Choix de mémoires, Volumes 1-21841 - 11 pages |
From inside the book
Results 1-5 of 10
Page 35
... théisme une théorie , qui non - seulement ne reste pas sans application , mais qui pour ceux , qui ne s'arrêtent point de- vant des considérations étrangères à ce système , ne se dément pas dans la pratique ? Eh bien , puisque l'intérêt ...
... théisme une théorie , qui non - seulement ne reste pas sans application , mais qui pour ceux , qui ne s'arrêtent point de- vant des considérations étrangères à ce système , ne se dément pas dans la pratique ? Eh bien , puisque l'intérêt ...
Page 50
... théisme sera fondé à conclure que toute autre science ne mérite pas ce nom . - Mais aussi d'autre part , admettez qu'il faut partir des faits pour connaître la nature humaine , ad- mettez que l'observation seule peut révéler cette ...
... théisme sera fondé à conclure que toute autre science ne mérite pas ce nom . - Mais aussi d'autre part , admettez qu'il faut partir des faits pour connaître la nature humaine , ad- mettez que l'observation seule peut révéler cette ...
Page 52
... théisme reconnaît lui - même cette harmonie , puisqu'il la pose en principe , et ne conclut à la nécessité de la science absolue , que parce que cette science est une condition nécessaire de l'accomplissement des désirs de l'homme . Or ...
... théisme reconnaît lui - même cette harmonie , puisqu'il la pose en principe , et ne conclut à la nécessité de la science absolue , que parce que cette science est une condition nécessaire de l'accomplissement des désirs de l'homme . Or ...
Page 58
... théisme , comme sortant du criticisme de Kant . J'admettrai si l'on veut qu'il en soit une conséquence au moins dans le sens que je viens de dire , et je me contenterai d'examiner sous le rapport du sentiment le principe de l'identité ...
... théisme , comme sortant du criticisme de Kant . J'admettrai si l'on veut qu'il en soit une conséquence au moins dans le sens que je viens de dire , et je me contenterai d'examiner sous le rapport du sentiment le principe de l'identité ...
Page 67
... théisme ; son existence est à la vérité reconnue , puisqu'on admet qu'il est l'idée de l'esprit , et que réellement cette idée existe dans l'esprit ; mais cette existence est si chétive , la nature de ce Dieu - idée est si peu en ...
... théisme ; son existence est à la vérité reconnue , puisqu'on admet qu'il est l'idée de l'esprit , et que réellement cette idée existe dans l'esprit ; mais cette existence est si chétive , la nature de ce Dieu - idée est si peu en ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
absolue Arménie Arméniens avons beau caractère catholicisme catholique chose civilisation connaissance conséquences croyances développement Dhanis Dieden Dieu dire divine doctrine dogme doit donner duc de Brabant écrivains églises époque esprit éternelle existe existence facultés force forme Freybourg Godefroi Grimberghe Guillaume de Saint-Amour Hegel Hist hommes idées infini intel intellectuelle intelligence Kant l'âme l'amour l'architecture l'Arménie l'art l'auteur l'Église l'esprit l'être l'existence l'histoire l'homme l'humanité l'idée l'infini l'univers langue liberté libre littérature logique lois lui-même manière matériel ment moderne Moïse de Khorène monde monumens morale moyen âge nature nécessaire notion œuvres panthéisme peinture pensée perfection peuples phil philosophie chrétienne poésie lyrique poëte premier présente primitive principe progrès prouver puissance puisse qu'une raison rapports rationalisme réalité religieux reste rien Rutebeuf s'est saint sanscrit saurait Schelling science séance sens intime sentiment sera seul sociale société style surtout système théisme théorie tion travail trouve trouvère universelle vérité volition volonté vrai XIIIe siècle
Popular passages
Page 174 - Regrettez-vous le temps où nos vieilles romances Ouvraient leurs ailes d'or vers leur monde enchanté ; Où tous nos monuments et toutes nos croyances Portaient le manteau blanc de leur virginité ; Où, sous la main du Christ, tout venait de renaître...
Page 175 - Les clous du Golgotha te soutiennent à peine ; Sous ton divin tombeau le sol s'est dérobé : Ta gloire est morte, ô Christ! et sur nos croix d'ébène Ton cadavre céleste en poussière est tombé ! Eh bien ! qu'il soit permis d'en baiser la poussière Au moins crédule enfant de ce siècle sans foi, Et de pleurer, ô Christ ! sur cette froide terre Qui vivait de ta mort, et qui mourra sans toi ! Oh ! maintenant, mon Dieu, qui lui rendra la vie?
Page 59 - Et si l'homme n'avait jamais été que corrompu, il n'aurait aucune idée ni de la vérité, ni de la béatitude. Mais, malheureux que nous sommes, et plus que s'il n'y avait point de grandeur dans notre condition , nous avons une idée du bonheur, et ne pouvons y arriver; nous sentons une image de la vérité, et ne possédons que le mensonge...
Page 287 - Parlons maintenant selon les lumières naturelles. S'il ya un Dieu, il est infiniment incompréhensible, puisque, -n'ayant ni parties ni bornes, il n'a nul rapport à nous. Nous sommes donc incapables de connaître ni ce qu'il est, ni s'il est.
Page 174 - Où tous nos monuments et toutes nos croyances Portaient le manteau blanc de leur virginité ? Où, sous la main du Christ, tout venait de renaître ? Où le palais du prince, et la maison du prêtre, Portant la même croix sur leur front radieux, Sortaient de la montagne en regardant les cieux ? Où Cologne et Strasbourg, Notre-Dame et Saint-Pierre, S'agenouillant au loin dans leurs robes de pierre, Sur l'orgue universel des peuples prosternes Entonnaient l'hosanna des siècles nouveau-nés...
Page 58 - L'homme ne sait à quel rang se mettre. Il est visiblement égaré, et tombé de son vrai lieu sans le pouvoir retrouver. Il le cherche partout avec inquiétude et sans succès dans des ténèbres impénétrables.
Page 10 - Dans cette incertitude , que je veux pousser aussi loin qu'elle peut aller, il ya une chose qui m'arrête tout court. J'ai beau vouloir douter de toutes choses, il m'est impossible de pouvoir douter si je suis.
Page 175 - Christ! je ne suis pas de ceux que la prière Dans tes temples muets amène à pas tremblants ; Je ne suis pas de ceux qui vont à ton Calvaire, En se frappant le cœur, baiser tes pieds sanglants; Et je reste debout sous tes sacrés portiques, Quand ton peuple fidèle, autour des noirs arceaux, Se courbe en murmurant sous le vent des cantiques, Comme au souffle du nord un peuple de roseaux. Je ne crois pas, ô Christ...
Page 175 - Je ne crois pas, ô Christ ! à ta parole sainte. Je suis venu trop tard dans un monde trop vieux.
Page 158 - Un poète lyrique, c'est une âme à nu qui passe et chante au milieu du monde ; et selon les temps, et les souffles divers et les divers tons où elle est montée, cette âme peut rendre bien des espèces de sons.