Choix de rapports, opinions et discours prononcés à la Tribune Nationale depuis 1789 jusqu'à ce jour: 1789-91. (Assemblée constituante) |
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Common terms and phrases
article Assemblée assurer aujourd'hui aurait avez avons besoin bonheur cesse choses circonstances citoyens comité commencement conserver considérations contraire corps législatif d'autres déclarer décret délibération demande dernier despotisme devant devoir dire discours discussion dispositions doit doivent donner doute également enfin établir état existe famille ferait force forme générale gouvernement guerre hommes intérêt j'ai jour juges juste justice l'abbé l'Assemblée nationale l'Etat l'ordre laisser lettres liberté libre livres lois mains malheurs membres ment messieurs mesures ministres Mirabeau motion moyens municipalités n'en n'ont nation nécessaire nombre nouveau nouvelle ordres paix parler particuliers patrie pensé personnes peuple peuvent place porter pourra pouvait pouvoir exécutif premier préparatifs présente président projet prononcé propose public publique puissance puisse qu'à qu'un question raison rappeler rapport religieux religion rendre respect reste réunir révolution rien rois royaume s'il séance sentiment sera seront servir seul simple société sort suivant tion titres traités troupes trouve véritable volonté
Popular passages
Page 17 - je jure de remplir mes fonctions avec exactitude, d'être fidèle à la Nation, à la Loi et au Roi, et de maintenir de tout mon pouvoir la Constitution décrétée par l'Assemblée Nationale et sanctionnée par le Roi.
Page 371 - Tous les citoyens étant égaux à ses yeux, sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents.
Page 102 - L'Assemblée nationale, considérant qu'elle n'a et ne peut avoir aucun pouvoir à exercer sur les consciences, et sur les opinions religieuses; que la majesté de la religion et le respect profond qui lui est dû ne permettent point qu'elle devienne un sujet de délibération ; considérant que l'attachement de l'Assemblée nationale au culte catholique, apostolique et romain ne saurait être mis...
Page 310 - Et moi aussi, on voulait, il ya peu de jours, me porter en triomphe, et maintenant on crie dans les rues la grande trahison du comte de Mirabeau !. . . Je n'avais pas besoin de cette leçon pour savoir qu'il est peu de distance du Capitole à la roche Tarpéienne 1 ; mais l'homme qui combat pour la raison, pour la patrie, ne se tient pas si aisément pour vaincu.
Page 329 - La nation française renonce à entreprendre aucune guerre dans la vue de faire des conquêtes, et n'emploiera jamais ses forces contre la liberté d'aucun peuple.
Page 15 - Vous qui pouvez influer par tant de moyens sur la confiance publique, éclairez sur ses véritables intérêts le peuple qu'on égare, ce bon peuple qui m'est si cher, et dont on m'assure que je suis aimé, quand on veut me consoler de mes peines.
Page 310 - ... de l'opinion populaire , cet homme porte avec lui la récompense de ses services, le charme de ses peines et le prix de ses dangers; il ne doit attendre sa moisson , sa destinée , la seule qui l'intéresse , la destinée de son nom, que du temps, ce juge incorruptible qui fait justice à tous.
Page 321 - Je ne suivrai pas cet exemple. Je ne crois pas qu'il soit plus conforme aux convenances de la politique qu'aux principes de la morale, d'affiler le poignard dont on ne saurait blesser ses rivaux sans en ressentir bientôt sur son propre sein les atteintes. Je ne crois pas que des hommes qui doivent servir la cause publique en véritables frères d'armes, aient bonne grâce à, se combattre en vils gladiateurs, à lutter d'imputations et d'intrigues, et non de lumières et de talents ; à chercher...
Page 14 - ... j'exprime ici ce sentiment. Je défendrai donc, je maintiendrai la liberté constitutionnelle, dont le vœu général, d'accord avec le mien, a consacré les principes.
Page 309 - On répand depuis huit jours que la section de l'Assemblée nationale , qui veut le concours de la volonté royale dans l'exercice du droit de la paix et de la guerre, est parricide de la liberté publique ; on répand les bruits de perfidie, de corruption ; on invoque les vengeances populaires pour soutenir la tyrannie des opinions.