| Petitot (M., Claude-Bernard) - 1825 - 552 pages
...arrivée le Roi l'avoit requise de deux choses : l'une, que pour mieux pourvoir à sa santé elle ne fit plus, comme elle avoit de coutume, la nuit du jour, et le jour de la nuit; l'autre, qu'elle rétraignît ses liberalitez , et devînt un peu ménagere. Du premier , elle promit au Roy d'y apporter... | |
| Pierre de L'Estoile - 1825 - 552 pages
...arrivée le Roi l'avoit requise de deux choses : l'une, que pour mieux pourvoirà sa santé elle ne fît plus , comme elle avoit de coutume , la nuit du jour, et le jour de la nuit; l'autre, qu'elle rétraignît ses liberalitez , et devînt un peu ménagere. Du premier , elle promit au Roy d'y apporter... | |
| Claude Bernard Petitot - 1825 - 552 pages
...requise de deux choses : l'une, que pour mieux pourvoir à sa santé elle ne fit plus, comme elle a voit de coutume, la nuit du jour, et le jour de la nuit; l'autre, qu'elle rétraignît ses liberalitez, et devînt un peu ménagere. Du premier , elle promit au Roy d'y apporter... | |
| Pierre de L'Estoile - 1837 - 696 pages
...l'avoit requise de deux choses : l'une , que pour rnieui pourvoir à sa santé elle ne fit plus, commrae elle avoit de coutume, la nuit du jour, et le jour de la nuit ; l'autre, qu'elle restreignit ses libéralité et devînt un peu ménagère. Du premier, elle Cette harangue fut applaudie... | |
| Margarete (Frankreich, Königin), François Guessard - 1842 - 536 pages
...arrivée le Roy l'avoit requise de deux choses : l'une, que pour mieux pourvoir à sa santé, elle ne fit plus comme elle avoit de coutume, la nuit du jour et le jour de la nuit ; l'autre, qu'elle restreignît ses libéralités et devînt un peu ménagère. Du premier, elle promit au Roy d'y apporter... | |
| P. L. Jacob - 1853 - 848 pages
...plaisir, et ils s'étaient si bien réconciliés, que « le roi l'avoit requise de deux choses : l'une que, pour mieux pourvoir à sa santé, elle ne fist plus, comme elle avoit de coustume, la nuit du jour et le jour de la nuit; l'autre, qu'elle restraignisl ses libéralités et... | |
| P. L. Jacob - 1854 - 424 pages
...choses : l'une que, pour mieux pourvoir à sa santé, elle ne flst plus, comme elle avoit de coustume, la nuit du jour et le jour de la nuit; l'autre , qu'elle restreignis! ses libéralités et devinst plus mesnagère.» Henri IV lui donna souvent des marques d'affection et d'intérêt. Il lui rendait... | |
| Pierre de L'Estoile - 1880 - 408 pages
...logis d'un prestre. 10 On disoit qu'à son arrivée le Roy l'avoit requise de deux choses : l'une, que pour mieux pourvoir à sa santé elle ne fist plus, comme elle avoit de coutume, la nuict du jour, et le jour de la nuict ; l'autre, qu'elle restraingnist ses libéralités et devinst... | |
| Pierre de L'Estoile - 1906 - 420 pages
...requise de deux choses : l'une, que pour mieux pourvoir h sa santé, clle no fît plus, comme elle avait de coutume, la nuit du jour, et le jour de la nuit; l'autre, qu'elle restreignît ses libéralités ct devînt un peu ménagère. Du premier, elle promit au Roi d'y apporter... | |
| Raoul Vēze - 1911 - 370 pages
...requise de deux choses; l'une que pour mieux pourvoir à sa santé elle ne fît plus, comme elle avait de coutume, la nuit du jour, et le jour de la nuit; l'autre qu'elle restreignît ses libéralités et devînt un peu ménagère. Du premier, elle promit au Roi d'y apporter... | |
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