Histoire de France depuis les temps les plus anciens jusqu'a nos jours: d'aprés les documents de l'art de chaque époque, Volume 1Aux Bureaux du Magasin Pittoresque, 1859 |
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d'aprés les documents de l'art de chaque époque Henri Léonard Bordier, Edouard Charton. KG NEDL TRANSFER 8064 HN 35CU4 GAULE INDÉPENDANTE ( de l'an 1500 à l'an 50 avant. Front Cover.
d'aprés les documents de l'art de chaque époque Henri Léonard Bordier, Edouard Charton. KG NEDL TRANSFER 8064 HN 35CU4 GAULE INDÉPENDANTE ( de l'an 1500 à l'an 50 avant. Front Cover.
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... CHAQUE ÉPOQUE PAR MM . HENRI BORDIER ET ÉDOUARD CHARTON TOME PREMIER PARIS AUX BUREAUX DU MAGASIN PITTORESQUE 29 , QUAI DES GRANDS - AUGUSTINS , 29 1859 HARVARD UNIVERSITY LIBRARY 44 * 370 AVANT - PROPOS L'étude HISTOIRE DE FRANCE.
... CHAQUE ÉPOQUE PAR MM . HENRI BORDIER ET ÉDOUARD CHARTON TOME PREMIER PARIS AUX BUREAUX DU MAGASIN PITTORESQUE 29 , QUAI DES GRANDS - AUGUSTINS , 29 1859 HARVARD UNIVERSITY LIBRARY 44 * 370 AVANT - PROPOS L'étude HISTOIRE DE FRANCE.
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... AVANT - PROPOS L'étude de l'histoire par les monuments fait de grands progrès depuis un demi - siècle . On est unanime à reconnaître aujourd'hui que l'instruction historique doit se puiser à deux sources , celle des textes , et celle ...
... AVANT - PROPOS L'étude de l'histoire par les monuments fait de grands progrès depuis un demi - siècle . On est unanime à reconnaître aujourd'hui que l'instruction historique doit se puiser à deux sources , celle des textes , et celle ...
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... avant Jésus - Christ ) Origines . Premiers souvenirs historiques . Les Celtes . - Les Ibères . Les Ligures , Les Phéniciens . Les Kimris . - Sigovèse et Bellovèse . Expéditions en Grèce et en Italie . Prise de Rome par les Gaulois ...
... avant Jésus - Christ ) Origines . Premiers souvenirs historiques . Les Celtes . - Les Ibères . Les Ligures , Les Phéniciens . Les Kimris . - Sigovèse et Bellovèse . Expéditions en Grèce et en Italie . Prise de Rome par les Gaulois ...
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... avant leur établissement définitif dans la Gaule ? Ces questions sont de celles que l'érudition moderne est obligée de lais- ser sans réponse , et qui peut - être ne seront jamais résolues . Le plus lointain souvenir de notre histoire ...
... avant leur établissement définitif dans la Gaule ? Ces questions sont de celles que l'érudition moderne est obligée de lais- ser sans réponse , et qui peut - être ne seront jamais résolues . Le plus lointain souvenir de notre histoire ...
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Common terms and phrases
Anglais Aquitains Armagnacs armée armes avaient Barbares barons bataille bourgeois Bourguignons Bretagne C'était cent César Charlemagne Charles le Chauve Charles VII château chef chevaliers Chilpéric chrétiens cité Clotaire Clovis comte concile conservé couronne croisade d'Angleterre d'Anjou d'armes d'or d'Orléans Dauphin devant Dieu douzième siècle duc de Bourgogne Édouard Édouard III églises enfants ennemis envoya évêque femme féodalité fille fils Flandre Franks frère Gaule Gaulois gens Germains guerre Henri Jean Sans-Peur jeune jour l'armée l'Église l'empereur laissa livres Louis IX Louis VII Louis XI main mème ment Midi mille hommes Monnaie mort mourut n'avait n'était Neustrie nobles nommé nord Normandie paix pape passer pays Peppin père peuple Philippe Philippe le Bon Pierre porte premier prince règne Reims reine reste Robert rois Romains Rome Rouen royale royaume rue St-Maur-St-G s'était Saint-Denys seigneurs seul sire soldats sorte terre tion tour treizième siècle trève troupes trouva vassaux Vercingétorix villes
Popular passages
Page 200 - Les lieux destinés à la réunion des seigneurs étaient divisés en deux parties, de telle sorte que les évèques , les abbés et les clercs élevés en dignité pussent se réunir sans aucun mélange de laïques. De même les comtes et les autres principaux de...
