...de souffrances. » Robert André-Michel, la veille de Croiiy, la veille de sa mort, écrivait : « Nous n'aurons pas vécu en vain, si nous pouvons donner notre vie pour la cause sacrée de la France. » A présent, l'on n'a plus envie de railler le chartiste <uaux lourdes besicles; » ces érudits,...

...haute idée de ce jeune intellectuel devenu brusquement un vaillant soldat. Lettre du 7 août 1914 : « Nous n'aurons pas vécu en vain, si nous pouvons donner notre vie pour la cause sacrée de la France. » Lettre du 12 octobre 1914, veille de sa mort : « Le patriotisme ce n'est, ni le mépris, ni l'ignorance,...

...deux phrases, extraites de ses dernières lettres à sa jeune femme, qui permettent d'en juger : « Nous n'aurons pas vécu en vain, si nous pouvons donner notre vie pour la cause sacrée de la France » (7 août 1914). « Le patriotisme, ce n'est ni le mépris, ni l'ignorance, ni la haine de l'étranger;...

...son ami et camarade de l'École de Rome. écrivait, à la veille de sa mort, au combat de Croûy : « Nous n'aurons pas vécu en vain si nous pouvons donner notre vie pour la cause sacrée de la France. » La douleur que nous cause d'aussi tragiques destinées ne devrait-elle pas nous porter à prendre...

...lendemain, en pleine bataille de Crouy (Aisne), il tombait. Quelques jours plus tôt, il avait écrit : « Nous n'aurons pas vécu en vain, si nous pouvons donner notre vie pour la cause sacrée de la France. * Cet homme de trente ans, qui était né à Montpellier (Hérault) le 1 2 octobre 1 884, avait d'abord...

...lendemain, en pleine bataille de Crouy (Aisne), il tombait. Quelques jours plus tôt, il avait écrit : « Nous n'aurons pas vécu en vain, si nous pouvons donner notre vie poar la cause sacrée de la France. » Cet homme de trente ans, qui était né à Montpellier (Hérault)...

...planches hors texte. a« ÉDITION LIBRAIRIE ARMAND COLIN io3, BOULEVARD SAINT-MICHEL, PARIS 1926 NOVÎ n'aurons pas vécu en vain, si nous pouvons donner notre vie pour la cause sacrée de la France.... (Lettre du 7 août 1914.) Le patriotisme, ce n'est ni le mépris, ni Fignorance, ni la haine de l'étranger;...

...L'un des meilleurs, Robert-André Mkhel, écrivait à la veille de sa mort, au combat de Croay : « Nous n'aurons pas vécu en vain si nous pouvons donner notre vie pour la cause sacrée de la France. » La douleur que nous cause d'aussi tragiques destinées ne devrait-elle pas nous porter à prendre...