Histoire de France, Volume 4Krabbe, 1852 |
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Common terms and phrases
affaires alliés Alsace Anglais Anne d'Autriche armée arrêté assez attaquer avaient avantage bataille Beaufort Broussel c'était campagne cardinal Charles coadjuteur commandait commencement comte conseil cour crut d'Autriche déclaration défense demanda dessein devait donna duc d'Enghien duc d'Orléans duc de Beaufort duc de Savoie duchesse enfin ennemis envoyé Espagnols espérances états évêques faisait firent Flandre flattait forces frère frondeurs fût Gaston général Gondi gouvernement guerre Hollandais jeune jours l'Angleterre l'armée l'électeur l'empereur l'ennemi l'Espagne laisser lit de justice Lorraine Louis XIV lui-même madame madame de Montespan maison maréchal Mazarin menacé ment mille hommes ministre monarque Monsieur mort n'avait n'était négociations paix Parlement passer Pays-Bas pendant personnes peuple Pologne porter pouvait prélat premier présenta presque prince de Condé princesse prisonniers prit province refusa régente reine reine-mère rendre reste retraite Rhin Richelieu royaume s'était secours serait seul siége sorte succès tion traité troupes trouva Turenne vaisseaux victoire Villars voulait
Popular passages
Page 333 - La crainte d'une excommunication « injuste ne doit pas nous empêcher de faire notre devoir, » par laquelle on prétendait légitimerle mépris des censures qui avaient été portées dans l'affaire de Jansénius.
Page 256 - il a fallu que je lui ordonne de se retirer, parce que tout ce « qui passait par lui perdait de la grandeur et de la force qu'on « doit avoir en exécutant les ordres d'un roi de France.
Page 116 - Il se précipite; et si je me précipitais avec lui, j'y ferais peut-être mieux mes affaires que lui; mais je m'appelle Louis de Bourbon, et je ne veux pas ébranler la couronne. Ces diables de bonnets carrés sont-ils enragés, de m'engager ou à faire demain la guerre civile, ou à les étrangler eux-mêmes, et à mettre sur leurs têtes et sur la mienne un gredin de Sicile qui nous perdra tous à la tin?
Page 133 - Est-il possible, dit-il, monsieur, qu'un prince du sang de France propose de donner séance sur les fleurs de lis à un député du plus cruel ennemi des fleurs de lis?
Page 337 - Après avoir reçu le viatique, il m'appela, et me dit : Mon neveu, j'ai fait un testament où je vous ai conservé tous les droits que vous donne votre naissance ; je vous recommande le dauphin, servez-le aussi fidèlement que vous m'avez servi, et travaillez à lui conserver son royaume ; s'il vient à manquer vous serez le maître, et la couronne vous appartient.
Page 244 - Je connais, ajoutait-il en finissant, la force des troupes impériales, les « généraux qui les commandent, le pays où je suis; je prends tout sur moi. « et je me charge des événements.
Page 205 - ... chacun sait les malheurs qu'ont produits les assemblées du parlement : je veux les prévenir désormais. J'ordonne donc qu'on cesse celles qui sont commencées sur . les édits que j'ai fait enregistrer en lit de justice.
Page 336 - Huet, Fléchier, l'abbé de Fleury, élevaient ses « enfants. C'est avec cet auguste cortège de génies immortels que Louis XIV, « appuyé sur tous ces grands hommes, qu'il sut mettre et conserver à leur « place, se présente aux regards de la postérité.
Page 337 - J'ai fait les dispositions que j'ai cru les plus sages'; mais comme on ne saurait tout prévoir, s'il ya quelque chose qui ne soit pas bien , on le changera.
Page 323 - J'en souffrirai moins dans l'autre monde. Mais suspendons mes douleurs sur les malheurs domestiques et voyons ce qui se peut faire pour prévenir ceux du royaume.