| Champfleury - 1813 - 394 pages
...montre le sort des paysans à cette époque : « La nourriture ordinaire est du pain trempé dans de l'eau salée, que ce n'est pas la peine de dire qu'on y met du beurre; pour de la chair, on en mange le jour du mardi gras , le jour des Pâques et le jour... | |
| Albert Babeau - 1883 - 520 pages
...manger. « La nourriture ordinaire, disent des paysans du Vermandois en 1789, est du pain trarapé dans l'eau salée que ce n'est pas la peine de dire qu'on n'y mest du beurre « 5 . Même affirmation dans le Maine : « Le menu peuple n'a pour soutenir la... | |
| vicomte Georges Avenel - 1898 - 718 pages
...La nourriture des journaliers, disent par exemple les gens de l'Aisne, est du pain trempé dans de l'eau salée, « que ce n'est pas la peine de dire qu'on y met du beurre. Pour de la chair, on en mange le mardi gras, le jour de Pâques, celui de la fête patronale,... | |
| Raoul Arnaud - 1928 - 312 pages
...sort commun. On ne mangeait de viande que trois ou quatre fois l'an et se nourrissait habituellement de « pain trempé dans l'eau salée que ce n'est pas la peine de dire qu'on y met du beurre ». « Si les rois savaient ce que valent trois sols, murmurait-on, et qu'il ya des millions... | |
| 1904 - 680 pages
...177."i, les malades mangeaient la paille de leur lit, comme l'écrivait le curé de cette paroisse (i:, ce furent là, fort heureusement, des exceptions,...qu'une soupe au pain bis de mauvaise qualité, dont le sel faisait tout l'assaisonnement (3). Que mangeait-on dans le canton actuel d'Amfreville-la-Campagne... | |
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