Mlle d'Outrelaise qu'elle logeoit avec elle donnoient le ton à la meilleure compagnie de la ville et de la cour, sans y aller jamais. On les appeloit les Divines. En effet, elles exigeoient l'encens comme déesses, et ce fut toute leur vie à qui bur... Frontenac et ses amis: étude historique - Page 3by Ernest Myrand - 1902 - 188 pagesFull view - About this book
| Louis de Rouvroy duc de Saint-Simon - 1856 - 496 pages
...été belle et ne l'aroit pas ignoré. Elle et Mlle d'Outrelaise qu'elle logeoit avec elle donnoient le ton à la meilleure compagnie de la ville et de la cour, sans y aller jamais. On les appeloit les Divines. En effet, elles exigeoient l'encens comme déesses, et ce fut toute leur vie... | |
| Madame de Maintenon - 1865 - 770 pages
...« C'étoient, dit Saint-Simon, des personnes dont il falloit avoir l'approbation. Elles donnoient le ton à la meilleure compagnie de la ville et de la cour. On les appeloit les divines. » Madame de Frontenac était de la société de madame de Sévigné,... | |
| Françoise d' Aubigné (marquise de Maintenon.) - 1865 - 1004 pages
...« C'étoient, dit Saint-Simon, des personnes dont il falloit avoir l'approbation. Elles donnoient le ton à la meilleure compagnie de la ville et de la cour. On les appeloit les divines. a Madame de Frontenac était do la société de madame de Sévigné, mais... | |
| Louis de Rouvroy duc de Saint-Simon - 1873 - 504 pages
...été belle et ne l'avoit pas ignoré. Elle et M"e d'Outrelaise, qu'elle logeoit avec elle, donnoient le ton à la meilleure compagnie de la ville et de la cour, sans y aller jamais. Onles appeloit tes Divine1'. En effet, elles exigeoient l'encens comme déesses, et ce fut toute leur... | |
| Louis de Rouvroy (duc de Saint-Simon.) - 1873 - 504 pages
...été belle et ne l'avoit pas ignoré. Elle et M"' d'Outrelaise, qu'elle logeoit avec elle, donnoient le ton à la meilleure compagnie de la ville et de la cour, sans y aller jamais. Onlesappeloit lesDiviner1. En effet, elles exigeoient l'encens comme déesses, et ce fut toute leur... | |
| Ernest Gagnon - 1922 - 256 pages
...été belle et ne l'avait pas ignoré. Elle et Mademoiselle d'Outrelaise, qu'elle logeait avec elle, donnaient le ton à la meilleure compagnie de la ville et de la cour. On les appelait les Divines. En effet, elles exigeaient l'encens comme des déesses, et ce fut toute... | |
| François-Xavier Garneau, Hector Garneau - 1913 - 688 pages
...M"e d'Outrelaise, qu'elle logeait avec elle, donnaient le ton à la meilleure compagnie de la ville sans y aller jamais. On les appelait les Divines....déesses, et ce fut toute leur vie à qui leur en prodigjjgiait. M"1" de Frontenac était fille d'un maître des comptes qui s appelait la Grange-Trianon.... | |
| mère Sainte-Marie - 1863 - 628 pages
...avait été belle et ne l'avait pas ignoré. Elle et Mlle. d'Outrelaise, qu'elle logeait avec elle, donnaient le ton à la meilleure compagnie de la ville et de la cour. On les appelait les "Divines." En efi'et, elles exigeaient l'encens comme déesses, et ce fut toute... | |
| |