| Jean François Marmontel - 1819 - 630 pages
...craindre la défaillance; et mon cœur dilaté à IVv cès, ne trouvait plus d'espace pour s'étendre. Ii violence que je me faisais pour ne rien laisser échapper,...tourment était délicieux. Je comparais les années rt les temps de servitude , les jours funestes , ou . traîné au parlement en victime, j'y avais servi... | |
| Louis de Rouvroy duc de Saint-Simon - 1840 - 590 pages
...d'entendre cette lecture si accablante pour lui , si résurrective pour nous. Moi cependant je ràe mourais de joie. J'en étais à craindre la défaillance;...néanmoins ce tourment était délicieux. Je comparais tes années et les temps de servitude, les jours funestes où, traîné au parlement en victime, j'y... | |
| Saint-Priest - 1847 - 420 pages
...duc de SaintSimon à propos du fameux lit de justice où il vit dégrader le duc du Maine : « Je me mourais de joie. J'en étais à craindre la défaillance;...infinie, et néanmoins ce tourment était délicieux Je triomphais, je me vengeais, je nageais dans ma vengeance; je jouissais du plein accomplissement des... | |
| Alexis Guignard (comte de Saint-Priest.) - 1849 - 770 pages
...duc de SaintSimon à propos du fameux lit de justice où il vit dégrader le duc du Maine : « Je me mourais de joie. J'en étais à craindre la défaillance;...cœur, dilaté à l'excès, ne trouvait plus d'espace a s'étendre. La violence que je me faisais pour ne rien laisser échapper était infinie, et néanmoins... | |
| Louis de Rouvroy duc de Saint-Simon - 1858 - 454 pages
...ne rien laisser échapper étoit infinie , et néanmoins ce tourment étoit délicieux. Je comparois les années et les temps de servitude , les jours...funestes où , traîné au parlement en victime, j'y avois servi de triomphe aux bâtards à plusieurs fois , les degrés divers par lesquels ils étoient... | |
| Hippolyte Taine - 1858 - 448 pages
...jusqu'à « ce calice. » Le jour où le bâtard est dégradé est une « résurrection. » « Je me mourais de joie, j'en étais à craindre la défaillance. Mon cœur, dilaté à l'excès, n'avait plus d'espace pour s'étendre. Je triomphais, je me vengeais, je nageais dans ma vengeance.... | |
| Académie nationale de Reims (France) - 1864 - 700 pages
...Mémoires; elleéclateen transports, elle déborde, elle tient du délire, n Moi cependant, dit-il, je me mourais de joie. J'en étais à craindre la défaillance;...était délicieux. Je comparais les années et les lemps de servitude, les jours funestes où, traîné au parlement en victime, j'y avais servi de triomphe... | |
| Gaston Boissier - 1865 - 546 pages
...quand il voit le duc du Maine abattu et les bâtards découronnés. « Moi, cependant, dit-il, je me mourais de joie; j'en étais à craindre la défaillance....l'excès, ne trouvait plus d'espace à s'étendre.... Je triomphais, je me vengeais, je nageais dans ma vengeance. » Saint-Simon a souhaité ardemment le... | |
| Gaston Boissier - 1865 - 540 pages
...quand il voit le duc du Maine abattu et les bâtards découronnés. « Moi, cependant, dit-il, je me mourais de joie; j'en étais à craindre la défaillance. Mon cœur, dilaté à l'excès, ne trouvait I'lus d'espace à s'étendre.... Je triomphais, je me vengeais, je nageais dans ma vengeance. » Saint... | |
| Louis de Rouvroy (duc de Saint-Simon.) - 1874 - 510 pages
...ne rien laisser échapper étoit infinie, et néanmoins ce tourment étoit délicieux. Je comparois les années et les temps de servitude, les jours funestes où, traîné au Parlement en victime, j'y avois servi de triomphe aux bâtards à plusieurs fois, les degrés divers par lesquels ils étoient... | |
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