Histoire de Madame de Maintenon et des principaux événements du règne de Louis XIV, Volume 1Comptoir des imprimeurs-unis, 1848 |
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Page 9
... n'était souffert , s'était réfugiée à Montargis ; elle y donna souvent asile à ceux de sa religion , et mourut en 1575 . 1 Mémoires de d'Aubigné . 2 Ibid . religion étant advenues ( 1567 ) , d'Aubigné retourna en CHAPITRE II . 9.
... n'était souffert , s'était réfugiée à Montargis ; elle y donna souvent asile à ceux de sa religion , et mourut en 1575 . 1 Mémoires de d'Aubigné . 2 Ibid . religion étant advenues ( 1567 ) , d'Aubigné retourna en CHAPITRE II . 9.
Page 18
... n'était pas entièrement éteinte . « Renier , gentilhomme huguenot , du village de Caillac en Quercy , tombé à Paris entre les mains des massacreurs , allait périr . Déjà les Guisards l'avaient fait agenouiller avec son valet de cham ...
... n'était pas entièrement éteinte . « Renier , gentilhomme huguenot , du village de Caillac en Quercy , tombé à Paris entre les mains des massacreurs , allait périr . Déjà les Guisards l'avaient fait agenouiller avec son valet de cham ...
Page 35
... n'était alors qu'un champ de bataille où chacun guerroyait pour son compte et souvent à sa fan- taisie . La paix de 1576 , promptement rompue , avait été rétablie par un nouvel édit en 1577. Mais à peine ces suspensions d'armes avaient ...
... n'était alors qu'un champ de bataille où chacun guerroyait pour son compte et souvent à sa fan- taisie . La paix de 1576 , promptement rompue , avait été rétablie par un nouvel édit en 1577. Mais à peine ces suspensions d'armes avaient ...
Page 56
... n'était pas le chimérique établis- sement de cette république chrétienne dont il est dit quelques mots dans Sully1 , et qui n'était autre chose dans l'esprit d'Henri IV qu'une pensée un peu vague de l'équilibre européen moderne , mais l ...
... n'était pas le chimérique établis- sement de cette république chrétienne dont il est dit quelques mots dans Sully1 , et qui n'était autre chose dans l'esprit d'Henri IV qu'une pensée un peu vague de l'équilibre européen moderne , mais l ...
Page 63
... n'était pas épuisée . Il fut nommé prési- dent du conseil de guerre , fortifia Genève et Berne , devint l'intermédiaire des négociations entre les réformés de France , la reine d'Angleterre et dif- férents princes d'Allemagne , et fit ...
... n'était pas épuisée . Il fut nommé prési- dent du conseil de guerre , fortifia Genève et Berne , devint l'intermédiaire des négociations entre les réformés de France , la reine d'Angleterre et dif- férents princes d'Allemagne , et fit ...
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Common terms and phrases
¹ Lettre assez avaient Barèges bonne Bossuet c'était campagne choses cœur Colbert commencement comte cour dame dessein Dieu dire donner duc du Maine duchesse écrit madame écrit-elle écrivait enfants esprit faisait femme fille Flandre gens gloire goût gouvernement guerre Henri Hollande homme j'ai jamais jour l'abbé Gobelin l'Espagne l'esprit légitimation Lettre à l'abbé Lettre de madame longtemps Louis XIV madame de Caylus madame de Coulanges madame de Lafayette madame de Main madame de Maintenon madame de Montespan madame de Richelieu madame de Sévigné madame Scarron mademoiselle de Montpensier Majesté maréchal d'Albret mariage Mémoires de Louis Mémoires de Saint-Simon ment mille monde mort n'en n'était Navarre Ninon Noailles parler passé passion Pellisson pensée père personne politique pouvait premier prince princesse raison règne reine reste rien rois royaume s'était secret sentiments seul société sorte Souvenirs de madame souvent souverain sujet tespan tion traité trouve Vallière véritable Versailles
Popular passages
Page 442 - Vous devez donc premièrement être persuadé, que les rois sont seigneurs absolus, et ont naturellement la disposition pleine et libre de tous les biens qui sont possédés, aussi -bien par les gens d'église que par les séculiers , pour en user en tout temps comme de sages économes , c'est-à-dire suivant le besoin général de leur Etat.
Page 569 - Les deniers qui sont dans notre cassette, ceux qui demeurent entre les mains de nos trésoriers, et ceux que nous laissons dans le commerce de nos peuples doivent être par nous également ménagés.
Page 526 - MADEMOISELLE, tout ce qu'il ya de princes et de princesses , madame de Montespan , toute sa suite, tous les courtisans , toutes les dames , enfin ce qui s'appelle la cour de France, se trouve dans ce bel appartement du roi que vous connaissez.
Page 316 - Je dirai que l'amour sied bien à vos pareils, Que ce tribut qu'on rend aux traits d'un beau visage De la beauté d'une âme est un clair témoignage , Et qu'il est malaisé que , sans être amoureux , Ln jeune prince soit et grand et généreux.
Page 517 - ... l'une lui tient le pot à pâte à genoux devant elle, l'autre lui apporte ses gants, l'autre l'endort; elle ne salue personne, et je crois que dans son cœur elle rit bien de cette servitude. On ne peut rien juger présentement de ce qui se passe entre son amie et elle.] On est ici fort occupé de la Brinvilliers.
Page 236 - Je mourrai bientôt, lui dit-il, je le sens bien; « le seul regret que j'aurai en mourant , c'est de ne « pas laisser de bien à ma femme , qui a infiniment de « mérite, et de qui j'ai tous les sujets imaginables de
Page 510 - Quantova, l'attachement est toujours extrême ; on en fait assez pour fâcher le Curé et tout le monde , et peut-être pas assez pour elle ; car dans son triomphe extérieur , il y a un fond de tristesse. Vous parlez des plaisirs de Versailles ; et dans le tems qu'on alloit à Fontainebleau pour s'abîmer dans la joie , voilà M. de Turenne tué : voilà une consternation générale : voilà M.
Page 187 - Ils étaient noirs, brillants, doux, passionnés et pleins d'esprit; leur éclat avait je ne sais quoi qu'on ne saurait exprimer : la mélancolie douce y paraissait quelquefois avec tous les charmes qui la suivent presque toujours; l'enjouement s'y faisait voir à son tour avec tous les attraits que la joie peut inspirer, et l'on peut assurer après sans mensonge que Lyrianne avait mille appas inévitables.
Page 498 - J'espère, Sire, que tant de grands objets qui vont tous les jours de plus en plus occuper Votre Majesté, serviront beaucoup à la guérir. On ne parle que de la beauté de vos troupes, et de ce qu'elles sont capables d'exécuter sous un aussi grand conducteur : et moi, Sire, pendant ce temps, je songe secrètement en moi-même à une guerre bien plus importante et à une victoire bien plus difficile que Dieu vous propose.
Page 437 - S'il fallait badiner, s'il faisait des plaisanteries, s'il daignait faire un conte, c'était avec des grâces infinies, un tour noble et fin, que je n'ai vu qu'à lui.