Page 192 - Car tandis que l'armée française engagée dans un étroit défilé était obligée , par la nature du terrain , de marcher sur une ligne longue et resserrée, les Gascons qui s'étaient embusqués sur la crête de la montagne...
Page 471 - Il s'en alla à son village, regagna sa cabane et se mit au lit, non toutefois sans garder près de lui sa hache de fer qu'un homme ordinaire pouvait à peine lever. Les Anglais ayant appris qu'il était malade, envoyèrent un jour douze hommes pour le tuer. Sa femme les vit venir, et se mit à crier: O mon pauvre Le Grand, voilà les Anglais, que faire?..
Page 408 - Depuis lors, les fidèles de notre diocèse et des autres contrées voisines ont formé des associations dans un but semblable ; ils n'admettent personne dans leur compagnie, à moins qu'il ne se soit confessé, qu'il n'ait renoncé aux animosités et aux vengeances et ne se soit réconcilié avec ses ennemis. » Cela fait, ils élisent un chef sous la conduite duquel ils tirent leurs charriots en silence et avec humilité (2).
Page 168 - par le gros temps ; je voguerais avec joie dans « la tempête. Les matelots trembleraient, et moi « je n'aurais aucune peur. Si le vaisseau se bri«sait, je m'attacherais à une planche, et je « continuerais ma route ; et si je ne pouvais « saisir aucun débris , j'irais jusqu'à eux en
Page 111 - Ils relevaient et rattachaient sur le sommet du front leurs cheveux d'un blond roux, qui formaient une espèce d'aigrette et retombaient par derrière en queue de cheval. Leur visage était entièrement rasé, à l'exception de deux longues moustaches qui leur tombaient de chaque côté de la bouche. Ils portaient des habits de toile serrés au corps et sur les membres avec un large ceinturon auquel pendait l'épée.
Page 165 - Hun ! tu es un mauvais compagnon; espion rusé, tu veux me tromper par tes paroles, et moi je veux te jeter bas avec ma lance. Si vieux, peux-tu forger de tels mensonges? Des hommes...
Page 113 - Pour être moins incommodés par la chaleur, ils avaient quitté leur justaucorps de toile et gardaient seulement des culottes d'étoffe ou de cuir, qui leur descendaient jusqu'au bas des jambes. Ils n'avaient ni arc, ni fronde, ni autres armes de trait, si ce n'est le hang et la francisque '. C'est dans cet état qu'ils se mesurèrent avec plus de courage que de succès contre les troupes de l'empereur Justinien 2.
Page 241 - L'autre revient avec un outil ; le roi et le pauvre s'enferment ensemble, et enlèvent l'argent de la lance, et le roi le met lui-même de ses saintes mains dans le sac du pauvre en lui recommandant, selon sa coutume, de bien prendre garde que sa femme ne le vît. Lorsque la reine vint, elle s'étonna fort de voir sa lance ainsi dépouillée; et Robert jura par plaisanterie le nom du Seigneur qu'il ne savait comment cela s'était fait *. » « II avait une grande horreur pour le mensonge.
Page 113 - Ils portaient des habits de toile serrés au corps et sur les membres avec un large ceinturon auquel pendait l'épée. Leur arme favorite était une hache à un ou deux tranchants, dont le fer était épais et acéré et le manche trèscourt.