sions latérales d'une église c'est-àdire les nefs secondaires., que l'on. nomme vulgairement bas-côtés.

Les ailes ou bas-côtés s'arrêtent assez souvent près de l'abside, dans les églises antérieures au XIIe siècle; dans d'autres églises, elles en font le tour.

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ALLÉES COUVERTES. J'ai donné ce nom à des lignes parallèles de pierres dressées et portant d'autres pierres placées horizontalement. Les allées couvertes ne sont que

argis haleemoigoo aftol asb 18q

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de grands dolmens. (V. le tome 1er de mon Cours, p. 82.)

AMBON. - Espèce de tri- mensilmileg, leviga slyta ob

bune ou de chaire à la

quelle on montait par deux al

escaliers, et dans laquelle

on venait lire l'épitre et

l'évangile. L'ambon ser

vait aussi de chaire à prêcher: on en voit encore dans plusieurs églises de Rome. A partir du XIIIe siècle, on abandonna l'usage des ambons dans les églises.

AMPHIPROSTYLE.

On appelle ainsi un édifice qui a un

portique à chacune de ses extrémités : c'est le troisième ordre de temples dont Vitruve fait mention. ( Voir le 3 volume de mon Cours, chap. 8.)

AMPHITHEATRE. Edi-isa as 57 fice très-spacieux et de buite forme ovale dans lequelob les empereurs romains donnaient au peuple le spectacle des combats de m gladiateurs et de bêtes.

féroces. (Voir, dans le 3e

d'antiquités, la description d'un certain nombre d'amphithéatres comparés.) Une grande toile velarium était étendue sur l'amphithéatre, pour garantir de l'ardeur du soleil.

apasvab pingid Jnoa all ANTEFIXE. On désigne ainsi des figures de diverses espèces placées sous le toit des temples, soit pour maintenir les tuiles, soit pour en obrenamon us upent en cacher les lignes de jonction et décorer la corniche. Les antefixes de plusieurs monuments anciens étaient en bronze; on les faisait aussi en terre cuite. Quelques-unes ont été dorées.

masusinbassp-norombaioigemi ar

-

APPAREIL. Forme, taille et disposition des pierres ou des briques employées dans la construction des murs. J'ai

donné, dans le 4o volume de mon Cours, une classification des appareils, qui a été généralement adoptée. La nature de l'appareil est d'un grand secours pour reconnaître l'âge d'un édifice.

ARC-DOUBLEAU.

Arc en saillie formant plate-bande sous une voûte qu'il est destiné à fortifier. Les Romains ont parfois employé les arcs-doubleaux ; j'en ai trouvé dans une des salles des bains de Dioclétien. Au moyen-âge, ils ont été habituellement employés, et ont acquis une grande élégance dans les monuments en ogive.

ARABESQUE. Feuillages et moulures diverses d'ornementation empruntés à l'architecture mauresque.

ARBRE DE JESSÉ. Représentation par laquelle les sculpteurs et les imagiers du moyen-âge rendaient sensible l'accomplissement de la prophétie qui avait prédit que Jésus-Christ naîtrait de la race de David, huitième fils de Jessé: Et egredietur Virga de radice Jesse, et flos de radice ejus ascendet. Les nombreuses représentations qui

existent de ce sujet symbolique, présentent un arbre généalogique offrant les différents personnages de la race de David, depuis Jessé jusqu'à la sainte Vierge : la figure de celle-ci occupe le faîte de l'arbre, et les autres figures sont habituellement portées chacune par une branche, dont la hauteur détermine l'ordre chronologique. Ce sujet se trouve dans un grand nombre de cathédrales et dans beaucoup de vitraux peints, depuis le XIII siècle jusqu'au XVI.

L'ARCADE SEMI-CIRCU

LAIRE Offrant la moitié du cercle , que les Ro

mains ont constamment employée dans leurs édi

fices, et dont les architec

tes du moyen-âge se sont simongolevige omletidors servis jusqu'à la fin du XIIIe siècle, qu'ils ont adopté l'ogive. L'ARCADE SURHAUSSÉE OU EN FER A CHEVAL, dont le cintre excède le demi-cercle.

L'ARCADE SURBAISSÉE, dont la courbure n'atteint pas celle d'un demi-cercle.