| Petitot (M., Claude-Bernard) - 1824 - 470 pages
...paisiblement ou le retour ou la perte du ministre. Mais enfin il avoit trop peu de cette manie qui donnoit tant de peine à Châteauneuf ; et n'ayant...peu que bientôt après il n'y alla point du tout. 1l se piquo.it d'une certaine humilité' de ne se soucier point de l'autorité, et d'aimer à obéir... | |
| Petitot (M., Claude-Bernard) - 1824 - 480 pages
...paisiblement ou le retour ou la perte du minisire. Mais enfin il avoit trop peu de cette manie qui donnoit tant de peine à Châteauneuf ; et n'ayant...peu que bientôt après il n'y alla point du tout. 11 se piquoit d'une certaine humilité de ne se soucier point de l'autorité, et d'aimer à obéir... | |
| Petitot (M., Claude-Bernard) - 1824 - 474 pages
...même , sans pourtant avoir jamais eu ce qu'on appelle de la faveur et de la considération. Il i'ut si mauvais courtisan , qu'il demanda à la Reine ce...peu que bientôt après il n'y alla point du tout. ll se piquoit d'une certaine humilité de ne se soucier point de l'autorité, et d'aimer à obéir... | |
| Joseph Fr. Michaud - 1838 - 646 pages
...sortir de même, sans pourtant avoir jamais eu ce qu'on appelle de la faveur et de la considération. H fut si mauvais courtisan , qu'il demanda à la Reine...plus longue durée, mais aussi moins éclatante. Le duc d'Orléans étoit tout-à-fait en colère : il ne venoit plus chez la Reine ni au conseil. Il disoit... | |
| Joseph Fr. Michaud - 1838 - 656 pages
...ayant qu'il se reposât, et qu'il ne se donnilt pas la ie sans besoin de venir au Palais-Royal, il [ita ce parti , et y alla si peu que bientôt après il...d'une certaine humilité de ne se soucier point de l'autorii't d'aimer a obéir continuellement a quelque rieur. Cette soumission est cause qu'il a joui... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1838 - 812 pages
...avait à faire , et la reine lui ayant dit » qu'il se reposât, et qu'il ne se donnât pas la peine de venir » au Palais-Royal ; il accepta ce parti...que « bientôt après il n'y alla point du tout. » Cependant, un matin qu'on était accouru nous répéter queM.de Villèle nous trompait , qu'il ne... | |
| François-René de Chateaubriand - 1851 - 528 pages
...avait à faire, et la reine lui ayant dit qu'il se repo« sât, et qu'il ne se donnât pas' la peine de venir au Palais-Royal, « il accepta ce parti ,...que bientôt après il n'y alla « point du tout. » Cependant, un matin qu'on était accouru nous répéter que M. de Villèle nous trompait , qu'il... | |
| Françoise de Motteville - 1855 - 500 pages
...sortir de même, sans pourtant avoir jamais eu ce qu'on appelle de la faveur et de la considération. II fut si mauvais courtisan, qu'il demanda à la Reine...plus longue durée, mais aussi moins éclatante. Le duc d'Orléans étoit tout-à-fait en colère : il ne venoit plus chez la Reine ni au conseil. Il disoit... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1861 - 706 pages
...qu'il avoit à faire, et la reine lui ayant dit qu'il se reposât et ou'il ne se donnât pas la peine de venir au Palais-Royal, il accepta ce parti, et...peu, que bientôt après il n'y alla point du tout. » Cependant, un matin qu'on étoit accouru nous répéter que M. de Villèle nous trompoit, qu'il... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1866 - 536 pages
...avait à faire, et la reine lui ayant dit qu'il se reposât, et « qu'il ne se donnât pas la peine de venir au Palais-Royal, il accepta « ce parti,...alla si peu, que bientôt après il n'y alla point du a tout. » Cependant, un matin qu'on était accouru nous répéter que M. de Villèle nous trompait,... | |
| |