Revue de Bretagne, de Vendée & d'Anjou, Part 2

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Arthur La Broderie, Émile Grimaud
J. Forest, aîné, 1889
 

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Popular passages

Page 108 - Nous sommes, avec respect, Monsieur-, vos très humbles et très obéissants serviteurs. L'abbé DE LA. (jiti':xiLLo>~>'.vïE, L'abbé ROUSSKLIN ni ROCIIKH cb"° SÉIIIKE l'aisné (maire), Pierre-Louis-Achille Ch" DE Houit>J Gabriel-François-Cyrille de LÏS Bossnor.
Page 473 - Recherches et Notices sur les députés de la Bretagne aux Etats Généraux et à l'Assemblée Constituante que M.
Page 480 - Mellinet, s'était excusé, par une lettre très aimable, de ne pouvoir assister à la réunion. Le procès-verbal de la dernière séance est lu et adopté.
Page 167 - BRETONNET. < 0 Marie, daignez prier Dieu, le vrai roi du ciel, pour la dame des Bretons. ,* S'ils ne valent pas mieux, comme poésie, que la plupart des productions françaises du même genre, plusieurs se terminent par une note dont l'accent les distingue et fait leur originalité. Un ardent patriotisme anime les poètes...
Page 168 - Ceux-là vous aiment d'une tendresse si certaine, si douce et si parfaite ! Dans vous, en Bretagne et en France, nous avons mis notre espérance ; priez toujours pour nous. » Ils étaient déjà Français ; la gloire de la France est désormais leur gloire : Guerchez an sent, santel dre excellancc A quentaff lance Briz, France, a avancet ! (XXX).
Page 110 - Nous avons l'honneur d'être, Monsieur, vos très humbles et très obéissants serviteurs.
Page 263 - La nuit de chaque grande fêle, le bretteur (ou bedeau) de la (confrérie de la) Véronique (qui avait son siège dans l'église des Minimes, à Nantes), parcourait la ville en agitant une clochette et demandant à ceux qui reposaient dans la tranquillité de leur sommeil un souvenir pour les trépassés » . (E. de la Gournerie, Notice sur l'église de l'Immac. Concept., Nantes, 1849, p. 13). Langlois (Rouen au xvr siècle et les danses des morts, p.
Page 459 - Néra! Je n'ai pas le courage De te vouloir du mal; Sur nos monts crains l'orage; Crains l'ombre dans le val. Pais longtemps l'herbe verte, Néra! Nous mourrons de ta perte, Ah!
Page 169 - L'insistance qu'ils metArch. 13 tent à demander au Ciel la conservation de ce qu'ils ont de plus cher au monde ne prouve-t-elle pas une vive appréhension ? Leur dernière prière, leur dernier appel à la patronne de la Bretagne est le cri traditionnel, séculaire, éternel de la race : Suppliet, Ytron, euit an Bretonnçt ! Mazdalchint ferm en Breiz ho feiz ho reiz bepret.
Page 167 - Guyr catholiquet (XIX, 10). Ils poussent même la partialité à un point qui fait sourire : c'est particulièrement pour les Léonais que le Sauveur serait né !

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