 | Henri Doniol - 1857 - 494 pages
...abus du fisc et par le plus patent sacrifice du trésor aux traitants : « Le peuple de nos campagnes vit dans une misère affreuse, « sans lits, sans meubles ; la plupart même, la moitié de « l'année, manquent du pain d'orge et d'avoine qui fait leur « unique nourriture, et qu'ils sont... | |
 | Revue nationale et étrangère - 1862 - 668 pages
...l'exagération , confirmait à peu près i la même époque ce témoignage. « Le peuple de nos campagnes vit dans une misère affreuse, sans lits , sans meubles; la plupart même, la moitié de l'année, manquent du pain d'orge et d'avoine, qui fait leur unique nourriture... » Cinquante ans... | |
 | 1862 - 686 pages
...l'exagération , confirmait à peu près à la môme époque ce témoignage. « Le peuple de nos campagnes vit dans une misère affreuse, sans lits, sans meubles; la plupart même, la moitié de l'année, manquent du pain d'orge et d'avoine, qui fait leur unique nourriture... » Cinquante ans... | |
 | Henri Baudrillart, H. Baudrillart - 1865 - 414 pages
...aujourd'hui leur application ? Un Massillo» écrirait-il cette phrase? « Le peuple de nos campagnes vit dans une misère affreuse, sans lits, sans meubles; la plupart même, la moitié de l'année, manquent du pain d'orge et d'avoine qui fait leur unique nourriture.» Si J.-J. Rousseau... | |
 | Henri Doniol - 1867 - 556 pages
...abus du fisc et par le plus patent sacrifice du Trésor aux traitants : « Le peuple de nos campagnes vit dans » une misère affreuse, sans lits, sans meubles ; la plupart » même, la moitié de l'année, manquent du pain d'orge et » d'avoine qui fait leur unique nourriture, et qu'ils sont »... | |
 | 1876 - 612 pages
...ècrites par un èvoque bien en cour, l'aimable et doux Massillon : « Le peuple de nos campagnes est dans une misère affreuse, sans lits, sans meubles ; la plupart même, la moitiè de l'annèe, manquent du pain d'orge et d'avoine qui tait leur unique nourriture et qu'ils... | |
 | Jules Siegfried - 1880 - 280 pages
...est bien loin d'être détruite. Massillon écrit en 1740 : « Les peuples de nos campagnes vivent dans « une misère affreuse, sans lits, sans meubles ; la « plupart même, la moitié de l'année, mangent du « pain d'orge et d'avoine qui fait leur unique « nourriture, et qu'ils sont... | |
 | Emile de Laveleye - 1882 - 320 pages
...Clermont-Ferrand, écrit au cardinal Fleury, premier ministre de Louis XV : « Le peuple des campagnes vit dans une misère affreuse, sans lits, sans meubles; la plupart même, la moitié de l'année, mangent du pain d'orge et d'avoine, qui fait leur unique nourriture et qu'ils sont obligés... | |
 | Alfred Pizard - 1882 - 350 pages
...des moutons, et crevaient comme des mouches. » En 1740, Massillon : « Le peuple de nos campagnes vit dans une misère affreuse, sans lits, sans meubles; la plupart même, la moitié de l'année mangent du pain d'avoine qui fait leur unique nourriture, et qu'ils sont obligés d'arracher... | |
 | Alfred Pizard - 1882 - 340 pages
...des moutons, et crevaient comme des mouches. » En 1740, Massillon : « Le peuple de nos campagnes vit dans une misère affreuse, sans lits, sans meubles ; la plupart même, la moitié de l'année mangent du pain d'avoine qui fait leur unique nourriture, et qu'ils sont obligés d'arracher... | |
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Le peuple de nos campagnes vit dans une misère affreuse , sans lits , sans meubles ; la plupart même , la moitié de l'année , manquent du pain d'orge et d'avoine qui fait leur unique nourriture et qu'ils sont obligés d'arracher de leur bouche et... 
