Revue de l'Anjou et de Maine et LoireLibrairie de Cosnier et Lachèse., 1861 |
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Angers Angevins Anjou Anthoine avaient baron de Wismes Beaumont Beaupreau bientôt Bonchamps brillant C'était Charles d'Autichamp charme Chat Chat botté château château d'Angers cher Cholet Chopin choses Clémenceau cœur commandement comte d'Autichamp comte de Moret Conseil croix d'Angers d'Anjou d'Armeneuil d'Asnières Delaunay députés dernier devant dévouement Dieu digne dire donner doute esprit femme fidèle fille général d'Autichamp gens goût homme jamais jeune Joubert jour Julie d'Angennes justice l'Assemblée l'esprit l'hôtel LACHESE ladicte laisser lecteurs lettres Livet logis Barrault Louis XI lui-même Maine et Loire maire malheureux Marie Stuart marquis mendiant ment métaphysique monde Monsieur morale mort n'avait n'en noble parler passé pauvre pays pensée Petit Poucet philosophie poésie politique premier prince qu'un raison Rambouillet Renan reste Révolution royale s'était saint Saint-Laud Saumur savant science seigneur semble sentiment serait serment seul siècle Stofflet succès surtout tion trouve Ulysse venait Vendée Vendéens Vezins voilà vrai Vraye-Croix
Popular passages
Page 213 - Le 14 août, la formule de serment demandait de jurer « d'être fidèle à la nation et de maintenir la liberté et l'égalité, ou de mourir en les défendant...
Page 130 - Le gouvernement des choses d'ici-bas appartient en fait à de tout autres forces qu'à la science et à la raison ; le penseur ne se croit qu'un bien faible droit à la direction des affaires de sa planète, et satisfait de la portion qui lui est échue, il accepte l'impuissance sans regret. Spectateur dans l'univers, il sait que le monde ne lui appartient que comme sujet d'étude, et lors même qu'il pourrait le réformer, peut-être le trouverait-il si curieux tel qu'il est, qu'il n'en aurait pas...
Page 228 - Il avait une prise extraordinaire sur l'esprit et sur le cœur, et quand une fois il s'était empare de vous, son image était là comme un fait, comme une pensée fixe, comme une obsession qu'on ne pouvait plus chasser. Sa grande prétention était au calme et personne n'était aussi troublé que lui : il se surveillait pour arrêter ces émotions de l'âme qu'il croyait nuisibles à sa santé...
Page 145 - Le roi voulut qu'il montât dans son carrosse, et qu'il fût de la promenade. Le chat, ravi de voir que son dessein commençait à réussir, prit les devants : et ayant rencontré des paysans qui fauchaient un pré, il leur dit : « Bonnes gens qui fauchez, si vous ne dites au roi que le pré que vous fauchez appartient à M. le marquis de Carabas, vous serez tous hachés menu comme chair à pâté.
Page 114 - ... est le résultat général de toutes les sciences, le son, la lumière, la vibration qui sort de l'éther divin que tout porte en soi.
Page 19 - Stofflet ; et vous ne devez pas douter combien cette envie est augmentée depuis qu'il m'est possible de vous remettre entre les mains toute l'autorité dont le pays a bien voulu me revêtir; mais malgré cela je ne vous y engage pas pour ce moment, notre position étant bien changée. Mon armée est, pour le moment, dans la plus grande désorganisation , et envahie de toute part par les bleus.
Page 229 - qu'il avait l'air d'une âme qui a rencontré par hasard un corps et qui s'en tire comme elle peut...
Page 227 - Il faut le débarbouiller de Rousseau, d'Ossian, des vapeurs de la Tamise, des révolutions anciennes et modernes, et lui laisser la croix, les missions, les couchers du soleil en plein océan et les savanes de l'Amérique ; et vous verrez quel poète nous allons avoir pour nous purifier des restes du Directoire, comme Épiménide, avec ses rites et ses vers, purifia jadis Athènes de la peste.
Page 166 - Ce fut, suivant Comines, celui des princes de ce temps dont il y eut le plus de bien et le moins de mal à dire. Il serait difficile de faire une satire plus sanglante des princes du quinzième siècle. Ce régne, si agité, si oppressif, si douloureux aux peuples, avait fait de très-grandes choses pour l'unité française.
Page 10 - S'adressant ensuite particulièrement au soussigné, qu'il regardait comme un des principaux chefs de son armée, il ajouta : « Mon ami, c'est sûrement le dernier ordre » que je vous donnerai, laissez-moi l'assurance qu'il sera exé