| Joseph Guérinière - 1838 - 614 pages
...par le gros temps; je voguerais » avec joie dans la tempête. Les matelots trembleraient, et n moi je n'aurais aucune peur. Si le vaisseau se brisait, je » m'attacherais à une planche, et je continuerais ma route ; » et si je ne pouvais saisir aucuns débris , j'irais jusqu'à » eux... | |
| Augustin Thierry (i.e. Jacques Nicolas Augustin) - 1840 - 432 pages
...Prospéra vel venions nuntia ferre t avis. 567 « tempête. Les matelots trembleraient, et moi je 580. « n'aurais aucune peur. Si le vaisseau se brisait, je « m'attacherais à une planche, et je continuerais « ma route; et si je ne pouvais saisir aucun débris, « j'irais jusqu'à eux en... | |
| Augustin Thierry (i.e. Jacques Nicolas Augustin) - 1840 - 422 pages
...Prospéra vel veniens nuntia ferret avis. 567 « tempête. Les matelots trembleraient, et moi je 580. a n'aurais aucune peur. Si le vaisseau se brisait, je « m'attacherais à une planche, et je continuerais « ma route; et si je ne pouvais saisir aucun débris, « j'irais jusqu'à eux en... | |
| Augustin Thierry - 1840 - 872 pages
...vel veniens nuntia ferrct arrâ. 567 « tempête. Les matelots trembleraient, et moi je ' '! 580. « n'aurais aucune peur. Si le vaisseau se brisait, je « m'attacherais à une planche, et je continuerais « ma route; et si je ne pouvais saisir aucun débris, «j'irais jusqu'à eux en... | |
| Thierry - 1851 - 322 pages
...matelots trembleraient, et moi « je n'aurais aucune peur. Si le vaisseau se brisait, je m'at« tacheiais à une planche, el je continuerais ma route ; et « si je ne pouvais saisir aucun débris, j'irais jusqu'à eux « en nageant2. » Telle était la vie que menait Fortunatus depuis l'année 567,... | |
| Augustin Thierry - 1856 - 372 pages
...par le gros temps; je vogue« rais avec joie dans la tempête. Les matelots tremble« raient, et moi je n'aurais aucune peur. Si le vaisseau « se brisait, je m'attacherais à une planche, et je conti« nuerais ma route: et si je ne pouvais saisir aucun déci bris, j'irais jusqu'à eux en... | |
| Henri Léonard Bordier, Edouard Charton - 1864 - 596 pages
...bonjour de quelqu'un ; mais non : de tant d'ombres de mes parents, aucnne ne m 'apparaît. Tout un monde me sépare de ceux que j'aime le plus. Ah ! si je...vaisseau se brisait , je m'attacherais à une planche et je continuerais ma route; et si je ne pouvais saisir aucun débris, ma main fatiguée nagerait jusqu'au... | |
| Paul Rousselot - 1883 - 460 pages
...m'embarquerais par les gros vents; je voguerais avec joie dans Ja tempête. Les matelots trembleraient, et moi je n'aurais aucune peur. Si le vaisseau se brisait, je m'attacherais à une planche, et je continuerais ma route ; et si je ne pouvais saisir aucun débris, j'irais jusqu'à eux en nageant.... | |
| Paul Rousselot - 1883 - 456 pages
...m'embarquerais par les gros vents; je voguerais avec joie dans la tempête. Les matelots trembleraient, et moi je n'aurais aucune peur. Si le vaisseau se brisait, je m'attacherais à une planche, et je continuerais ma route ; et si je ne pouvais saisir aucun débris, j'irais jusqu'à eux en nageant.... | |
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