 | Claude Louis Hector duc de Villars - 1785 - 582 pages
...étoit battue. 171*.» Pour moi , je fais que des armées » aufli confidcrables ne font jamais » afTez défaites , pour que la plus » grande partie de la mienne ne pût " fe retiter fur la Somme. Je connois » cette riviere , elle eft très-difficile à » pafler j il... | |
 | 1784 - 766 pages
...était battue. Pour moi , je fais que » des armées aujjl conjîdèrables ne font jamais » ajfîl défaites, pour que la plus grande partie de » la mienne ne pût fe retirer fur la Somme. Je » connais cette rivière ; elle eft très difficile à » ptiflcr , il... | |
 | Louis-Pierre Anquetil - 1819 - 492 pages
...Paris , ce qui lui seroit possible si « la mienne étoit battue. Mais je ne consentirai jamais « à laisser approcher ainsi l'ennemi de ma capitale. Je...plus grande partie « de la mienne ne pût se retirer sur la Somme. Je con•« nois cette rivière, elle est difficile à passer, et il s'y « trouve des... | |
 | Auguste Jean Baptiste Bouvet de Cressé - 1824 - 588 pages
...approche de Paris, ce qui lui serait possible si la mienne était battue. Je ne consentirai jamais à laisser approcher ainsi l'ennemi de ma capitale. Je...défaites, pour que la plus grande partie de la mienne ne puisse se retirer sur la Somme. Je connais cette rivière; elle est difficile à passer, et il s'y... | |
 | Louis Hector duc de Villars - 1828 - 496 pages
...seroit possible si la mienne étoit battue. « Pour moi, je sais que des armées aussi considére rables ne sont jamais assez défaites pour que la « plus grande partie de la mienne ne pût se retirer « sur la Somme. Je connois cette rivière : elle est « très-difficile à passer ; il ya des places... | |
 | Petitot (M., Claude-Bernard) - 1828 - 496 pages
...seroit possible si la mienne étoit battue. « Pour moi, je sais que des armées aussi considé« rables ne sont jamais assez défaites pour que la « plus grande partie de la mienne ne pût se retirer « sur la Somme. Je connois cette rivière : elle est « très-difficile à passer ; il ya des places... | |
 | 1828 - 502 pages
...seroit possible si la mienne étoit battue. « Pour moi, je sais que des armées aussi considé<t rables ne sont jamais assez défaites pour que la * plus grande partie de la mienne ne pût se retirer « sur la Somme. Je connois cette rivière : elle est « très-difficile à passer; il ya des places... | |
 | Maximilian Samson Friedrich Schöll - 1832 - 424 pages
...approche de Paris, ce qui lui serait possible si la mienne était battue. Mais je ne consentirai jamais à laisser approcher ainsi l'ennemi de ma capitale. Je...que des armées aussi considérables ne sont jamais ainsi défaites pour que la plus grande partie de la mienne ne puisse se retirer SUT la Somme. Je connais... | |
 | Joseph Fr. Michaud, Poujoulat (M., Jean-Joseph-François) - 1839 - 704 pages
...la mienne étoit battue. Pour moi, je sais » que des armées aussi considérables ne sont ja» mais assez défaites pour que la plus grande » partie de la mienne ne put se retirer sur la D Somme. Je connois cette rivière : elle est très» difficile à passer; il... | |
 | Théophile Lavallée - 1839 - 560 pages
...peut leur être contraire : s'il arrivait ce malheur à l'armée que vous commandez , écrivez-le-moi. Je sais que des armées aussi considérables ne sont...jamais assez défaites pour que la plus grande partie ne puisse se rallier sur la Somme ; je compte aller à Péronne ou à SaiulQuentin, y ramasser tout... | |
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Paris ; ce qui lui serait possible si la mienne était battue. Pour moi, je sais que des armées aussi considérables ne sont jamais assez défaites pour que la plus grande partie de la mienne ne pût se retirer sur la Somme. Je connais cette rivière... 
