais, je nageais dans ma vengeance;... | |
| Alexis Guignard (comte de Saint-Priest.) - 1849 - 770 pages
...duc de SaintSimon à propos du fameux lit de justice où il vit dégrader le duc du Maine : « Je me mourais de joie. J'en étais à craindre la défaillance;...cœur, dilaté à l'excès, ne trouvait plus d'espace a s'étendre. La violence que je me faisais pour ne rien laisser échapper était infinie, et néanmoins... | |
| Emile Levasseur - 1854 - 432 pages
...deux passages bien connus d'un chapitre qu'il faudrait citer tout entier : « Moi cependant, je me mourais de joie. J'en étais à craindre la défaillance;...faisais pour ne rien laisser échapper était infinie, et néanmoins ce tourment était délicieux. Je comparais les années et les temps de servitude, les... | |
| Hippolyte Taine - 1858 - 448 pages
...jusqu'à « ce calice. » Le jour où le bâtard est dégradé est une « résurrection. » « Je me mourais de joie, j'en étais à craindre la défaillance. Mon cœur, dilaté à l'excès, n'avait plus d'espace pour s'étendre. Je triomphais, je me vengeais, je nageais dans ma vengeance.... | |
| Louis de Rouvroy duc de Saint-Simon - 1860 - 518 pages
...captivité de mon transport.... «Le second n'est pas moins passionnément expressif : i Moi cependant je mourais de joie. J'en étais à craindre la défaillance;...faisais pour ne rien laisser échapper était infinie, et néanmoins ce tourment était délicieux. Je comparais les années et les temps de servitude, les... | |
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