Histoire de France, Volume 5Hachette, 1865 |
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Common terms and phrases
allait alliés anglais août armée Autrichiens avaient bataille Bavière Berwick Bossuet britannique c'était cabinet campagne cardinal cardinal de Fleury catholique Catinat Charles Choiseul commandement comte conseil cour couronne d'Argenson dauphin déclaration devait donner Dubois duc d'Orléans duc de Bourgogne duc de Noailles duc du Maine Élisabeth Farnèse ennemis espagnole esprit États Eugène eût Fénelon finances Fleury force française Frédéric fût général gouvernement guerre Guillaume Hanovre Hollande Innocent XI jansénisme jour l'Angleterre l'armée l'avait l'électeur l'empereur l'ennemi l'Espagne l'État l'Europe laisser lit de justice Louis XIV Louvois lui-même maréchal Marie-Thérèse Marlborough ment mille hommes ministre Mme de Maintenon Mme de Pompadour mois monarchie monarque mort n'avait n'était nation négociation Noailles paix Parlement Pays-Bas peuple Philippe politique porter prince Provinces-Unies refus régent règne reine reste rien royale royaume s'était Saint-Simon Saxe sentiment septembre seul siége succès tion traité triste troupes vaisseaux venait Vendôme Versailles Villars Villeroy Voltaire
Popular passages
Page 244 - J'ai trop aimé la guerre; ne m'imitez pas en cela, non plus que dans les trop grandes dépenses que j'ai faites.
Page 402 - Cadix; les beaux arts étaient partout en honneur; on voyait entre toutes les nations une correspondance mutuelle ; l'Europe ressemblait à une grande famille réunie après ses différens.
Page 149 - Soyez bon Espagnol , c'est présentement votre premier devoir, mais souvenez-vous que vous êtes né Français, pour entretenir l'union entre les deux nations; c'est le moyen de les rendre heureuses et de conserver la paix de l'Europe...
Page 561 - Tout mon désir , Sire, est que vous puissiez toujours croire que « j'avais mal vu, et que je vous montrais des dangers chimériques. Je « souhaite que le temps ne me justifie pas, et que votre règne soit « aussi heureux , aussi tranquille et pour vous et pour vos peuples , « qu'ils se le sont promis d'après vos principes de justice et de bien
Page 86 - Luxembourg était malade : circonstance funeste dans un moment qui demande une aâivité nouvelle; le danger lui rendit ses forces : il fallait des prodiges pour n'être pas vaincu, et il en fit. Changer de terrain, donner un champ de bataille à son armée qui n'en avait point, rétablir la droite...
Page 543 - ... et les charges inégales, il se bâtissait ainsi peu à peu une société imaginaire, dans laquelle tout paraissait simple et coordonné, uniforme, équitable et conforme à la raison. Graduellement l'imagination de la foule déserta la première pour se retirer dans la seconde. On se désintéressa de ce qui était, pour songer à ce qui pouvait être, et l'on vécut enfin par l'esprit dans cette cité idéale qu'avaient construite les écrivains.
Page 130 - S'il se trouve dans vos écrits quelque chose de considérable qui n'ait pas encore été repoussé, j'y répondrai par d'autres moyens. Pour des lettres, composez-en tant qu'il vous plaira, divertissez la ville et la cour, faites admirer votre esprit et votre éloquence, et ramenez les grâces des Provinciales : je ne veux plus avoir de part au spectacle que vous semblez vouloir donner au public...
Page 225 - J'en souffrirai moins dans l'autre monde. Mais suspendons mes douleurs sur les malheurs domestiques et voyons ce qui se peut faire pour prévenir ceux du royaume. La confiance que j'ai en vous est bien marquée, puisque je vous remets les forces et le salut de l'Etat.
Page 205 - ... celle que j'ai pour mes propres enfants, quoique je partage tous les maux que la guerre fait souffrir à des sujets aussi fidèles, et que j'aie fait voir à toute l'Europe que je...
Page 510 - Il faut espérer qu'après avoir purgé la France des jésuites, on sentira combien il est honteux d'être soumis à la puissance ridicule qui les a établis.