Histoire de Madame de Maintenon et des principaux événements du règne de Louis XIV, Volume 1Comptoir des imprimeurs-unis, 1848 |
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Page 260
... Versailles , entouré de ses disciples atten- tifs , sans être distrait par le bruit que faisaient dans ce même palais la gloire , les fêtes , les mer- veilles de tout genre et la cour brillante qui s'y pressait . C'est au milieu de ...
... Versailles , entouré de ses disciples atten- tifs , sans être distrait par le bruit que faisaient dans ce même palais la gloire , les fêtes , les mer- veilles de tout genre et la cour brillante qui s'y pressait . C'est au milieu de ...
Page 307
... Versailles , du 18 juillet 1668 , à M. le mar- quis de La Fuente , par l'abbé de Montigny . Papiers de Conrart , tome IX , in - fol . , page 4109 , à la bibliothèque de l'Arsenal . Dans son découragement , elle avait même songé un ...
... Versailles , du 18 juillet 1668 , à M. le mar- quis de La Fuente , par l'abbé de Montigny . Papiers de Conrart , tome IX , in - fol . , page 4109 , à la bibliothèque de l'Arsenal . Dans son découragement , elle avait même songé un ...
Page 346
... Versailles , 16 no- vembre 1671 : << Ma cousine , la nouvelle du décès de la du- chesse de Montauzier m'ayant été apportée ce matin , nous avons jugé , la reine et moi , que nous ne pouvions faire un plus digne choix que de votre ...
... Versailles , 16 no- vembre 1671 : << Ma cousine , la nouvelle du décès de la du- chesse de Montauzier m'ayant été apportée ce matin , nous avons jugé , la reine et moi , que nous ne pouvions faire un plus digne choix que de votre ...
Page 367
... Versailles avec leur gouvernante . Celle - ci écrit de Versailles à son frère , le 25 juil- let 1674 : « Il y a longtemps que je veux vous écrire , et je n'ai pu y parvenir la vie que l'on : mène ici est fort dissipée , comme vous savez ...
... Versailles avec leur gouvernante . Celle - ci écrit de Versailles à son frère , le 25 juil- let 1674 : « Il y a longtemps que je veux vous écrire , et je n'ai pu y parvenir la vie que l'on : mène ici est fort dissipée , comme vous savez ...
Page 368
... Versailles ; par lesdits révérends pères prieur et religieux , à Paris , en la salle de leur chapitre , l'an mil six cent soixante et quatorze , le tren- tième jour de juillet . ( ( Signé femme d'Aubigny Scarron , frère Paul de Golefer ...
... Versailles ; par lesdits révérends pères prieur et religieux , à Paris , en la salle de leur chapitre , l'an mil six cent soixante et quatorze , le tren- tième jour de juillet . ( ( Signé femme d'Aubigny Scarron , frère Paul de Golefer ...
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Common terms and phrases
¹ Lettre assez avaient Barèges bonne Bossuet c'était campagne choses cœur Colbert commencement comte cour dame dessein Dieu dire donner duc du Maine duchesse écrit madame écrit-elle écrivait enfants esprit faisait femme fille Flandre gens gloire goût gouvernement guerre Henri Hollande homme j'ai jamais jour l'abbé Gobelin l'Espagne l'esprit légitimation Lettre à l'abbé Lettre de madame longtemps Louis XIV madame de Caylus madame de Coulanges madame de Lafayette madame de Main madame de Maintenon madame de Montespan madame de Richelieu madame de Sévigné madame Scarron mademoiselle de Montpensier Majesté maréchal d'Albret mariage Mémoires de Louis Mémoires de Saint-Simon ment mille monde mort n'en n'était Navarre Ninon Noailles parler passé passion Pellisson pensée père personne politique pouvait premier prince princesse raison règne reine reste rien rois royaume s'était secret sentiments seul société sorte Souvenirs de madame souvent souverain sujet tespan tion traité trouve Vallière véritable Versailles
Popular passages
Page 442 - Vous devez donc premièrement être persuadé, que les rois sont seigneurs absolus, et ont naturellement la disposition pleine et libre de tous les biens qui sont possédés, aussi -bien par les gens d'église que par les séculiers , pour en user en tout temps comme de sages économes , c'est-à-dire suivant le besoin général de leur Etat.
Page 569 - Les deniers qui sont dans notre cassette, ceux qui demeurent entre les mains de nos trésoriers, et ceux que nous laissons dans le commerce de nos peuples doivent être par nous également ménagés.
Page 526 - MADEMOISELLE, tout ce qu'il ya de princes et de princesses , madame de Montespan , toute sa suite, tous les courtisans , toutes les dames , enfin ce qui s'appelle la cour de France, se trouve dans ce bel appartement du roi que vous connaissez.
Page 316 - Je dirai que l'amour sied bien à vos pareils, Que ce tribut qu'on rend aux traits d'un beau visage De la beauté d'une âme est un clair témoignage , Et qu'il est malaisé que , sans être amoureux , Ln jeune prince soit et grand et généreux.
Page 517 - ... l'une lui tient le pot à pâte à genoux devant elle, l'autre lui apporte ses gants, l'autre l'endort; elle ne salue personne, et je crois que dans son cœur elle rit bien de cette servitude. On ne peut rien juger présentement de ce qui se passe entre son amie et elle.] On est ici fort occupé de la Brinvilliers.
Page 236 - Je mourrai bientôt, lui dit-il, je le sens bien; « le seul regret que j'aurai en mourant , c'est de ne « pas laisser de bien à ma femme , qui a infiniment de « mérite, et de qui j'ai tous les sujets imaginables de
Page 510 - Quantova, l'attachement est toujours extrême ; on en fait assez pour fâcher le Curé et tout le monde , et peut-être pas assez pour elle ; car dans son triomphe extérieur , il y a un fond de tristesse. Vous parlez des plaisirs de Versailles ; et dans le tems qu'on alloit à Fontainebleau pour s'abîmer dans la joie , voilà M. de Turenne tué : voilà une consternation générale : voilà M.
Page 187 - Ils étaient noirs, brillants, doux, passionnés et pleins d'esprit; leur éclat avait je ne sais quoi qu'on ne saurait exprimer : la mélancolie douce y paraissait quelquefois avec tous les charmes qui la suivent presque toujours; l'enjouement s'y faisait voir à son tour avec tous les attraits que la joie peut inspirer, et l'on peut assurer après sans mensonge que Lyrianne avait mille appas inévitables.
Page 498 - J'espère, Sire, que tant de grands objets qui vont tous les jours de plus en plus occuper Votre Majesté, serviront beaucoup à la guérir. On ne parle que de la beauté de vos troupes, et de ce qu'elles sont capables d'exécuter sous un aussi grand conducteur : et moi, Sire, pendant ce temps, je songe secrètement en moi-même à une guerre bien plus importante et à une victoire bien plus difficile que Dieu vous propose.
Page 437 - S'il fallait badiner, s'il faisait des plaisanteries, s'il daignait faire un conte, c'était avec des grâces infinies, un tour noble et fin, que je n'ai vu qu'à lui.