Revue historique, littéraire et archéologique de l'AnjouCosnier et Lachèse, 1909 |
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abri Ahmed Riza Angers Angevins Anjou août applaudissements Arch artistes avril Bataillon Bault Baumette Beaufort Beaurepaire Béhuard Capucins Chalonnes chanoine charbon charité Charles VII Chaudefonds Chemellier Cholet chrétiens cité cœur Comité Commission conférencier Conseil d'Angers Damad Mahmoud pacha Dauvet députés devant dévouement Dict Dovalle écoles écriture évêque femme fête février filles François Ier général Graphologie Grassin heures hommes Ibid j'ai janvier Jeanne d'Arc l'abbé l'Anjou l'école l'écriture l'église l'évêque lettre livres Loire Louis Louis XI Mahmoud pacha Maine-et-Loire maire maison maîtresse matin maximum absolu ment messe mètres Mgr Freppel Mile mines ministre mois Monseigneur Montjean Montreuil-Bellay municipal musulmans octobre œuvre officiers ottomans paroisse passé patriotisme pauvres Père Jouin Port premier présent président prince Sabaheddine puits religieux René René Gasnier Saint Saint-Aubin-de-Luigné Saint-Georges-sur-Loire Saumur seigneur sera seulement Société soir sol gazonné soldats Soulaines sultan tion trouve Turcs Turquie Urseau veine Vihiers XVIIIe siècle
Popular passages
Page 144 - Heureux qui , comme Ulysse , a fait un beau voyage Ou comme celui-là qui conquit la toison , Et puis est retourné plein d'usage et raison Vivre entre ses parents le reste de son âge...
Page 113 - Nature au cœur profond, sur qui les cieux reposent, Nul n'aura comme moi si chaudement aimé La lumière des jours et la douceur des choses, L'eau luisante et la terre où la vie a germé.
Page 144 - Plus me plaist le séjour qu'ont basty mes ayeux, Que des palais Romains le front audacieux: Plus que le marbre dur me plaist l'ardoise fine, Plus mon Loyre Gaulois, que le Tybre Latin, Plus mon petit Lyre, que le mont Palatin, Et plus que l'air marin la doulceur Angevine.
Page 257 - Ne vous laissez pas induire en erreur par ceux qui voudraient faire naître dans votre esprit une pareille illusion: j'ai passé en Alsace vingt-cinq années de ma vie; je suis resté depuis lors en communauté d'idées et de sentiments avec tous ses enfants ; je n'en connais pas un qui consente à cesser d'être Français. Catholiques ou protestants, tous ont sucé avec le lait de leurs mères l'amour de la France ; et cet amour a été, comme il demeurera, l'une des passions de leur vie.
Page 525 - Nous chargeons les États généraux d'accomplir enfin le vœu des vrais citoyens, de tous les corps éclairés, et spécialement de l'Université d'Angers, qui, depuis un certain nombre d'années, n'a cessé de renouveler cette demande. L'ordre et les objets de nos études actuelles, si insuffisantes et si vicieuses, seront réformés, et un nouveau plan d'éducation nationale sera établi.
Page 337 - Mézières, porteurs de passe-ports qui ont été mis sur le bureau. Ces étrangers, interrogés sur leurs qualités et sur l'objet de leur voyage, se sont dits députés de l'assemblée nationale et chargés par elle d'une 'mission dont ils ont donné communication. Examen fait des passe-ports, leur forme...
Page 340 - ... des départements, en interceptent la circulation, et ne la permettent qu'aux viles productions qui applaudissent à leurs forfaits; c'est ainsi qu'en étouffant la voix de la vérité et de la justice, et laissant un libre essor à celle du mensonge, de la calomnie et de la délation, ils espèrent échapper à la vengeance qui les poursuit et répandre, dans nos murs et jusque dans nos armées, la défiance, le mépris des lois et des pouvoirs constitués, la discorde, la guerre civile et tous...
Page 338 - Délibérant ensuite sur la nature des pouvoirs dont les soidisants commissaires sont porteurs ; considérant qu'au moment où ils auraient été conférés, l'Assemblée nationale, obsédée par la horde des factieux qui remplissaient alors la capitale de sang et de carnage, n'a pu agir avec la liberté qui appartient à tout corps délibérant, que...
Page 156 - Ne repousse point ceux qui invoquent le Seigneur le soir et le matin, et qui désirent ses regards. Il ne t'appartient pas de juger leurs intentions , comme il ne leur appartient pas de juger les tiennes. Si tu les repoussais , tu agirais comme les méchants. 53. C'est ainsi que nous avons éprouvé les hommes les uns par les autres , afin qu'ils disent : Sont-ce là ceux que Dieu a comblés parmi nous de ses bienfaits? — Dieu ne connaît-il pas ceux qui sont reconnaissants. 54. Lorsque ceux qui...
Page 339 - Constitution, qui tend à tromper le peuple, à soulever l'armée, et à lui retirer les braves généraux qui la commandent; qu'on ne peut donc les regarder que comme des émissaires de la faction qui a usurpé les pouvoirs expressément délégués par la souveraineté nationale ; considérant...