Bulletin de la Société archéologique historique et scientifique de Soissons, Volume 1 |
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ADALBÉRON anciens archéologique ARCHÉOLOGIQUE DE SOISSONS arts et monuments assez aujourd'hui avaient baptême par immersion Bellovaques Bernard Potier Blérancourt bois bronze bulletin butte Caumont centimètres César Chaourse Charles de Roucy Charles-le-Chauve charte château chaussée chemin Chezjean Clouet comité historique conservation constructions couches cromlecks Cuiry-Housse cuve Dampleux destination dolmen Dormay duc de Gesvres église époque Fère-en-Tardenois forêt de Retz forêts forme fouilles Gaule Gaulois grès historique des arts HISTORIQUE ET ARCHÉOLOGIQUE l'abbé Poquet l'agger l'Aisne l'église l'évêque Didon Laon Laprairie largeur localités médailles médaillon membres titulaires menhir ment Messieurs mètres monastère monnaies montagnes moyen-âge Nampcel Noviodunum Noyon oppida paraît Pasly pays peuples Pierrepont place Pont-Archer poteries premier présente président quelquefois Reims religieux reste romaines du Soissonnais Roucy route saint Saint-Denis séance seigneur Senlis sera servi seulement SOCIÉTÉ HISTORIQUE Souliac statuts Suessons tantôt terre tion tombelles Tresmes trouve tumulus usage Vauxrezis Vermand village villes voies antiques voies romaines XIIe siècle
Popular passages
Page 134 - Paris, qu'elle côtoyé ensuite, sur la droite, jusqu'à la Croix de fer. Plus loin, la superposition est complète , car on n'aperçoit plus trace de cette chaussée, reconnaissable jusque-là par sa forme bombée et surtout crayeuse , quoique dégradée par les sillons de la charrue.
Page 156 - ... l'époque de l'indépendance gauloise. Toutefois on trouve aussi dans quelques provinces de vastes enceintes, construites évidemment de main d'homme, et qui, trop irrégulières pour être des camps romains, sont, d'après toutes les probabilités, l'enveloppe extérieure de ces oppida dans lesquels se réfugiaient les populations gauloises à l'approche de l'ennemi. Les archéologues ne s'accordent pas sur la question de savoir si , indépendamment de ces lieux de refuge, les Gaulois avaient...
Page 98 - Agréez, Monsieur le Président, l'assurance de ma considération la plus distinguée. Le Ministre de l'Instruction publique, des Beaux-Arit et des Cultes, RENÉ GOBLET. PROGRAMME DU CONGRÈS DES SOCIÉTÉS SAVANTES A LA SORBONNE EN 1886. 1. — Section d'histoire et de philologie. 1° Mode d'élection et étendue des pouvoirs des députés aux États provinciaux.
Page 111 - ... envers l'abbaye de Saint-Serge , à laquelle il donne 'l'église de Saint-Martin près Beaupreau , avec un grand nombre de droits , biens et revenus , qui en font un beau et riche prieuré (1). Au nom de la sainte et indivisible Trinité, Nous voulons faire savoir à tous les fidèles de la sainte église de Dieu , et surtout à nos successeurs , que l'église de Saint-Martin , située près du château de Beaupreau (1) , a été donnée , et même vendue (2) , à Saint-Serge et au seigneur abbé...
Page 128 - Cette grande voie traversait de nombreuses villas, dans la vallée de Soissons : elle parcourait d'abord le grand faubourg à l'ouest de la ville; puis, après Canivet, elle coupait la plaine comprise entre Pernant et...
Page 7 - ART. 2. — La Société se compose de Membres titulaires, de Membres honoraires et de Membres correspondants, nationaux ou étrangers.
Page 21 - ... peut-être à trois cents, nombre égal à peu près à celui des monuments importants de notre pays, et qui paraissent mériter un travail spécial. Le temps et l'argent manqueraient pour une œuvre aussi colossale. D'un autre côté on ne pouvait laisser s'égarer au hasard les intentions du comité, ni les abandonner aux caprices individuels de tous ceux qui voudraient se charger d'un travail historique sur les monuments. Il a donc paru indispensable d'arrêter un plan uniforme de travaux,...
Page 8 - Tous les membres du bureau sont nommés pour un an à la majorité des voix ; ils peuvent être réélus ; 7° Pour être membre titulaire ou honoraire , il faut réunir la majorité des voix.
Page 82 - ... qui signalèrent des siècles si reculés. D'un peu loin , ces pierres plantées debout apparaissent au voyageur comme l'assemblage informe des ruines d'une ville; mais...
Page 120 - ... regardait aussi comme des monumens mortuaires élevés par les armées romaines. 11 paraîtrait que le transport des terres pour former ces tombes se faisait à bras, et dans les casques des soldats. On plaçait ceux-ci sur quatre, six, douze rangs et plus , depuis le lieu marqué pour la butte jusqu'à celui où la terre devait être prise. Les casques remplis de terre se passaient de mains en mains, et les chefs de file qui les recevaient les versaient sur le corps du général en disant :...