La France sous Louis XV (1715-1774)Didier, 1864 - 569 pages |
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¹ Mémoires affaires anciennes lois françaises Archives générales avaient Bibliothèque de Genève cardinal de Noailles catholique cent charges clergé comte condamnation conseil de régence convertis Dauphin déclaration devait Dieu donner Dubois duc d'Orléans duc de Noailles duc de Saint-Simon duc du Maine duchesse ecclésiastiques édit Encyclopédie méthodique enfants évêques famille Fénelon finances Forbonnais gouvernement guerre Guillaume Haye Histoire Hollande hommes Ibidem impôts intendants Jacques Jansénistes Jésuites jour justice l'abbé l'Angleterre l'Édit de Nantes l'Église l'État l'évêque Lemontey Lettres de Mme Louis XIV maison maréchal maréchal de Villeroy Mémoires de Dangeau Mémoires de Saint-Simon ment millions ministre Mme de Maintenon Mme de Sévigné Mme Guyon mort noblesse officiers ordonna paix pape parlement payer pays père personnes peuple pouvait prince Protestants provinces public receveurs Recueil des anciennes régent religieuses religion religionnaires rentes royaume s'était saint seigneurs sentiments serait seul sion suiv testament tion Torcy Versailles Villars Villeroy
Popular passages
Page 9 - Vous devez donc être persuadé que les rois sont seigneurs absolus et ont naturellement la disposition pleine et libre de tous les biens qui sont possédés, aussi bien par les gens d'église que par les séculiers, pour en user en tout temps comme de sages économes, c'est-à-dire suivant le besoin général de leur État.
Page 87 - Mais nos pères n'avaient pas vu, comme nous, une hérésie invétérée tomber tout à coup ; les troupeaux égarés revenir en foule, et nos églises trop étroites pour les recevoir ; leurs faux pasteurs les abandonner sans même en attendre l'ordre et heureux d'avoir à leur alléguer leur bannissement pour excuse...
Page 375 - Dauphin ; servez-le aussi fidèlement que vous m'avez servi, et travaillez à lui conserver son royaume; s'il vient à manquer, vous serez le maître et la couronne vous appartient J'ai fait, ajouta-t-il , les dispositions que j'ai cru les plus sages ; mais, comme on ne saurait tout prévoir, s'il ya quelque chose qui ne soit pas bien, on le changera.
Page 87 - Vous aurez vu. sans doute, l'édit par lequel le roi révoque celui de Nantes. Rien n'est si beau que tout ce qu'il contient, et jamais aucun roi n'a fait et ne fera rien de plus mémorable
Page 87 - ... tout calme dans un si grand mouvement ; l'univers étonné de voir dans un événement si nouveau la marque la plus assurée, comme le plus bel usage de l'autorité, et le mérite du prince plus reconnu et plus révéré que son autorité même. Touchés de tant de merveilles, épanchons nos cœurs sur la piété de Louis. Poussons jusqu'au ciel nos acclamations...
Page 10 - ... obtenu de mes prédécesseurs, mais de ne leur rien accorder au delà et d'en renfermer même l'exécution dans les plus étroites bornes que la justice et la bienséance pouvaient permettre 3...
Page 365 - Mon enfant, vous allez être un grand roi ; ne m'imitez pas dans le goût que j'ai eu pour les bâtiments, ni dans celui que j'ai eu pour la guerre ; tâchez, au contraire, d'avoir la çaix avec vos voisins.
Page 384 - M. le duc d'Orléans qu'il entend se conformer à la plunililc des suffrages dudit conseil de la régence dans toutes les affaires (à l'exception des charges; emplois, bénéfices et grâces qu'il pourra accorder à qui bon lui semblera, après avoir consulté le conseil de régence, sans être néanmoins assujetti à suivre la pluralité des voix à cet égard), ordonne qu'il pourra former le conseil de régence, même tels...
Page 500 - gens-là qui cabalent pour mettre les princes du sang légin limés dans le rang de leur pairie ; qui , ne se contentant pas « de traiter le parlement avec mépris, veulent faire marcher « la noblesse à leur suite , en exiger le titre de monseigneur « dans les lettres , lui refuser la main chez eux , obtenir même « des distinctions jusqu'ici inouïes, et se dispenser de mesurer « leurs épées avec les gentilshommes ! Ce sont enfin ces gens-là « qui, oubliant qu'ils font partie du parlement,...
Page 553 - XLIV. 11 n'ya que deux amours, d'où naissent toutes nos volontés et toutes nos actions : l'amour de Dieu, qui fait tout pour Dieu et que Dieu récompense; l'amour de nous-mêmes et du monde, qui ne rapporte pas à Dieu ce qui doit lui être rapporté, et qui, par cette raison même, devient mauvais.