Mémoires de la Société académique d'agriculture, des sciences, arts et belles-lettres du département de l'Aube, Volume 39 |
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Page 179
... pensée où j'étois de la nullité de la transaction passée en 1678 , entre le P. Ryane , prieur de l'abbaye de S'- Martin , et M. Le Bey , curé de S ' - Nizier , et du peu de fon- dement qu'avoit par conséquent le droit de curé prétendu ...
... pensée où j'étois de la nullité de la transaction passée en 1678 , entre le P. Ryane , prieur de l'abbaye de S'- Martin , et M. Le Bey , curé de S ' - Nizier , et du peu de fon- dement qu'avoit par conséquent le droit de curé prétendu ...
Page 289
... par une haute et patriotique pensée : coloniser l'Al- gérie , en conservant à la France ceux de ses enfants qui , nés en Alsace et en Lorraine , n'ont pas voulu abandonner la T. XXXIX . 19 patrie qui leur était chère . A l'appel du comte.
... par une haute et patriotique pensée : coloniser l'Al- gérie , en conservant à la France ceux de ses enfants qui , nés en Alsace et en Lorraine , n'ont pas voulu abandonner la T. XXXIX . 19 patrie qui leur était chère . A l'appel du comte.
Page 313
... pensées , ces bou- tons d'or , ces marguerites , que Memlinc peignait à miracle et qu'il y semait à profusion . Tous les violets surtout me paraissent avoir été remontés et ne sont plus en harmonie . Il ne faut cependant pas trop se ...
... pensées , ces bou- tons d'or , ces marguerites , que Memlinc peignait à miracle et qu'il y semait à profusion . Tous les violets surtout me paraissent avoir été remontés et ne sont plus en harmonie . Il ne faut cependant pas trop se ...
Page 325
... pensée intime ! Qui jamais dans les Flandres a su exprimer aussi franchement la gaieté , la bonne humeur , la santé robuste et insouciante , la jeunesse heureuse de vivre et ne doutant de rien , parce que , croyant tout pouvoir , elle ...
... pensée intime ! Qui jamais dans les Flandres a su exprimer aussi franchement la gaieté , la bonne humeur , la santé robuste et insouciante , la jeunesse heureuse de vivre et ne doutant de rien , parce que , croyant tout pouvoir , elle ...
Page 326
... pensée de Michel Montaigne : « J'imagine qu'il y a quelque umbre de » friandise et délicatesse au giron même de la mélancolie . » Oui , Ruysdaël fut un grand poète qui se complut toute sa vie dans les mélancolies d'une nature attristée ...
... pensée de Michel Montaigne : « J'imagine qu'il y a quelque umbre de » friandise et délicatesse au giron même de la mélancolie . » Oui , Ruysdaël fut un grand poète qui se complut toute sa vie dans les mélancolies d'une nature attristée ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 460 - Nous peint sous des noms empruntés Les plus illustres personnages Qu'Apollon ait jamais chantés. Sous le nom d'Aman le cruel, Louvois est peint au naturel ; Et de...
Page 460 - Vasthy la décadence Nous retrace un portrait vivant De ce qu'a vu la cour de France A la chute de Montespan. La persécution des Juifs De nos huguenots fugitifs Est une vive ressemblance ; Et l'Esther qui règne aujourd'hui Descend des rois ' dont la puissance Fut leur asile et leur appui.
Page 462 - La musique ne fut pas un des moindres agréments de la pièce; car, outre que nous avions de belles voix, les instruments des musiciens du roi en relevaient l'harmonie. Le roi avait donné pour ce jour-là quelques-unes de ses musiciennes des plus sages et des plus habiles pour mêler avec les demoiselles, afin de fortifier le chœur des Israélites : on les habilla comme elles à la persane , ce qui aurait dû les confondre avec les autres ; mais ceux qui ne les connaissaient pas pour être de la...
Page 456 - M°" de Maintenon dressait elle-même la liste des invités. « On donnait cette liste à la portière (alors Mm° de Gauthier), afin qu'elle n'en laissât pas passer d'autres ; et, quand le Roi était arrivé, il se mettait à la porte en dedans, et, tenant sa canne haute pour servir de barrière, il demeurait ainsi jusqu'à ce que toutes les personnes conviées fussent entrées; puis il faisait fermer la porte.
Page 456 - Le roi l'a trouvée admirable , M. le prince ya pleuré. Racine n'a rien fait de plus beau ni de plus touchant : il ya une prière d'Esther pour Assuérus , qui enlève. J'étais en peine qu'une petite demoiselle représentât ce roi : on dit que cela est fort bien.
Page 340 - Molière, quitta -les bancs de. la Sorbonne pour la »suivre. Il en fut long-temps amoureux, donnait des »avis à la troupe, et enfin s'en mit et l'épousa.
Page 269 - Marche, conseiller et chambellan du roy nostre sire et garde de la prévosté de Paris, salut. Savoir faisons que...
Page 457 - Coulanges, madame de Bagnols, l'abbé Têtu et moi. Nous trouvâmes nos places gardées : un officier dit à madame de Coulanges que madame de Maintenon lui faisait garder un siège auprès d'elle ; vous voyez quel honneur. Pour vous, madame, me dit-il, vous pouvez choisir; je me mis avec madame de Bagnols au second banc derrière les duchesses.
Page 455 - Et c'est là que, fuyant l'orgueil du diadème, Lasse de vains honneurs, et me cherchant moimême, Aux pieds de l'Eternel je viens m'humilier, Et goûter le plaisir de me faire oublier.
Page 340 - Mille de ses beaux traits, aujourd'hui si vantés. Furent des sots esprits à nos yeux rebutés. L'ignorance et l'erreur à ses naissantes pièces, En habits de marquis, en robes de comtesses, Venaient pour diffamer son chef-d'œuvre nouveau, Et secouaient la tête à l'endroit le plus beau.