L'Observateur catholique, revue des sciences, ecclésiastiques et des faits religieux, Volumes 1-2Guélon 1856 |
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apud article avaient avons Benoît XIV Bordas-Demoulin et Huet Bossuet bulle cardinal Causa finita cause est finie Célestius cérémonies chose chrétiens Christ Clément Clément XI clergé concile d'Éphèse concile de Bâle concile général condamné cour de Rome culte décision déclare décret diocèse divin doctrine ecclésiastique écrit écrivains Eglise erreurs évêques fête fidèles gallicans Gousset Grégoire Grégoire XV hérétiques infaillible jésuites Jésus Jésus-Christ Jolibois journal jugement l'abbé Guettée l'abbé Le Dieu l'autorité l'Église catholique l'Église d'Afrique l'évêque l'hérésie l'Immaculée-Conception l'infaillibilité l'ultramontanisme l'Univers Lavigne lettre liturgie liturgie romaine M. L. Veuillot mandement Marie ment Mgr l'archevêque Mgr Sibour monseigneur Morgaez nouveau dogme opinion païennes pape saint pape Zozime parler paroles péché originel Pélage Pélagiens Pères Peyrat Pie IX prêtre principe protestantisme protestants qu'un question raison réforme réfutation rites sacerdoce saint Augustin saint Docteur Saint-Siége sainte Vierge sentence sentiments serait seul siècle teur théologie théologiens tion traditions ultramontains Vincent de Lérins Voilà vrai
Popular passages
Page 117 - Un grand prodige parut aussi dans le ciel : une femme revêtue du soleil, ayant la lune sous ses pieds, et sur sa tête une couronne de douze étoiles.
Page 299 - L'Ordre est donc un Sacrement qui donne le pou.voir de faire les fonctions ecclésiastiques et la grâce pour les exercer saintement : les Apôtres n'ont pas reçu ce pouvoir pour eux seuls , mais pour le communiquer à d'autres.
Page 87 - Et effundam super vos aquam mundam, et mundabimini ab omnibus inquinamentis vestris, et ab universis idolis vestris mundabo vos.
Page 245 - Sermo 131, c. 10: lam enim de hac causa duo concilia missa sunt ad sedem apostolicam; inde etiam rescripta venerunt. Causa finita est. Utinam aliquando finiatur error...
Page 73 - ... disciples de St. Polycarpe , cimentées par le sang des martyrs , gouvernées par des évoques en qui la plus haute naissance rehaussait l'éclat de la sainteté , enrichies par la pieuse munificence des rois, des prélats et des comtes, souvent ruinées par les Barbares, désolées au moyen âge par le triple fléau de la guerre, de la peste et de la famine, attaquées au seizième siècle par l'hérésie protestante, et cependant toujours fermes dans la Foi, conservant dans l'excès du malheur...
Page 281 - ... adolescents ; et le même homme, en changeant d'état et de manière d'être, conserve toujours sa même nature, reste la même personne. « Que la religion suive ces mêmes lois de progrès ; qu'avec les années elle devienne plus forte, qu'elle se développe avec le temps, qu'elle grandisse avec l'âge, mais qu'elle se maintienne pure et sans tache, qu'elle reste en pleine et parfaite possession de toutes ses parties qui sont comme ses membres et ses sens, qu'elle ne souffre aucun changement,...
Page 281 - ... pères, il faut le cultiver, l'entretenir, il faut que, par nos soins, il fleurisse, croisse et arrive à sa maturité. Il est permis de soigner, de polir, de limer avec le temps ces dogmes antiques d'une philosophie qui nous est venue du Ciel; mais il est défendu de les changer, de les tronquer, de les mutiler. Qu'on les entoure d'évidence, de lumière, de clarté, mais qu'ils gardent leur plénitude, leur intégrité, leur essence. Si une fois on se permet une fraude impie, je frémis du...
Page 147 - ... de ce qu'ils ont caché la croix de notre Sauveur et autorisé des coutumes toutes païennes ; de ce qu'ils ont plutôt corrompu qu'ils n'ont introduit celles qui sont véritablement chrétiennes ; de ce qu'en faisant...
Page 165 - Saint-Siége croirait pouvoir la porter, ne serait point opportune; car elle n'ajouterait rien à la gloire de la Vierge Immaculée, et elle pourrait être nuisible à la paix de l'Église et au bien des âmes, surtout dans mon diocèse.
Page 173 - Trinité , aussi comme toutte la Trinité eust prins char humaine en la vierge Marie. Et, qui plus merveille est, il ya enfer dedens peint, et ne voy point pour quelle cause on œuvre ainsi; car, en mon jugement, il n'ya baulté ne dévocion en telles paintures; et ce doit estre cause d'erreur et de indignation ou indévocion.